L'Algérie «prend ses décisions en toute souveraineté et nul ne peut s'arroger le droit de lui dicter ce qu'elle doit faire», a affirmé samedi à Constantine le ministre du Commerce, El Hachemi Djaaboub. Répondant, lors d'un point de presse, aux «réserves» exprimées par la commissaire européenne au commerce extérieur, s'agissant des mesures prises par l'Algérie, quant aux investissements étrangers, M. Djaaboub a souligné que l'Algérie qui constitue un grand marché de 51 milliards de dollars, «se doit de prendre les mesures d'encadrement de l'investissement à même de sauvegarder ses intérêts». Les décisions prises, entre autre,s l'imposition aux sociétés commerciales étrangères d'ouvrir obligatoirement leur capital à une participation algérienne de 30% au moins, seront «strictement respectées et appliquées, car il s'agit de mesures qui engagent la souveraineté nationale, quelle que soit la réaction de ces sociétés», a ajouté le ministre. M. Djaaboub a par ailleurs annoncé la réalisation, dans le cadre du quinquennat en cours, de «quarante hypermarchés au niveau national». Ces projets, a-t-il souligné, sont notamment destinés à «réguler les prestations de service, garantir la disponibilité, améliorer la qualité et l'hygiène du produit, contribuer à absorber le chômage et, surtout, à lutter efficacement contre le commerce informel tout en stabilisant le pouvoir d'achat». Il s'est félicité, dans ce contexte, de la réalisation, à Constantine, de plusieurs «projets d'importance» grâce à la contribution de l'investissement privé, dont notamment l'imposant centre d'affaires «El Madina» qu'il a inauguré en présence des autorités de la wilaya. L'Algérie «prend ses décisions en toute souveraineté et nul ne peut s'arroger le droit de lui dicter ce qu'elle doit faire», a affirmé samedi à Constantine le ministre du Commerce, El Hachemi Djaaboub. Répondant, lors d'un point de presse, aux «réserves» exprimées par la commissaire européenne au commerce extérieur, s'agissant des mesures prises par l'Algérie, quant aux investissements étrangers, M. Djaaboub a souligné que l'Algérie qui constitue un grand marché de 51 milliards de dollars, «se doit de prendre les mesures d'encadrement de l'investissement à même de sauvegarder ses intérêts». Les décisions prises, entre autre,s l'imposition aux sociétés commerciales étrangères d'ouvrir obligatoirement leur capital à une participation algérienne de 30% au moins, seront «strictement respectées et appliquées, car il s'agit de mesures qui engagent la souveraineté nationale, quelle que soit la réaction de ces sociétés», a ajouté le ministre. M. Djaaboub a par ailleurs annoncé la réalisation, dans le cadre du quinquennat en cours, de «quarante hypermarchés au niveau national». Ces projets, a-t-il souligné, sont notamment destinés à «réguler les prestations de service, garantir la disponibilité, améliorer la qualité et l'hygiène du produit, contribuer à absorber le chômage et, surtout, à lutter efficacement contre le commerce informel tout en stabilisant le pouvoir d'achat». Il s'est félicité, dans ce contexte, de la réalisation, à Constantine, de plusieurs «projets d'importance» grâce à la contribution de l'investissement privé, dont notamment l'imposant centre d'affaires «El Madina» qu'il a inauguré en présence des autorités de la wilaya.