Amar Tou, ministre des Tranports annonce que des autorisations de vols ont été octroyées au pavillon français, précisant que «ces vols s'ajoutent aux programmes antérieurs concernant les compagnies" Air Méditerranée et Aigle Azur. Amar Tou, ministre des Tranports annonce que des autorisations de vols ont été octroyées au pavillon français, précisant que «ces vols s'ajoutent aux programmes antérieurs concernant les compagnies" Air Méditerranée et Aigle Azur. Le O.K. pour des vols supplémentaires a été finalement arraché par la compagnie aérienne Aigle Azur, propriété de l'homme d'affaires algérien Arezki Idjerouidène. Dans un communiqué rendu public, hier, et répercuté par l'APS, le département de Amar Tou annonce que des autorisations de vols ont été octroyées au pavillon français, précisant que «ces vols s'ajoutent aux programmes antérieurs concernant les compagnies" Air Méditerranée et Aigle Azur. Si pour la première compagnie, aucun problème ne s'est posé, il en est par contre autrement pour Aigle Azur qui a été contraint d'annuler plusieurs vols depuis Paris vers l'Algérie, causant des désagréments certains aux nombreux passagers bloqués à l'aéroport d'Orly. Le ministère des Transports dans un communiqué publié après les révélations de la presse a affirmé que la demande d'Aigle Azur ainsi que celle d'Air Méditerranée, une autre compagnie française ayant introduit une demande de vols supplémentaires en sus de son programme régulier, connaîtront incessamment les suites qui leur seront réservées par les autorités compétentes algériennes. Une suite favorable qui ne manquera pas de réjouir les voyageurs ayant réservé leurs billets auprès d'Aigle Azur. Comment en est-on arrivé à cette situation qui a mis dans l'embarras aussi bien la compagnie française que le ministère des Transports ? Est-ce seulement un simple malentendu dans la relation de confiance comme le laisse entendre les responsables d'Aigle Azur. Chacune des deux parties y va de ses arguments. Dans un communiqué, la compagnie explique «avoir déposé dès le 26 janvier 2009, auprès des autorités compétentes, un programme de vols à destination de l'Algérie pour la saison en cours», soulignant que, «ce programme a été proposé conformément à l'accord aérien établi entre la France et l'Algérie, qui ne prévoit pas de limite de capacité durant la haute saison (15 juin – 15 septembre)". Malheureusement, déplore la compagnie Aigle Azur, les choses n'ont pas évolué dans le sens souhaité. «Cette fois-ci, et contrairement aux années précédentes, certaines demandes de vols supplémentaires sur l'ensemble du programme déposé sont restées sans suite», explique le communiqué de cette compagnie. Qu'à cela ne tienne, Aigle Azur ne semblait pas le moins du monde soucieuse du retard pris par la réponse de la direction de l'aviation civile, dépendant du ministère des Transports. Et pour cause, «des écarts mineurs ont déjà été régularisés par le passé au dernier moment, et ce, grâce aux relations de confiance qu'entretient Aigle Azur avec les autorités de tutelle», tente de convaincre les responsables d'Aigle Azur. Que s'est-il passé entre-temps pour que la relation de confiance», qu'entretient les deux parties arrive à un tel degré pour aboutir à des annulations de vols au moment où les passagers allaient embarquer. Du côté du ministère des Transports, on rappelle que « les relations aériennes entre l'Algérie et la France sont régies par un accord aérien qui prévoit un équilibre des fréquences des vols entres les deux pavillons algérien et français». Il semble que l'équilibre des fréquences ait été dépassé. Il semble aussi que la situation ne se soit débloquée que pour une période déterminée si l'on se fie au communique du ministère des Transports. «Le reste du programme au delà du 15 juillet demeure à l'étude», précise le communiqué du ministère. Autant dire que le département de Amar Tou cultive l'opacité sur ses intentions futures. Pourquoi répondre partiellement à un programme qui s'étale sur toute la durée de l'été et des départs en vacances de nombreux émigrés algériens, désireux de rejoindre leurs familles en Algérie ? Il n'y a pas que cela. «Les vols Oran-Paris, Alger-Paris et Béjaïa-Paris se feront à vide», précise le communiqué du département des Transports. Autrement dit, une perte sèche pour Aigle Azur qui va sûrement y réfléchir à deux fois avant d'accepter les conditions des autorités de tutelle. Le O.K. pour des vols supplémentaires a été finalement arraché par la compagnie aérienne Aigle Azur, propriété de l'homme d'affaires algérien Arezki Idjerouidène. Dans un communiqué rendu public, hier, et répercuté par l'APS, le département de Amar Tou annonce que des autorisations de vols ont été octroyées au pavillon français, précisant que «ces vols s'ajoutent aux programmes antérieurs concernant les compagnies" Air Méditerranée et Aigle Azur. Si pour la première compagnie, aucun problème ne s'est posé, il en est par contre autrement pour Aigle Azur qui a été contraint d'annuler plusieurs vols depuis Paris vers l'Algérie, causant des désagréments certains aux nombreux passagers bloqués à l'aéroport d'Orly. Le ministère des Transports dans un communiqué publié après les révélations de la presse a affirmé que la demande d'Aigle Azur ainsi que celle d'Air Méditerranée, une autre compagnie française ayant introduit une demande de vols supplémentaires en sus de son programme régulier, connaîtront incessamment les suites qui leur seront réservées par les autorités compétentes algériennes. Une suite favorable qui ne manquera pas de réjouir les voyageurs ayant réservé leurs billets auprès d'Aigle Azur. Comment en est-on arrivé à cette situation qui a mis dans l'embarras aussi bien la compagnie française que le ministère des Transports ? Est-ce seulement un simple malentendu dans la relation de confiance comme le laisse entendre les responsables d'Aigle Azur. Chacune des deux parties y va de ses arguments. Dans un communiqué, la compagnie explique «avoir déposé dès le 26 janvier 2009, auprès des autorités compétentes, un programme de vols à destination de l'Algérie pour la saison en cours», soulignant que, «ce programme a été proposé conformément à l'accord aérien établi entre la France et l'Algérie, qui ne prévoit pas de limite de capacité durant la haute saison (15 juin – 15 septembre)". Malheureusement, déplore la compagnie Aigle Azur, les choses n'ont pas évolué dans le sens souhaité. «Cette fois-ci, et contrairement aux années précédentes, certaines demandes de vols supplémentaires sur l'ensemble du programme déposé sont restées sans suite», explique le communiqué de cette compagnie. Qu'à cela ne tienne, Aigle Azur ne semblait pas le moins du monde soucieuse du retard pris par la réponse de la direction de l'aviation civile, dépendant du ministère des Transports. Et pour cause, «des écarts mineurs ont déjà été régularisés par le passé au dernier moment, et ce, grâce aux relations de confiance qu'entretient Aigle Azur avec les autorités de tutelle», tente de convaincre les responsables d'Aigle Azur. Que s'est-il passé entre-temps pour que la relation de confiance», qu'entretient les deux parties arrive à un tel degré pour aboutir à des annulations de vols au moment où les passagers allaient embarquer. Du côté du ministère des Transports, on rappelle que « les relations aériennes entre l'Algérie et la France sont régies par un accord aérien qui prévoit un équilibre des fréquences des vols entres les deux pavillons algérien et français». Il semble que l'équilibre des fréquences ait été dépassé. Il semble aussi que la situation ne se soit débloquée que pour une période déterminée si l'on se fie au communique du ministère des Transports. «Le reste du programme au delà du 15 juillet demeure à l'étude», précise le communiqué du ministère. Autant dire que le département de Amar Tou cultive l'opacité sur ses intentions futures. Pourquoi répondre partiellement à un programme qui s'étale sur toute la durée de l'été et des départs en vacances de nombreux émigrés algériens, désireux de rejoindre leurs familles en Algérie ? Il n'y a pas que cela. «Les vols Oran-Paris, Alger-Paris et Béjaïa-Paris se feront à vide», précise le communiqué du département des Transports. Autrement dit, une perte sèche pour Aigle Azur qui va sûrement y réfléchir à deux fois avant d'accepter les conditions des autorités de tutelle.