Les constructions sauvages et illicites, en dépit des mesures draconiennes prises par les pouvoirs publics pour les éradiquer, continuent à se multiplierir, notamment, au niveau des banlieues ouvrières, qui ceinturent les grosses cylindrées industrielles à la périphérie de la ville d'Annaba, à l'image de Sidi Amar et d'El Bouni. Cette dernière est la plus touchée par le phénomène, mais l'Etat, à travers ses dernières directives, est décidé à en finir avec ce phenomène. Hier matin, accompagné d'un dispositif impressionnant d'éléments de la police urbaine chargée de l'environnement, les services de l'APC d'El Bouni, sous la direction du maire en personne, ont procédé à la démolition de 7 résidences et 13 pseudo-locaux commerciaux au cœur de la ville d'El Bouni, érigés sur un terrain d'assiette qui a, ainsi, été récupéré par les autorités locales en vue d'y accueillir des projets d'équipements collectifs publics. «Nous sommes passés à l'acte après de multiples mises en demeure restées sans écho. Nous avons été contraints de recourir à la force publique pour déloger les indus occupants de cet espace public», nous a confié un élu, chargé des affaires sociales. Selon la même source, avec cette ultime opération, la mairie d'El Bouni a assaini une bonne fois pour toute, le portefeuille foncier urbain de la commune qui a failli être gangréné par les constructions anarchiques et illicites. «Plus de 160 infrastructures à caractères commercial et résidentiel, érigées au mépris des lois en vigueur, ont été ainsi démolies de l'espace public d'El Bouni», nous confirme la même source, pour qui le POS de la commune (plan d'occupation du sol) est désormais assaini à 100%. Les constructions sauvages et illicites, en dépit des mesures draconiennes prises par les pouvoirs publics pour les éradiquer, continuent à se multiplierir, notamment, au niveau des banlieues ouvrières, qui ceinturent les grosses cylindrées industrielles à la périphérie de la ville d'Annaba, à l'image de Sidi Amar et d'El Bouni. Cette dernière est la plus touchée par le phénomène, mais l'Etat, à travers ses dernières directives, est décidé à en finir avec ce phenomène. Hier matin, accompagné d'un dispositif impressionnant d'éléments de la police urbaine chargée de l'environnement, les services de l'APC d'El Bouni, sous la direction du maire en personne, ont procédé à la démolition de 7 résidences et 13 pseudo-locaux commerciaux au cœur de la ville d'El Bouni, érigés sur un terrain d'assiette qui a, ainsi, été récupéré par les autorités locales en vue d'y accueillir des projets d'équipements collectifs publics. «Nous sommes passés à l'acte après de multiples mises en demeure restées sans écho. Nous avons été contraints de recourir à la force publique pour déloger les indus occupants de cet espace public», nous a confié un élu, chargé des affaires sociales. Selon la même source, avec cette ultime opération, la mairie d'El Bouni a assaini une bonne fois pour toute, le portefeuille foncier urbain de la commune qui a failli être gangréné par les constructions anarchiques et illicites. «Plus de 160 infrastructures à caractères commercial et résidentiel, érigées au mépris des lois en vigueur, ont été ainsi démolies de l'espace public d'El Bouni», nous confirme la même source, pour qui le POS de la commune (plan d'occupation du sol) est désormais assaini à 100%.