Alger recouvre ainsi son statut de capitale de la culture africaine. En 1969, elle avait accueilli la première édition du Panaf dans des conditions, à l'époque, caractérisées par la lutte des mouvements de libération nationale aspirant à l'indépendance et l'affranchissement du joug colonial. L'Algérie organise aujourd'hui un deuxième festival dans un cadre où priment de nouvelles priorités et de nouveaux défis pour l'Afrique qui doit mettre en valeur ses nouvelles réalités culturelles, portées vers la renaissance et le développement. A Partir de 16h30, aujourd'hui rendez-vous alors avec la culture africaine. Une ouverture populaire du festival culturel Panafricain, à travers une méga parade précédant la soirée artistique signée Kamel Ouali, avec la participation de 350 danseurs et 120 techniciens, ainsi que d'autres stars, comme Ouarda El Djazairia, Youssou Ndour, Cesària Evora, Amazigh Kateb et l'actrice Isabelle Adjani. Le volet théâtre prévoit un programme riche avec la participation de plus de 15 théâtres de pays africains avec un festival du théâtre professionnel africain, une résidence de jeunes auteurs africains, des journées d'étude sur le théâtre africain, des ateliers multidisciplinaires (accorât, scénographie, masques, marionnettes), forum de spécialistes et critiques d'art et des hommages aux grandes figures du théâtre. Des expositions de 35 artistes d'Afrique sont prévues à la Safex, le Musée des arts contemporains, ainsi que des résidences de création entre des artistes africains et algériens, notamment à Dar Abdelatif et l'Ecole supérieure des Beaux-Arts. Des spectacles sont programmés sur l'esplanade de l'Office Riadh El Feth et le Théâtre de verdure, en particulier, ceux entrant dans le cadre du Festival international de la musique gnaouie ou celui du jazz. Des scènes en plein air, seront aménagées pour recevoir des spectacles, dont dix-huit à Alger et ses environs, trois à Tipasa, deux à Boumerdès et une autre à Blida. D'autres activités sont au programme du festival, en l'occurrence un symposium des littératures africaines, une conférence sur les origines africaines de la musique jazz, une rencontre inédite sur la terminologie artistique africaine, un colloque sur Frantz Fanon et d'autres rencontres thématiques, dont le financement du cinéma africain, la colonisation et la libération des pays africains, regard sur le 1er festival culturel Panafricain de 1969 et le théâtre africain entre tradition et modernité. S'agissant du volet cinéma, des panoramas cinématographiques seront organisés, dont celui en hommage aux grands cinéastes africains et un autre aux primés du Fescapo. Enfin, deux documentaires coproduits par l'Algérie et l'Afrique du Sud, traitant du rôle de l'Algérie dans la libération de l'Afrique, seront projetés lors du festival. Alger recouvre ainsi son statut de capitale de la culture africaine. En 1969, elle avait accueilli la première édition du Panaf dans des conditions, à l'époque, caractérisées par la lutte des mouvements de libération nationale aspirant à l'indépendance et l'affranchissement du joug colonial. L'Algérie organise aujourd'hui un deuxième festival dans un cadre où priment de nouvelles priorités et de nouveaux défis pour l'Afrique qui doit mettre en valeur ses nouvelles réalités culturelles, portées vers la renaissance et le développement. A Partir de 16h30, aujourd'hui rendez-vous alors avec la culture africaine. Une ouverture populaire du festival culturel Panafricain, à travers une méga parade précédant la soirée artistique signée Kamel Ouali, avec la participation de 350 danseurs et 120 techniciens, ainsi que d'autres stars, comme Ouarda El Djazairia, Youssou Ndour, Cesària Evora, Amazigh Kateb et l'actrice Isabelle Adjani. Le volet théâtre prévoit un programme riche avec la participation de plus de 15 théâtres de pays africains avec un festival du théâtre professionnel africain, une résidence de jeunes auteurs africains, des journées d'étude sur le théâtre africain, des ateliers multidisciplinaires (accorât, scénographie, masques, marionnettes), forum de spécialistes et critiques d'art et des hommages aux grandes figures du théâtre. Des expositions de 35 artistes d'Afrique sont prévues à la Safex, le Musée des arts contemporains, ainsi que des résidences de création entre des artistes africains et algériens, notamment à Dar Abdelatif et l'Ecole supérieure des Beaux-Arts. Des spectacles sont programmés sur l'esplanade de l'Office Riadh El Feth et le Théâtre de verdure, en particulier, ceux entrant dans le cadre du Festival international de la musique gnaouie ou celui du jazz. Des scènes en plein air, seront aménagées pour recevoir des spectacles, dont dix-huit à Alger et ses environs, trois à Tipasa, deux à Boumerdès et une autre à Blida. D'autres activités sont au programme du festival, en l'occurrence un symposium des littératures africaines, une conférence sur les origines africaines de la musique jazz, une rencontre inédite sur la terminologie artistique africaine, un colloque sur Frantz Fanon et d'autres rencontres thématiques, dont le financement du cinéma africain, la colonisation et la libération des pays africains, regard sur le 1er festival culturel Panafricain de 1969 et le théâtre africain entre tradition et modernité. S'agissant du volet cinéma, des panoramas cinématographiques seront organisés, dont celui en hommage aux grands cinéastes africains et un autre aux primés du Fescapo. Enfin, deux documentaires coproduits par l'Algérie et l'Afrique du Sud, traitant du rôle de l'Algérie dans la libération de l'Afrique, seront projetés lors du festival.