Près d'un an après sa tenue les citoyens parlent encore, de temps à autres, de cet événement qui a enchanté la capitale par ses couleurs, ses musiques, ses danses,…son ambiance ; la deuxième édition du Festival culturel panafricain. Quarante ans après les couleurs de notre cher continent noir ont investi El Bahdja. Du 5 au 20 juillet plusieurs activités ont été organisées avec des artistes de renoms et cela, dans différents lieux de la capitale, mais également dans d'autres wilayas du pays. Des festivals, des colloques, des rencontres littéraires et historiques, des expositions, des représentations théâtrales et des projections cinématographiques… ont été ainsi organisés et tenus un peu partout. Cette manifestation a été organisée dans un nouveau contexte historique et politique car il y a quarante ans de cela les conditions de l'époque étaient caractérisées par la lutte des mouvements de libération nationale aspirant à l'indépendance et l'affranchissement du joug du colonialisme. Aujourd'hui, le Panaf a réitéré la volonté et les efforts des pays africains de prendre en charge les crises internes du continent. Et il ne fallait pas rater l'évènement. Des indiscrétions laissaient entendre alors que le président Bouteflika suivait de très près les préparatifs du Panaf 2009, échaudé qu'il était, nous avait-on dit, par la mauvaise organisation qui a caractérisé "Alger capitale de la culture arabe". Le Panaf se devait d'être un succès d'autant que l'organisation de cette manifestation à la fois culturelle, économique et politique a été attribuée à notre pays par l'Union africaine (UA), lors du sommet d'Addis-Abeba en Ethiopie, en février 2008. Et pour ce faire l'Etat avait dégagé tous les moyens La réussite du Panaf se confirme encore après sa clôture officielle puisqu'il est resté fidèle à son public à travers la poursuite de certaines expositions qui sont resté ouvertes jusqu'au mois de septembre ou encore la programmation de plusieurs colloques dans le même cadre. La prochaine manifestation qui marquera sans doute le pays sera «Tlemcen capitale de la culture islamique», prévue en 2011. Kahina Hammoudi Près d'un an après sa tenue les citoyens parlent encore, de temps à autres, de cet événement qui a enchanté la capitale par ses couleurs, ses musiques, ses danses,…son ambiance ; la deuxième édition du Festival culturel panafricain. Quarante ans après les couleurs de notre cher continent noir ont investi El Bahdja. Du 5 au 20 juillet plusieurs activités ont été organisées avec des artistes de renoms et cela, dans différents lieux de la capitale, mais également dans d'autres wilayas du pays. Des festivals, des colloques, des rencontres littéraires et historiques, des expositions, des représentations théâtrales et des projections cinématographiques… ont été ainsi organisés et tenus un peu partout. Cette manifestation a été organisée dans un nouveau contexte historique et politique car il y a quarante ans de cela les conditions de l'époque étaient caractérisées par la lutte des mouvements de libération nationale aspirant à l'indépendance et l'affranchissement du joug du colonialisme. Aujourd'hui, le Panaf a réitéré la volonté et les efforts des pays africains de prendre en charge les crises internes du continent. Et il ne fallait pas rater l'évènement. Des indiscrétions laissaient entendre alors que le président Bouteflika suivait de très près les préparatifs du Panaf 2009, échaudé qu'il était, nous avait-on dit, par la mauvaise organisation qui a caractérisé "Alger capitale de la culture arabe". Le Panaf se devait d'être un succès d'autant que l'organisation de cette manifestation à la fois culturelle, économique et politique a été attribuée à notre pays par l'Union africaine (UA), lors du sommet d'Addis-Abeba en Ethiopie, en février 2008. Et pour ce faire l'Etat avait dégagé tous les moyens La réussite du Panaf se confirme encore après sa clôture officielle puisqu'il est resté fidèle à son public à travers la poursuite de certaines expositions qui sont resté ouvertes jusqu'au mois de septembre ou encore la programmation de plusieurs colloques dans le même cadre. La prochaine manifestation qui marquera sans doute le pays sera «Tlemcen capitale de la culture islamique», prévue en 2011. Kahina Hammoudi