Les négociations menées par les représentants du bureau syndical des travailleurs avec le géant de la métallurgie Arcelor Mittal Annaba depuis un certain temps ont abouti à une impasse et la situation s'aggrave de plus en plus du moment que la direction du complexe sidérurgique d'El Hadjar (groupe Arcelor- Mittal) par le biais de son directeur des négociations, en l'occurrence Vincent Laurent de nationalité française, campe sur sa position en envisageant de licencier 1.500 travailleurs pour des motifs d'ordre économique dus à la crise financière mondiale qui s'est répercutée, selon son porte-parole sur la production de son groupe qui a connu d'énormes pertes au cours des deux derniers trimestres. Pour sa part, le représentant syndical Kouadria Ismaïl a reproché aux responsables d'Arcelor Mittal d'avoir importé les matières premières de Roumanie et de Hambourg auprès du groupe Arcelor-Mittal à un prix plus élevé que ceux des autres sociétés privées tout en dénonçant, avec fermeté, le licenciement collectif qui touche 1.500 travailleurs. Ces derniers interpellent l'UGTA afin de trouver rapidement un consensus, au risque de les voir débrayer d'ici quelques jours. Les négociations menées par les représentants du bureau syndical des travailleurs avec le géant de la métallurgie Arcelor Mittal Annaba depuis un certain temps ont abouti à une impasse et la situation s'aggrave de plus en plus du moment que la direction du complexe sidérurgique d'El Hadjar (groupe Arcelor- Mittal) par le biais de son directeur des négociations, en l'occurrence Vincent Laurent de nationalité française, campe sur sa position en envisageant de licencier 1.500 travailleurs pour des motifs d'ordre économique dus à la crise financière mondiale qui s'est répercutée, selon son porte-parole sur la production de son groupe qui a connu d'énormes pertes au cours des deux derniers trimestres. Pour sa part, le représentant syndical Kouadria Ismaïl a reproché aux responsables d'Arcelor Mittal d'avoir importé les matières premières de Roumanie et de Hambourg auprès du groupe Arcelor-Mittal à un prix plus élevé que ceux des autres sociétés privées tout en dénonçant, avec fermeté, le licenciement collectif qui touche 1.500 travailleurs. Ces derniers interpellent l'UGTA afin de trouver rapidement un consensus, au risque de les voir débrayer d'ici quelques jours.