Le Secrétariat à l'agriculture, au bétail, à la pêche et l'alimentation (SAGP&A) de l'Argentine et le ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques de l'Algérie comptent, à travers cet accord, accélérer le transfert de connaissances et la collaboration sur des intérêts communs des deux pays dans les domaines de l'aquaculture et de la pêche. Le Secrétariat à l'agriculture, au bétail, à la pêche et l'alimentation (SAGP&A) de l'Argentine et le ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques de l'Algérie comptent, à travers cet accord, accélérer le transfert de connaissances et la collaboration sur des intérêts communs des deux pays dans les domaines de l'aquaculture et de la pêche. Un accord de coopération dans les domaines de la pêche et de l'aquaculture qualifié de« hautement important» a été signé mardi dernier entre les gouvernements algérien et argentin, a rapporté le site spécialisé Fish Information and services (FIS). Le Secrétariat à l'agriculture, au bétail, à la pêche et l'alimentation (SAGP&A) de l'Argentine et le ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques de l'Algérie comptent, à travers cet accord, accélérer le transfert de connaissances et la collaboration sur des intérêts communs des deux pays dans les domaines de l'aquaculture et de la pêche. Le premier responsable du SAGP&A, Carlos Cheppi, et le Secrétaire général du ministère de Pêche de l'Algérie, Fateh Boudamous, ont apposé leur signature au bas du document scellant le partenariat algéro-argentin dans la pêche et l'aquaculture. D'autres hauts responsables des deux pays ont pris part à cette cérémonie dont le Sous-secrétaire de pêche et l'aquaculture de l'Argentine, Norberto Yauhar, l'Ambassadeur de l'Algérie en Argentine, Ahcene Boukhelfa et le conseiller du ministère de Pêche et les Ressources d'aquaculture de ce pays. Le Directeur national de Coordination de pêche, Hector Santos et le directeur d'aquaculture Laura Luchini était aussi présents. Parmi ces centres d'intérêt, ajoute la même source, celui relatif à la commercialisation du poisson argentin en Algérie. Après la viande rouge, bientôt du poisson surgelé argentin sur nos marchés. Une question cruciale se pose pour les deux pays qui veulent s'affranchir des intermédiaires européens, avons-nous appris de sources sûres. En effet, du poisson argentin est bel et bien commercialisé en Algérie mais sous label européen. Le phénomène a été signalé récemment à la presse nationale par des producteurs argentins qui prenaient part à la 42e édition de la Foire internationale d'Alger qui s'est tenue du 30 mai au 4 juin dernier. C'est le cas de poisson congelé et de crevette d'origine argentine mais dont l'emballage porte la mention d'un autre pays. Une situation qui s'expliquerait par la frilosité des importateurs algériens à traiter avec les producteurs à la source eu égard aux lourdes dépenses en fret dont la traversée entre l'Algérie et l'Argentine s'étend sur 21 jours alors que 48 heures suffisent pour s'approvisionner à partir de l'Europe. Cependant, les intermédiaires en Europe ont commencé à prélever des marges bénéficiaires supérieures au coût d'acheminement de la marchandise. Mais face aussi au raffermissement de l'euro, les opérateurs nationaux commencent à se départir des anciens centres de fourniture, principalement la France, pour aller vers les zones dollar à même de fournir des conditions plus avantageuses et des relations plus durables. Outre cet aspect, les deux parties ont partagé les données concernant la commercialisation des produits de mer et le développement de l'aquaculture dans les différents bassins fluviaux continentaux et marins. D'autres points d'intérêt commun sur des projets de coopération bilatéraux ont été identifiés. Il s'agit du développement de l'aquaculture, de la gestion durable des ressources de la pêche, de la promotion de la production, de la promotion et le développement du potentiel technique et technologique en matière de pêche et enfin de la formation et la recherche scientifique et technique. A cet effet, la délégation algérienne devait rendre visite à l'Institut national pour la recherche et le développement de pêche (INIDEP) de Mar del Plata où des explications leur seraient données sur les avancées enregistrées dans le domaine de la recherche de la pêche océanographique. Les membres de la délégation algérienne ont fait une présentation sur l'état actuel de la pêche et de l'aquaculture dans notre pays. Ils ont, particulièrement, mis l'accent sur l'incorporation rapide des nouvelles technologies dans le secteur de la pêche en Algérie, le contrôle par satellite de l'activité sauvage de pêche et l'attribution de navires de recherche. Ils ont, par ailleurs, exprimé leur enthousiasme pour la visite prochaine de deux experts argentins spécialisés dans les questions de contrôle tels les programmes électroniques de pêche et le système de contrôle par caméra que l'Argentine développe actuellement à travers une expérimentation menée sur sa flotte. Les fonctionnaires argentins ont, de leur côté, évoqué les plus importantes directives relatives à la gestion de la pêche au niveau national, y compris ceux concernant le rôle de l'administration, le contrôle et d'autres aspects liés à la régulation et la préservation des ressources halieutiques disponibles. Un accord de coopération dans les domaines de la pêche et de l'aquaculture qualifié de« hautement important» a été signé mardi dernier entre les gouvernements algérien et argentin, a rapporté le site spécialisé Fish Information and services (FIS). Le Secrétariat à l'agriculture, au bétail, à la pêche et l'alimentation (SAGP&A) de l'Argentine et le ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques de l'Algérie comptent, à travers cet accord, accélérer le transfert de connaissances et la collaboration sur des intérêts communs des deux pays dans les domaines de l'aquaculture et de la pêche. Le premier responsable du SAGP&A, Carlos Cheppi, et le Secrétaire général du ministère de Pêche de l'Algérie, Fateh Boudamous, ont apposé leur signature au bas du document scellant le partenariat algéro-argentin dans la pêche et l'aquaculture. D'autres hauts responsables des deux pays ont pris part à cette cérémonie dont le Sous-secrétaire de pêche et l'aquaculture de l'Argentine, Norberto Yauhar, l'Ambassadeur de l'Algérie en Argentine, Ahcene Boukhelfa et le conseiller du ministère de Pêche et les Ressources d'aquaculture de ce pays. Le Directeur national de Coordination de pêche, Hector Santos et le directeur d'aquaculture Laura Luchini était aussi présents. Parmi ces centres d'intérêt, ajoute la même source, celui relatif à la commercialisation du poisson argentin en Algérie. Après la viande rouge, bientôt du poisson surgelé argentin sur nos marchés. Une question cruciale se pose pour les deux pays qui veulent s'affranchir des intermédiaires européens, avons-nous appris de sources sûres. En effet, du poisson argentin est bel et bien commercialisé en Algérie mais sous label européen. Le phénomène a été signalé récemment à la presse nationale par des producteurs argentins qui prenaient part à la 42e édition de la Foire internationale d'Alger qui s'est tenue du 30 mai au 4 juin dernier. C'est le cas de poisson congelé et de crevette d'origine argentine mais dont l'emballage porte la mention d'un autre pays. Une situation qui s'expliquerait par la frilosité des importateurs algériens à traiter avec les producteurs à la source eu égard aux lourdes dépenses en fret dont la traversée entre l'Algérie et l'Argentine s'étend sur 21 jours alors que 48 heures suffisent pour s'approvisionner à partir de l'Europe. Cependant, les intermédiaires en Europe ont commencé à prélever des marges bénéficiaires supérieures au coût d'acheminement de la marchandise. Mais face aussi au raffermissement de l'euro, les opérateurs nationaux commencent à se départir des anciens centres de fourniture, principalement la France, pour aller vers les zones dollar à même de fournir des conditions plus avantageuses et des relations plus durables. Outre cet aspect, les deux parties ont partagé les données concernant la commercialisation des produits de mer et le développement de l'aquaculture dans les différents bassins fluviaux continentaux et marins. D'autres points d'intérêt commun sur des projets de coopération bilatéraux ont été identifiés. Il s'agit du développement de l'aquaculture, de la gestion durable des ressources de la pêche, de la promotion de la production, de la promotion et le développement du potentiel technique et technologique en matière de pêche et enfin de la formation et la recherche scientifique et technique. A cet effet, la délégation algérienne devait rendre visite à l'Institut national pour la recherche et le développement de pêche (INIDEP) de Mar del Plata où des explications leur seraient données sur les avancées enregistrées dans le domaine de la recherche de la pêche océanographique. Les membres de la délégation algérienne ont fait une présentation sur l'état actuel de la pêche et de l'aquaculture dans notre pays. Ils ont, particulièrement, mis l'accent sur l'incorporation rapide des nouvelles technologies dans le secteur de la pêche en Algérie, le contrôle par satellite de l'activité sauvage de pêche et l'attribution de navires de recherche. Ils ont, par ailleurs, exprimé leur enthousiasme pour la visite prochaine de deux experts argentins spécialisés dans les questions de contrôle tels les programmes électroniques de pêche et le système de contrôle par caméra que l'Argentine développe actuellement à travers une expérimentation menée sur sa flotte. Les fonctionnaires argentins ont, de leur côté, évoqué les plus importantes directives relatives à la gestion de la pêche au niveau national, y compris ceux concernant le rôle de l'administration, le contrôle et d'autres aspects liés à la régulation et la préservation des ressources halieutiques disponibles.