Actuellement, l'activité la plus répandue est la vente de maïs dont raffolent les promeneurs qui n'hésitent pas à en acheter auprès de jeunes qui le font griller sur des braises de charbon de bois, dans des braséros et des kanouns. Actuellement, l'activité la plus répandue est la vente de maïs dont raffolent les promeneurs qui n'hésitent pas à en acheter auprès de jeunes qui le font griller sur des braises de charbon de bois, dans des braséros et des kanouns. Dès la mi-juin, le chef-lieu de wilaya vit au rythme des grandes vacances et c'est l'opportunité pour de nombreux jeunes, essentiellement des chômeurs, des lycéens et des universitaires, de s'adonner à une activité lucrative afin de se soustraire à l'oisiveté et aux mauvaises fréquentations. Ils préfèrent trimer, avoir une occupation saine pour se faire de l'argent de poche, aider leurs parents et faire des économies en prévision du mois sacré du Ramadhan et de la rentrée sociale qui exigent beaucoup de dépenses. Ils optent pour de petits métiers juteux qui ne nécessitent pas de gros investissements et d'efforts soutenus. Actuellement, d'aucuns installent leurs étals au niveau des avenues, boulevards, artères principales qu'investissent, chaque fin d'après-midi, des contingents de promeneurs des deux sexes, en quête de fraîcheur, de détente et de quiètude. La cité Gahdour, implantée sur les hauteurs de la ville, est l'espace privilégié des familles guelmies qui se retrouvent chaque soir dans une ambiance typiquement conviviale. Actuellement, l'activité la plus répandue est la vente de maïs dont raffolent les promeneurs qui n'hésitent pas à en acheter auprès de jeunes qui le font griller sur des braises de charbon de bois, dans des braséros et des kanouns. Ces épis de maïs, une fois grillés, sont trempés dans de l'eau salée et cédés à 20 dinars pièce. Ils sont croqués à pleines dents par des flots de clients. D'autres jeunes préfèrent la commercialisation des boureks, très prisés durant la période estivale, et dont la préparation s'effectue sur place à la demande de la clientèle qui les préfère fourrés de viande hâchée, de fromage, d'œufs frais ou de fromage ou sous forme de simples "cigares". Les marchands de brochettes, merguez, escalopes, grillades ne chôment pas car le fumet appétissant attire beaucoup de clients ravis de calmer leur faim à des prix avantageux. Les noctambules ont l'opportunité de se ravitailler auprès de vendeurs de cacahuètes, pistaches, pop corn, friandises et cigarettes, installés un peu partout. De nombreux jeunes s'investissent dans la vente des pots, cornets et boîtes de glace, tous parfums confondus qui s'écoulent comme des petits pains car chacun tient à se rafraîchir. Dans ce contexte, les appareils de préparation et de distribution de crème et créponnet et les congélateurs contenant sous divers emballages ce produit sont visibles au niveau des magasins, kiosques, cafétérias et autres. Ce sont toujours des jeunes qui exercent cette activité porteuse. De toute évidence, notre jeunesse administre une magistrale leçon de civisme, de sérieux aux fainéants, parasites et délinquants qui versent dans les fléaux sociaux. H. B. Dès la mi-juin, le chef-lieu de wilaya vit au rythme des grandes vacances et c'est l'opportunité pour de nombreux jeunes, essentiellement des chômeurs, des lycéens et des universitaires, de s'adonner à une activité lucrative afin de se soustraire à l'oisiveté et aux mauvaises fréquentations. Ils préfèrent trimer, avoir une occupation saine pour se faire de l'argent de poche, aider leurs parents et faire des économies en prévision du mois sacré du Ramadhan et de la rentrée sociale qui exigent beaucoup de dépenses. Ils optent pour de petits métiers juteux qui ne nécessitent pas de gros investissements et d'efforts soutenus. Actuellement, d'aucuns installent leurs étals au niveau des avenues, boulevards, artères principales qu'investissent, chaque fin d'après-midi, des contingents de promeneurs des deux sexes, en quête de fraîcheur, de détente et de quiètude. La cité Gahdour, implantée sur les hauteurs de la ville, est l'espace privilégié des familles guelmies qui se retrouvent chaque soir dans une ambiance typiquement conviviale. Actuellement, l'activité la plus répandue est la vente de maïs dont raffolent les promeneurs qui n'hésitent pas à en acheter auprès de jeunes qui le font griller sur des braises de charbon de bois, dans des braséros et des kanouns. Ces épis de maïs, une fois grillés, sont trempés dans de l'eau salée et cédés à 20 dinars pièce. Ils sont croqués à pleines dents par des flots de clients. D'autres jeunes préfèrent la commercialisation des boureks, très prisés durant la période estivale, et dont la préparation s'effectue sur place à la demande de la clientèle qui les préfère fourrés de viande hâchée, de fromage, d'œufs frais ou de fromage ou sous forme de simples "cigares". Les marchands de brochettes, merguez, escalopes, grillades ne chôment pas car le fumet appétissant attire beaucoup de clients ravis de calmer leur faim à des prix avantageux. Les noctambules ont l'opportunité de se ravitailler auprès de vendeurs de cacahuètes, pistaches, pop corn, friandises et cigarettes, installés un peu partout. De nombreux jeunes s'investissent dans la vente des pots, cornets et boîtes de glace, tous parfums confondus qui s'écoulent comme des petits pains car chacun tient à se rafraîchir. Dans ce contexte, les appareils de préparation et de distribution de crème et créponnet et les congélateurs contenant sous divers emballages ce produit sont visibles au niveau des magasins, kiosques, cafétérias et autres. Ce sont toujours des jeunes qui exercent cette activité porteuse. De toute évidence, notre jeunesse administre une magistrale leçon de civisme, de sérieux aux fainéants, parasites et délinquants qui versent dans les fléaux sociaux. H. B.