Le phénomène des suicides par pendaison a commencé à prendre une ampleur inquiétante dans la ville de Souk Ahras et risque de devenir, en l'absence d'une étude approfondie, une pratique courante et un refuge pour les désespérés. En effet, la ville a perdu 3 de ses enfants, en 6 jours, tous morts par pendaison pour des raisons que seules les enquêtes ouvertes permettront d'élucider, bien que les témoignages recueillis sur les lieux pointant du doigt l'échec scolaire et la situation sociale. Si pour N.R. (17 ans), la cause semble être les pressions qu'elles a subies après son échec au bac, pour A. Tarek 32 ans et H. Toufik (28 ans) on se contente, pour le moment de viser la situation sociale précaire en attendant de dévoiler les causes et les circonstances exactes ayant mené ces jeunes à mettre fin à leurs vies de façon aussi dramatique. Le phénomène des suicides par pendaison a commencé à prendre une ampleur inquiétante dans la ville de Souk Ahras et risque de devenir, en l'absence d'une étude approfondie, une pratique courante et un refuge pour les désespérés. En effet, la ville a perdu 3 de ses enfants, en 6 jours, tous morts par pendaison pour des raisons que seules les enquêtes ouvertes permettront d'élucider, bien que les témoignages recueillis sur les lieux pointant du doigt l'échec scolaire et la situation sociale. Si pour N.R. (17 ans), la cause semble être les pressions qu'elles a subies après son échec au bac, pour A. Tarek 32 ans et H. Toufik (28 ans) on se contente, pour le moment de viser la situation sociale précaire en attendant de dévoiler les causes et les circonstances exactes ayant mené ces jeunes à mettre fin à leurs vies de façon aussi dramatique.