Nombre d'Algérois déplorent le comportement de "certains" chauffeurs de taxi. Ces derniers bien trop souvent, hélas, sont très loin de répondre à l'image d'Epinal du chauffeur de taxi affable, stylé et respectueux. Dans la vraie vie, c'est le "taxieur" qui vous impose son itinéraire, et ne vous avisez surtout pas de rouspéter ! Cela est malheureusement loin d'être un cas isolé puisque c'est la plupart des chauffeurs qui ont fini par adopter ce comportement incivique. "Souvent vous êtes obligés d'accepter le tarif "coursa" fixé à l'avance par le chauffeur de taxi, cela si vous ne tenez pas à rester planté sur place", déplore une citoyenne. Prendre un taxi pour se déplacer dans Alger est loin d'être une sinécure. L'expression "le client est roi'' s'applique à Alger exclusivement pour le "taxieur, car si roi il y a, cela ne peut être que lui. Il faut signaler que les taxis circulant dans Alger, en plus d'être conduits par des chauffeurs imposant leur loi et adoptant un comportement à la limite de la gougaterie, les véhicules utilisés ne répondent pas toujours, eux non plus, aux normes requises pour ce genre de services. Autre fait à déplorer, le taximètre est installé, dans certains taxis, dans des endroits inprobables, empêchant le client de voir distinctement les sommes affichées, s'il a été remis à zéro, s'il est en tarif jour ou nuit..., le client doit se contenter de croire sur parole le montant de la course énoncé par le chauffeur. Le jumelage est l'autre phénomène des taxis algérois, vous devrez partager la banquette arrière avec deux autres clients qui paieront le même prix fort que vous. Les Algérois et en attendant le tramway et le métro continuent à supporter le dictat de ces "taxieurs". Ils ont fini, d'ailleurs, par se forger une carapace pour affronter les divers aléas liés au transport urbain, mais est-ce le cas pour les touristes qui commencent à affluer cet été, cela ne risque-t-il pas de donner une image négative de la capitale qui est en droit d'exiger d'avoir des taxis à la hauteur de son statut. S. B. Nombre d'Algérois déplorent le comportement de "certains" chauffeurs de taxi. Ces derniers bien trop souvent, hélas, sont très loin de répondre à l'image d'Epinal du chauffeur de taxi affable, stylé et respectueux. Dans la vraie vie, c'est le "taxieur" qui vous impose son itinéraire, et ne vous avisez surtout pas de rouspéter ! Cela est malheureusement loin d'être un cas isolé puisque c'est la plupart des chauffeurs qui ont fini par adopter ce comportement incivique. "Souvent vous êtes obligés d'accepter le tarif "coursa" fixé à l'avance par le chauffeur de taxi, cela si vous ne tenez pas à rester planté sur place", déplore une citoyenne. Prendre un taxi pour se déplacer dans Alger est loin d'être une sinécure. L'expression "le client est roi'' s'applique à Alger exclusivement pour le "taxieur, car si roi il y a, cela ne peut être que lui. Il faut signaler que les taxis circulant dans Alger, en plus d'être conduits par des chauffeurs imposant leur loi et adoptant un comportement à la limite de la gougaterie, les véhicules utilisés ne répondent pas toujours, eux non plus, aux normes requises pour ce genre de services. Autre fait à déplorer, le taximètre est installé, dans certains taxis, dans des endroits inprobables, empêchant le client de voir distinctement les sommes affichées, s'il a été remis à zéro, s'il est en tarif jour ou nuit..., le client doit se contenter de croire sur parole le montant de la course énoncé par le chauffeur. Le jumelage est l'autre phénomène des taxis algérois, vous devrez partager la banquette arrière avec deux autres clients qui paieront le même prix fort que vous. Les Algérois et en attendant le tramway et le métro continuent à supporter le dictat de ces "taxieurs". Ils ont fini, d'ailleurs, par se forger une carapace pour affronter les divers aléas liés au transport urbain, mais est-ce le cas pour les touristes qui commencent à affluer cet été, cela ne risque-t-il pas de donner une image négative de la capitale qui est en droit d'exiger d'avoir des taxis à la hauteur de son statut. S. B.