M. Zerhouni n'a pas hésité à comparer les déclarations françaises à celles de marionnettes dans une pièce de théâtre et qui seraient dictées par des souffleurs. M. Zerhouni n'a pas hésité à comparer les déclarations françaises à celles de marionnettes dans une pièce de théâtre et qui seraient dictées par des souffleurs. Le ministre d'Etat ministre de l'Intérieur et des collectivités locales, Noureddine Yazid Zerhouni, a qualifié hier de «pièce de théâtre» de type «Kabuki» en référence à une forme de théâtre japonais, le dernier rebondissement au sujet de l'affaire de l'assassinat des moines de Tibhirine par l'ex-GIA en 1996 dans la région de Médéa. S'exprimant en marge de la cérémonie de finalisation de stations sismologiques, entrant dans le cadre de la coopération algéro-chinoise dans le domaine de la prévention contre les risques sismiques, M. Zerhouni n'est pas allé de main morte sur ce sujet. «Il me semble que nous sommes devant une pièce de théâtre avec des individus tapis dans l'ombre et racontant l'histoire. Evidemment la scène ne se déroule pas en Algérie, mais à Paris. Ceci me rappelle les pièces de théâtre japonaises du Kabuki jouées par des marionnettes tandis qu'en arrière-salle se trouve un souffleur qui, lui, parle et dicte les paroles de l'histoire». M. Zerhouni est ainsi le premier membre du gouvernement à s'être exprimé officiellement sur cette affaire qui a défrayé la chronique ces derniers jours. Cette affaire avait été, rappelons-le remise sur scène suite aux déclarations qui ne sont que de «faux témoignages» de l'ancien attaché militaire à l'ambassade de France à Alger au moment des faits, en la personne de Buchwalter par qui le scandale est arrivé. Celui-ci n'avait pas hésité à imputer la mort des moines à «une bavure» de l'armée algérienne, remettant ainsi au goût du jour le «qui-tue-qui ?». Nicolas Sarkozy, le président français, avait décidé, avant de se rétracter, de lever le secret défense concernant cette affaire. Heureusement que les propos de Buchwalter ont vite été battus en brèche, aussi bien par des experts militaires algériens que par des anciens hauts responsables militaires et civils français qui n'ont pas hésité à accuser le général de «vouloir travestir l'histoire» en apportant des témoignages dénués de toute crédibilité. Y. D. Le ministre d'Etat ministre de l'Intérieur et des collectivités locales, Noureddine Yazid Zerhouni, a qualifié hier de «pièce de théâtre» de type «Kabuki» en référence à une forme de théâtre japonais, le dernier rebondissement au sujet de l'affaire de l'assassinat des moines de Tibhirine par l'ex-GIA en 1996 dans la région de Médéa. S'exprimant en marge de la cérémonie de finalisation de stations sismologiques, entrant dans le cadre de la coopération algéro-chinoise dans le domaine de la prévention contre les risques sismiques, M. Zerhouni n'est pas allé de main morte sur ce sujet. «Il me semble que nous sommes devant une pièce de théâtre avec des individus tapis dans l'ombre et racontant l'histoire. Evidemment la scène ne se déroule pas en Algérie, mais à Paris. Ceci me rappelle les pièces de théâtre japonaises du Kabuki jouées par des marionnettes tandis qu'en arrière-salle se trouve un souffleur qui, lui, parle et dicte les paroles de l'histoire». M. Zerhouni est ainsi le premier membre du gouvernement à s'être exprimé officiellement sur cette affaire qui a défrayé la chronique ces derniers jours. Cette affaire avait été, rappelons-le remise sur scène suite aux déclarations qui ne sont que de «faux témoignages» de l'ancien attaché militaire à l'ambassade de France à Alger au moment des faits, en la personne de Buchwalter par qui le scandale est arrivé. Celui-ci n'avait pas hésité à imputer la mort des moines à «une bavure» de l'armée algérienne, remettant ainsi au goût du jour le «qui-tue-qui ?». Nicolas Sarkozy, le président français, avait décidé, avant de se rétracter, de lever le secret défense concernant cette affaire. Heureusement que les propos de Buchwalter ont vite été battus en brèche, aussi bien par des experts militaires algériens que par des anciens hauts responsables militaires et civils français qui n'ont pas hésité à accuser le général de «vouloir travestir l'histoire» en apportant des témoignages dénués de toute crédibilité. Y. D.