Quelques jours après avoir annoncé son souhait de céder ses parts sur le permis d'exploration Hassi Ba Hamou (HBH) en Algérie, la compagnie britannique Gulf Keystone (GK) fait face aux premières réactions de ses partenaires sur ce projet. La compagnie a en effet annoncé hier dans un communiqué de presse que British Gas (BG) lui réclame le payement d'un dédommagement de 7,5 millions de dollars pour avoir suspendu ses investissements. GK a indiqué que sa consœur britannique lui «a clairement notifié qu'elle va exercer certains de ses droits conformément aux termes du contrat qui existe». GK a ajouté dans le communiqué que cette démarche pourrait «la conduire à se retirer complètement de la joint-venture» dans laquelle elle associé à BG et à Sonatrach. Pour contrer BG, Gulf Keystone a affirmé qu'elle aura recours à «l'arbitrage», en ajoutant que «le droit que BG essaye d'exercer ne peu être appliqué» et qu'elle «contexte le montant qui lui est réclamé». Mercredi dernier, GK avait annoncé sont désir de trouver un acheteur pour sa part dans le permis Hassi Ba Hamou dans lequel elle détient 38,25% aux côtés de BG avec 36,75% et Sonatrach qui possède 25 %. Le compagnie britannique avait expliqué cette décision par le fait qu'elle voudrait se concentrer davantage sur les opérations au Kurdistan d'où elle espère générer des revenus très rapidement au moment où le projet Hassi Ba Hamou ne doit pas entrer en production avant 2014. British Gas est pour le moment la seule à avoir réagi devant les velléités de sa compatriote. Du côté algérien, le ministre de l'Energie et des Mines, M. Chakib Khelil, a déclaré cette semaine que GK a le droit de vendre ses parts si elle le souhaite, mais que Sonatrach peut s'y opposer si cela va à l'encontre de ses intérêts. Il a cependant ajouté que si ce retrait peut permettre de ramener une autre compagnie plus forte financièrement, capable d'investir, cela ne peut être que positif. S. B. Quelques jours après avoir annoncé son souhait de céder ses parts sur le permis d'exploration Hassi Ba Hamou (HBH) en Algérie, la compagnie britannique Gulf Keystone (GK) fait face aux premières réactions de ses partenaires sur ce projet. La compagnie a en effet annoncé hier dans un communiqué de presse que British Gas (BG) lui réclame le payement d'un dédommagement de 7,5 millions de dollars pour avoir suspendu ses investissements. GK a indiqué que sa consœur britannique lui «a clairement notifié qu'elle va exercer certains de ses droits conformément aux termes du contrat qui existe». GK a ajouté dans le communiqué que cette démarche pourrait «la conduire à se retirer complètement de la joint-venture» dans laquelle elle associé à BG et à Sonatrach. Pour contrer BG, Gulf Keystone a affirmé qu'elle aura recours à «l'arbitrage», en ajoutant que «le droit que BG essaye d'exercer ne peu être appliqué» et qu'elle «contexte le montant qui lui est réclamé». Mercredi dernier, GK avait annoncé sont désir de trouver un acheteur pour sa part dans le permis Hassi Ba Hamou dans lequel elle détient 38,25% aux côtés de BG avec 36,75% et Sonatrach qui possède 25 %. Le compagnie britannique avait expliqué cette décision par le fait qu'elle voudrait se concentrer davantage sur les opérations au Kurdistan d'où elle espère générer des revenus très rapidement au moment où le projet Hassi Ba Hamou ne doit pas entrer en production avant 2014. British Gas est pour le moment la seule à avoir réagi devant les velléités de sa compatriote. Du côté algérien, le ministre de l'Energie et des Mines, M. Chakib Khelil, a déclaré cette semaine que GK a le droit de vendre ses parts si elle le souhaite, mais que Sonatrach peut s'y opposer si cela va à l'encontre de ses intérêts. Il a cependant ajouté que si ce retrait peut permettre de ramener une autre compagnie plus forte financièrement, capable d'investir, cela ne peut être que positif. S. B.