Plusieurs villages relevant de la commune de Boukhelifa, à Bejaia, tels que Djebira, Talanjast, Ibekarène et Timanachine souffrent d'un manque crucial en eau potable. L'irrégularité de la distribution et l'insuffisance de ce liquide précieux font que les citoyens se plaignent continuellement auprès des responsables locaux pour remédier à cette situation pénalisante. Les élus locaux se disent dépassés par ce problème et n'admettent pas le fait que l'APC soit entièrement responsable de la mauvaise distribution de l'eau : «Nous subissons une pression de la part des villageois qui imputent toute la responsabilité à l'APC. C'est à l'Algérienne des eaux (ADE) que revient en premier lieu la charge d'y remédier», déclare un élu. L'APC s'affaire sérieusement à améliorer la distribution de l'eau dans les villages de la commune qui en manquent, mais des lacunes persistent encore. A Djebira, à titre d'exemple, les villageois se voient alimenter en eau potable à l'aide d'un tracteur-citerne réquisitionné par l'APC, qui est loin de satisfaire leurs besoins. Les élus locaux espèrent en finir avec les jerricans et les longues files devant les anciennes fontaines. Signalons, par ailleurs, que les travaux de raccordement du lotissement Talanjast au réseau d'AEP ont été lancés récemment. Un projet que les habitants ont accueilli avec soulagement en espérant que de telles initiatives touchent les autres villages. S.N. Plusieurs villages relevant de la commune de Boukhelifa, à Bejaia, tels que Djebira, Talanjast, Ibekarène et Timanachine souffrent d'un manque crucial en eau potable. L'irrégularité de la distribution et l'insuffisance de ce liquide précieux font que les citoyens se plaignent continuellement auprès des responsables locaux pour remédier à cette situation pénalisante. Les élus locaux se disent dépassés par ce problème et n'admettent pas le fait que l'APC soit entièrement responsable de la mauvaise distribution de l'eau : «Nous subissons une pression de la part des villageois qui imputent toute la responsabilité à l'APC. C'est à l'Algérienne des eaux (ADE) que revient en premier lieu la charge d'y remédier», déclare un élu. L'APC s'affaire sérieusement à améliorer la distribution de l'eau dans les villages de la commune qui en manquent, mais des lacunes persistent encore. A Djebira, à titre d'exemple, les villageois se voient alimenter en eau potable à l'aide d'un tracteur-citerne réquisitionné par l'APC, qui est loin de satisfaire leurs besoins. Les élus locaux espèrent en finir avec les jerricans et les longues files devant les anciennes fontaines. Signalons, par ailleurs, que les travaux de raccordement du lotissement Talanjast au réseau d'AEP ont été lancés récemment. Un projet que les habitants ont accueilli avec soulagement en espérant que de telles initiatives touchent les autres villages. S.N.