La Conférence internationale des Nations unies sur la Palestine s'est achevée jeudi à Genève par l'adoption d'une déclaration finale qui condamne les crimes commis par les troupes israéliennes contre la population palestinienne de Ghaza. La Conférence internationale des Nations unies sur la Palestine s'est achevée jeudi à Genève par l'adoption d'une déclaration finale qui condamne les crimes commis par les troupes israéliennes contre la population palestinienne de Ghaza. Les participants ont appelé à faire appliquer les normes du droit international humanitaire et que les résultats des enquêtes menées sur les événements de Ghaza débouchent sur la traduction en justice des auteurs du massacre commis lors de l‘agression militaire israélienne contre la bande de Ghaza. Les participants ont en outre été particulièrement consternés par le fait qu‘Israël a maintenu un strict blocus de la bande de Ghaza après cette attaque militaire contre la population de Ghaza. «La justice internationale ne peut être rétablie que par un engagement pris par tous les acteurs de la communauté internationale pour que les auteurs de violations du droit international humanitaire et relatives aux droits de l‘Homme aient à rendre compte de leurs actes et pour mettre fin à l‘impunité". Ils ont jugé particulièrement inquiétante l‘évolution récente observée à EL Qods occupée, notamment la multiplication des démolitions de maisons palestiniennes et déplorent que Tel Aviv ait poursuivi la construction du mur, au mépris de l‘avis de la Cour internationale de justice. Les participants ont constaté que le règlement du conflit par des négociations directes devait fermement s‘appuyer sur les principes de droit international et réaliser l‘ambition d‘aboutir à l‘existence de deux Etats. Cette réunion est organisée par le Comité pour l‘exercice des droits inaliénables du peuple palestinien. Son objectif principal a été de discuter des questions liées aux violations israéliennes du droit international humanitaire lors des hostilités récentes dans la bande de Ghaza et de définir les moyens à mettre en œuvre par la communauté internationale pour faire appliquer les normes du droit international humanitaire et pour respecter ses obligations au titre de la protection des civils. «L‘Opération menée par Israël durant les mois de décembre 2008 et janvier 2009 a démontré le mépris total d‘Israël à l‘égard du droit international humanitaire", a affirmé le Comité pour l‘exercice des droits inaliénables du peuple palestinien. Les participants ont appelé à faire appliquer les normes du droit international humanitaire et que les résultats des enquêtes menées sur les événements de Ghaza débouchent sur la traduction en justice des auteurs du massacre commis lors de l‘agression militaire israélienne contre la bande de Ghaza. Les participants ont en outre été particulièrement consternés par le fait qu‘Israël a maintenu un strict blocus de la bande de Ghaza après cette attaque militaire contre la population de Ghaza. «La justice internationale ne peut être rétablie que par un engagement pris par tous les acteurs de la communauté internationale pour que les auteurs de violations du droit international humanitaire et relatives aux droits de l‘Homme aient à rendre compte de leurs actes et pour mettre fin à l‘impunité". Ils ont jugé particulièrement inquiétante l‘évolution récente observée à EL Qods occupée, notamment la multiplication des démolitions de maisons palestiniennes et déplorent que Tel Aviv ait poursuivi la construction du mur, au mépris de l‘avis de la Cour internationale de justice. Les participants ont constaté que le règlement du conflit par des négociations directes devait fermement s‘appuyer sur les principes de droit international et réaliser l‘ambition d‘aboutir à l‘existence de deux Etats. Cette réunion est organisée par le Comité pour l‘exercice des droits inaliénables du peuple palestinien. Son objectif principal a été de discuter des questions liées aux violations israéliennes du droit international humanitaire lors des hostilités récentes dans la bande de Ghaza et de définir les moyens à mettre en œuvre par la communauté internationale pour faire appliquer les normes du droit international humanitaire et pour respecter ses obligations au titre de la protection des civils. «L‘Opération menée par Israël durant les mois de décembre 2008 et janvier 2009 a démontré le mépris total d‘Israël à l‘égard du droit international humanitaire", a affirmé le Comité pour l‘exercice des droits inaliénables du peuple palestinien.