Inspiré par le grand poète errant kabyle, Si M'hand Ou M'hand, Brahim Boudraa, fonctionnaire de son état, après avoir enchaîné plusieurs petits boulots, ajoute une nouvelle corde à son arc en consacrant une grande partie de son temps libre à la poésie épique en évoquant des sonorités et sensations proches du style des poèmes du début du siècle dernier. Il ne rate aucune occasion ou manifestation culturelle pour exposer ses manuscrits et à en déclamer quelques passages traitant de l'actualité. Mais, faute d'éditeur, ses manuscrits «croupissent» dans les placards. «Alors que la meilleure façon de préserver notre riche patrimoine ancestral, c'est de l'immortaliser en l'éditant pour le transmettre aux générations futures», dira le troubadour qui souhaite vivement que le projet de publication de ses récits voie le jour. Inspiré par le grand poète errant kabyle, Si M'hand Ou M'hand, Brahim Boudraa, fonctionnaire de son état, après avoir enchaîné plusieurs petits boulots, ajoute une nouvelle corde à son arc en consacrant une grande partie de son temps libre à la poésie épique en évoquant des sonorités et sensations proches du style des poèmes du début du siècle dernier. Il ne rate aucune occasion ou manifestation culturelle pour exposer ses manuscrits et à en déclamer quelques passages traitant de l'actualité. Mais, faute d'éditeur, ses manuscrits «croupissent» dans les placards. «Alors que la meilleure façon de préserver notre riche patrimoine ancestral, c'est de l'immortaliser en l'éditant pour le transmettre aux générations futures», dira le troubadour qui souhaite vivement que le projet de publication de ses récits voie le jour.