Jesus Loza, président de l'Intergroupe Paix et Liberté pour le peuple sahraoui du Parlement régional basque, une instance qui regroupe l'ensemble des formations politiques basques, a réaffirmé son engagement à défendre la reconnaissance du droit à l'autodétermination du peuple sahraoui, à l'issue de sa première réunion de cette législature. Jesus Loza, président de l'Intergroupe Paix et Liberté pour le peuple sahraoui du Parlement régional basque, une instance qui regroupe l'ensemble des formations politiques basques, a réaffirmé son engagement à défendre la reconnaissance du droit à l'autodétermination du peuple sahraoui, à l'issue de sa première réunion de cette législature. Au cours de la conférence de presse qu'il a organisé pour présenter le programme de travail de l'instance parlementaire qu'il préside, il a appelé à trouver «une solution au conflit sahraoui», sur la base de la légalité internationale qui doit prendre en considération la question sahraouie en tant que processus de décolonisation, et sur le droit inaliénable du peuple sahraoui à pouvoir choisir librement son avenir, à travers l'organisation d'un référendum d'autodétermination, conformément aux différentes résolutions de l'ONU. Déclinant les objectifs de l'Intergroupe pour les prochaines quatre années, Jesus Loza a souligné, en présence de plusieurs parlementaires membres de l'Intergroupe Paix et Liberté pour le peuple sahraoui, et de la déléguée du Front Polisario au Pays Basque, Mme Fatma Mohamed Salem, que «le soutien aux efforts du nouvel envoyé spécial de l'ONU pour le Sahara Occidental, Christopher Ross, la poursuite de l'aide humanitaire aux réfugiés sahraouis, et la défense des droits de l'Homme dans les territoires sahraouis occupés par le Maroc», figurent en bonne place. Pour sa part, le responsable Sahraoui a relevé que le peuple Sahraoui «ne demande pas à l'Espagne de rompre ses relations avec le Maroc, mais qu'elle soit neutre et défende les résolutions des Nations unies et le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination», exprimant son optimisme en la désignation de M. Ross qui a ouvert une «nouvelle ère d'espoir» pour le peuple sahraoui, et appelé le gouvernement espagnol à apporter un soutien diplomatique à la juste cause du peuple sahraoui. Par ailleurs, dans une «tribune», intitulée, «L'immense pouvoir de Mohamed VI», parue jeudi dans le quotidien El Pais, à l'occasion du 10e anniversaire de l'intronisation de Mohammed VI, un journaliste marocain, Aboubakr Jamai, fondateur du Journal Hebdomadaire, a estimé qu' avec le départ de l'ancien président américain, George Bush, de la Maison-Blanche, le Maroc «a perdu un soutien important concernant le Sahara occidental», doutant que le gouvernement d'Obama «va prendre très au sérieux la proposition marocaine d'accorder l'autonomie au Sahara occidental au lieu de l'organisation d'un référendum d'autodétermination». Il a relevé, par ailleurs, l'absence du roi du Maroc à de «nombreuses rencontres importantes», et son refus de recevoir à Rabat de hauts responsables étrangers en visite dans son pays, dont l'envoyé spécial de l'ONU pour le Sahara Occidental, Christopher Ross. Refus et absences qu'il explique par le fait que dans sa lettre, adressée récemment au roi du Maroc, le président Obama soulignait l'importance de «parvenir à une solution qui réponde aux besoins des populations, en termes de gouvernance transparente, de confiance en l'Etat de droit et d'une administration de justice équitable». Au cours de la conférence de presse qu'il a organisé pour présenter le programme de travail de l'instance parlementaire qu'il préside, il a appelé à trouver «une solution au conflit sahraoui», sur la base de la légalité internationale qui doit prendre en considération la question sahraouie en tant que processus de décolonisation, et sur le droit inaliénable du peuple sahraoui à pouvoir choisir librement son avenir, à travers l'organisation d'un référendum d'autodétermination, conformément aux différentes résolutions de l'ONU. Déclinant les objectifs de l'Intergroupe pour les prochaines quatre années, Jesus Loza a souligné, en présence de plusieurs parlementaires membres de l'Intergroupe Paix et Liberté pour le peuple sahraoui, et de la déléguée du Front Polisario au Pays Basque, Mme Fatma Mohamed Salem, que «le soutien aux efforts du nouvel envoyé spécial de l'ONU pour le Sahara Occidental, Christopher Ross, la poursuite de l'aide humanitaire aux réfugiés sahraouis, et la défense des droits de l'Homme dans les territoires sahraouis occupés par le Maroc», figurent en bonne place. Pour sa part, le responsable Sahraoui a relevé que le peuple Sahraoui «ne demande pas à l'Espagne de rompre ses relations avec le Maroc, mais qu'elle soit neutre et défende les résolutions des Nations unies et le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination», exprimant son optimisme en la désignation de M. Ross qui a ouvert une «nouvelle ère d'espoir» pour le peuple sahraoui, et appelé le gouvernement espagnol à apporter un soutien diplomatique à la juste cause du peuple sahraoui. Par ailleurs, dans une «tribune», intitulée, «L'immense pouvoir de Mohamed VI», parue jeudi dans le quotidien El Pais, à l'occasion du 10e anniversaire de l'intronisation de Mohammed VI, un journaliste marocain, Aboubakr Jamai, fondateur du Journal Hebdomadaire, a estimé qu' avec le départ de l'ancien président américain, George Bush, de la Maison-Blanche, le Maroc «a perdu un soutien important concernant le Sahara occidental», doutant que le gouvernement d'Obama «va prendre très au sérieux la proposition marocaine d'accorder l'autonomie au Sahara occidental au lieu de l'organisation d'un référendum d'autodétermination». Il a relevé, par ailleurs, l'absence du roi du Maroc à de «nombreuses rencontres importantes», et son refus de recevoir à Rabat de hauts responsables étrangers en visite dans son pays, dont l'envoyé spécial de l'ONU pour le Sahara Occidental, Christopher Ross. Refus et absences qu'il explique par le fait que dans sa lettre, adressée récemment au roi du Maroc, le président Obama soulignait l'importance de «parvenir à une solution qui réponde aux besoins des populations, en termes de gouvernance transparente, de confiance en l'Etat de droit et d'une administration de justice équitable».