Des peines de prison allant de 5 à 10 ans de prison ferme assortie d'une amende de 500.000 DA à 1.000.000 DA sont prévues pour les chauffeurs des poids lourds et des bus, selon l'infraction. Des peines de prison allant de 5 à 10 ans de prison ferme assortie d'une amende de 500.000 DA à 1.000.000 DA sont prévues pour les chauffeurs des poids lourds et des bus, selon l'infraction. Vu le nombre croissant des victimes sur les routes, les accidents de la circulation sont devenues la première cause de mortalité en Algérie. 93 morts et 1.347 blessés dans divers accidents tragiques ont été enregistrés en l'espace d'une semaine, selon un bilan établi par la Gendarmerie nationale du 15 au 21 juillet de l'année en cours. Les pouvoirs publics semblent décidés cette fois de prendre le taureau par les cornes, et ce, en durcissant le code de la route avec des mesures plus répressives, une décision tant attendue par les citoyens qui souhaitaient qu'ont donne un coup de semonce à «des criminels de la route sans scrupule». Et c'est dans cette perspective qu'interviennent les derniers amendements apportés au code de la route à la faveur du dernier Conseil des ministres. «Des peines de prison seront prononcées, selon le degrés de la gravité et selon la catégorie» a déclaré le directeur de la circulation routière au ministère des Transport, Tahar Messaoud Nacer qui était l'invité, hier matin, sur les ondes de la chaîne III. Pour lui : «les accidents causé par les poids lourd et les bus sont souvent les plus spectaculaires, causant un grands nombre de victimes». A cet effet, M. Messaoud Nacer a fait savoir que «des peines de prison allant de 5 à 10 ans de prison ferme assortie d'une amende de 500.000 DA à 1.000.000 DA sont prévues pour les chauffeurs des poids lourd et des bus», selon l'infraction. Pour les conducteurs de véhicules de tourisme les peines sont de deux à cinq ans de prison assorties d'une amendes allant de 100.000 DA à 200.000 DA» tout en précisant que «la particularité de ces peines d'emprisonnement consiste notamment dans le fait qu'elles sont destinées aux conducteurs en état d'ivresse». S'agissant des amendes forfaitaires, M.Messaoud Nacer indiquera que «désormais, la moindre entrave au code de la route coûtera au contrevenant 2.000 DA pouvant atteindre les 6.000 DA». Selon M.Messaoud Nacer, les infractions ont été répertoriées en quatre degrés. «Pour 60 infractions nous avons décidé qu'une dizaine sont passibles de trois mois de retrait de permis de conduire, et 17 autres de six mois de suspension, et 12 délits pour lesquels nous avons prévus un retrait d'une année à quatre ans, tout comme il est prévu l'annulation définitive du permis de conduire» a-t-il expliqué. Lors de son intervention le représentant du ministère des Transports a déclaré qu' «à travers les amendements apportés au code de la route à la faveur du dernier Conseil des ministres, la volonté était de s'assurer que le contrevenant s'acquitte de sa dette envers la société, et mettre fin à l'impunité qui régne». Vu le nombre croissant des victimes sur les routes, les accidents de la circulation sont devenues la première cause de mortalité en Algérie. 93 morts et 1.347 blessés dans divers accidents tragiques ont été enregistrés en l'espace d'une semaine, selon un bilan établi par la Gendarmerie nationale du 15 au 21 juillet de l'année en cours. Les pouvoirs publics semblent décidés cette fois de prendre le taureau par les cornes, et ce, en durcissant le code de la route avec des mesures plus répressives, une décision tant attendue par les citoyens qui souhaitaient qu'ont donne un coup de semonce à «des criminels de la route sans scrupule». Et c'est dans cette perspective qu'interviennent les derniers amendements apportés au code de la route à la faveur du dernier Conseil des ministres. «Des peines de prison seront prononcées, selon le degrés de la gravité et selon la catégorie» a déclaré le directeur de la circulation routière au ministère des Transport, Tahar Messaoud Nacer qui était l'invité, hier matin, sur les ondes de la chaîne III. Pour lui : «les accidents causé par les poids lourd et les bus sont souvent les plus spectaculaires, causant un grands nombre de victimes». A cet effet, M. Messaoud Nacer a fait savoir que «des peines de prison allant de 5 à 10 ans de prison ferme assortie d'une amende de 500.000 DA à 1.000.000 DA sont prévues pour les chauffeurs des poids lourd et des bus», selon l'infraction. Pour les conducteurs de véhicules de tourisme les peines sont de deux à cinq ans de prison assorties d'une amendes allant de 100.000 DA à 200.000 DA» tout en précisant que «la particularité de ces peines d'emprisonnement consiste notamment dans le fait qu'elles sont destinées aux conducteurs en état d'ivresse». S'agissant des amendes forfaitaires, M.Messaoud Nacer indiquera que «désormais, la moindre entrave au code de la route coûtera au contrevenant 2.000 DA pouvant atteindre les 6.000 DA». Selon M.Messaoud Nacer, les infractions ont été répertoriées en quatre degrés. «Pour 60 infractions nous avons décidé qu'une dizaine sont passibles de trois mois de retrait de permis de conduire, et 17 autres de six mois de suspension, et 12 délits pour lesquels nous avons prévus un retrait d'une année à quatre ans, tout comme il est prévu l'annulation définitive du permis de conduire» a-t-il expliqué. Lors de son intervention le représentant du ministère des Transports a déclaré qu' «à travers les amendements apportés au code de la route à la faveur du dernier Conseil des ministres, la volonté était de s'assurer que le contrevenant s'acquitte de sa dette envers la société, et mettre fin à l'impunité qui régne».