Le secrétaire américain à la Défense Robert Gates était, arrivé hier, au Proche-Orient dans le cadre des efforts déployés par le président Barack Obama pour relancer les pourparlers de paix entre Israéliens et Palestiniens, ont indiqué des responsables américains. Robert Gates effectuera une visite en Israël et en Cisjordanie, de mardi à jeudi, pour «aborder une large série de questions qui concernent nos relations avec Israël et l'Autorité palestinienne», a annoncé un responsable de la Maison- Blanche. Cette visite coïncide avec celles de l'émissaire américain pour le Proche-Orient, George Mitchell, et d'une délégation menée par le conseiller à la sécurité nationale de Barack Obama, James Jones. Le secrétaire à la Défense doit rencontrer lundi son homologue israélien Ehud Barak, avant de s'entretenir avec le Premier ministre Benjamin Netanyahu, ont annoncé des responsables à la Défense. Il se rendra ensuite en Jordanie, où il discutera avec son homologue jordanien, ainsi qu'avec le roi Abdallah II, des efforts de paix dans la région, de l'Iran et du retrait américain d'Irak. Le secrétaire américain à la Défense Robert Gates était, arrivé hier, au Proche-Orient dans le cadre des efforts déployés par le président Barack Obama pour relancer les pourparlers de paix entre Israéliens et Palestiniens, ont indiqué des responsables américains. Robert Gates effectuera une visite en Israël et en Cisjordanie, de mardi à jeudi, pour «aborder une large série de questions qui concernent nos relations avec Israël et l'Autorité palestinienne», a annoncé un responsable de la Maison- Blanche. Cette visite coïncide avec celles de l'émissaire américain pour le Proche-Orient, George Mitchell, et d'une délégation menée par le conseiller à la sécurité nationale de Barack Obama, James Jones. Le secrétaire à la Défense doit rencontrer lundi son homologue israélien Ehud Barak, avant de s'entretenir avec le Premier ministre Benjamin Netanyahu, ont annoncé des responsables à la Défense. Il se rendra ensuite en Jordanie, où il discutera avec son homologue jordanien, ainsi qu'avec le roi Abdallah II, des efforts de paix dans la région, de l'Iran et du retrait américain d'Irak.