Le secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères italiennes, Enzo Scotty, a fait part de la volonté de l'Italie à encourager les deux parties en conflit, à savoir le Front Polisario et le Maroc, à engager «un dialogue franc et ouvert, sans conditions préalables», afin de réaliser un réel progrès pour la relance des négociations. Le secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères italiennes, Enzo Scotty, a fait part de la volonté de l'Italie à encourager les deux parties en conflit, à savoir le Front Polisario et le Maroc, à engager «un dialogue franc et ouvert, sans conditions préalables», afin de réaliser un réel progrès pour la relance des négociations. Le gouvernement italien réaffirme sa position à l'égard de la question du Sahara Occidental. Par la voix de son secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères, Enzo Scotty, l'Italie plaide pour une solution au conflit au Sahara Occidental qui «garantit le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination», a rapporté jeudi dernier, l'agence sahraouie SPS. Intervenant mercredi devant la Commission des relations extérieures du Parlement italien, Enzo Scotty a fait part de la volonté de l'Italie à encourager les deux parties en conflit, à savoir le Front Polisario et le Maroc, à engager «un dialogue franc et ouvert, sans conditions préalables», afin de réaliser un réel progrès pour la relance des négociations sous les auspices de l'ONU, a encore indiqué SPS. Le second responsable de la diplomatie italienne a réaffirmé ce que le chef de la diplomatie italienne, Franco Frattini, a soutenu lors de sa visite en mai dernier à Rabat et à l'occasion d'autres réunions tenues avec les autorités marocaines et les représentants du Front Polisario, à savoir que l'Italie a toujours répété qu' «une solution juste et durable au différend sur le Sahara Occidental ne peut être trouvée que dans l'espace du dialogue direct entre le Maroc et le Front Polisario, sous l'égide de l'Onu pour trouver une solution qui garantisse le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination, conformément aux dispositions des résolutions du Conseil de sécurité et de celles de l'Assemblée générale». Le secrétaire d'Etat italien aux Affaires Etrangères, a expliqué, en réponse aux députés des partis démocratique et de la Ligue du Nord, que «l'Italie a toujours maintenu une position neutre et équilibrée à l'égard de la question du Sahara occidental». Dans un autre contexte, le Conseil de la ville de Rome a adopté mercredi une motion de soutien au peuple sahraoui dans sa lutte de libération nationale, appelant l'ONU à mettre en œuvre ses résolutions tendant à décoloniser le Sahara Occidental et le gouvernement italien à reconnaître au Polisario son statut diplomatique en Italie. La motion, rapportée par la SPS, recommande également à oeuvrer afin que le Maroc garantisse « le respect des droits de l'Homme dans les territoires occupés du Sahara occidental ». Le respect des droits de l'Homme au Sahara Occidental par le Maroc constitue également une préoccupation du Sénat américain. La commission financière de ce dernier a appelé le secrétariat d'Etat américain à présenter un rapport sur le respect des droits de l'Homme par le Maroc au Sahara occidental, faisant du respect de ces droits, une condition à son soutien économique dans le budget de l'année prochaine. La commission « demande au ministère des Affaires étrangères de lui présenter, dans un délai de 45 jours, après l'adoption du budget des opérations extérieures américaines pour l'année financière 2010, un rapport détaillé sur les démarches entreprises par le Maroc, durant les douze derniers mois, en matière des droits de l'Homme ». Le gouvernement italien réaffirme sa position à l'égard de la question du Sahara Occidental. Par la voix de son secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères, Enzo Scotty, l'Italie plaide pour une solution au conflit au Sahara Occidental qui «garantit le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination», a rapporté jeudi dernier, l'agence sahraouie SPS. Intervenant mercredi devant la Commission des relations extérieures du Parlement italien, Enzo Scotty a fait part de la volonté de l'Italie à encourager les deux parties en conflit, à savoir le Front Polisario et le Maroc, à engager «un dialogue franc et ouvert, sans conditions préalables», afin de réaliser un réel progrès pour la relance des négociations sous les auspices de l'ONU, a encore indiqué SPS. Le second responsable de la diplomatie italienne a réaffirmé ce que le chef de la diplomatie italienne, Franco Frattini, a soutenu lors de sa visite en mai dernier à Rabat et à l'occasion d'autres réunions tenues avec les autorités marocaines et les représentants du Front Polisario, à savoir que l'Italie a toujours répété qu' «une solution juste et durable au différend sur le Sahara Occidental ne peut être trouvée que dans l'espace du dialogue direct entre le Maroc et le Front Polisario, sous l'égide de l'Onu pour trouver une solution qui garantisse le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination, conformément aux dispositions des résolutions du Conseil de sécurité et de celles de l'Assemblée générale». Le secrétaire d'Etat italien aux Affaires Etrangères, a expliqué, en réponse aux députés des partis démocratique et de la Ligue du Nord, que «l'Italie a toujours maintenu une position neutre et équilibrée à l'égard de la question du Sahara occidental». Dans un autre contexte, le Conseil de la ville de Rome a adopté mercredi une motion de soutien au peuple sahraoui dans sa lutte de libération nationale, appelant l'ONU à mettre en œuvre ses résolutions tendant à décoloniser le Sahara Occidental et le gouvernement italien à reconnaître au Polisario son statut diplomatique en Italie. La motion, rapportée par la SPS, recommande également à oeuvrer afin que le Maroc garantisse « le respect des droits de l'Homme dans les territoires occupés du Sahara occidental ». Le respect des droits de l'Homme au Sahara Occidental par le Maroc constitue également une préoccupation du Sénat américain. La commission financière de ce dernier a appelé le secrétariat d'Etat américain à présenter un rapport sur le respect des droits de l'Homme par le Maroc au Sahara occidental, faisant du respect de ces droits, une condition à son soutien économique dans le budget de l'année prochaine. La commission « demande au ministère des Affaires étrangères de lui présenter, dans un délai de 45 jours, après l'adoption du budget des opérations extérieures américaines pour l'année financière 2010, un rapport détaillé sur les démarches entreprises par le Maroc, durant les douze derniers mois, en matière des droits de l'Homme ».