Les travaux de la 4e réunion de la commission des chefs d'états-majors des pays membres de la capacité de la région d'Afrique du Nord relevant de la force africaine en attente ont été ouverts, hier, à Alger. Les travaux de cette réunion qui s'étaleront jusqu'à jeudi prochain ont vu la participation des chefs d'états-majors d'Algérie, de Libye, d'Egypte, de Mauritanie, de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) et de Tunisie, ainsi que les membres du Secrétariat exécutif de cette instance et des représentants de la commission de l'Union africaine (UA). Le chef des forces terrestres, le général Bendjemil Kadour chef de la délégation algérienne et qui a présidé la réunion en tant que représentant du chef d'état-major de l'Armée nationale populaire (ANP) a indiqué, dans son allocution d'ouverture, que cette rencontre visait «la finalisation des résultats ayant sanctionné la réunion des experts tenue récemment à Tripoli concernant la capacité de déploiement rapide, la formation, les centres d'excellence et le courrier électronique». Pour sa part, le secrétaire général du secrétariat exécutif de la capacité de la région d'Afrique du Nord, le général-major Ahmed Abdallah Aoun a souligné l'importance de cette réunion dont le succès impliquerait, a-t-il dit, «la concrétisation des ambitions des dirigeants des pays concernés à travers la signature d'un mémorandum d'entente d'institution de la capacité qui constituerait sans aucun doute un pilier dans la réalisation de la paix et de la sécurité africaines». Le général Kadouri Mustapha, a indiqué dans ce contexte que la réunion examinera les questions concernant le règlement administratif, le budget consacré à la capacité et le déploiement rapide de cette instance outre des questions organisationnelles. Parallèlement, un atelier de formation est organisé et «concerne les formateurs militaire, civil et policier», a-t-il ajouté. Le chef de la délégation libyenne, le général El Bahar Bachir Radjeb Safsaf a de son côté rappelé les composantes de la capacité qui est constituée du secrétariat exécutif et de l'organe de planification avec leur siège en Libye, du commandement dont le siège est en Egypte et deux bases logistiques. Il a souligné dans ce cadre le vœu de cette instance de voir le siège de la base principale administrative de l'UA être accueilli par la wilaya de Jijel. Les questions soumises à débat lors de cette réunion seront présentées, après adoption par la commission, au conseil des ministres de la Défense des pays membres puis à la conférence des chefs d'Etats. L'Algérie avait abrité la 3e édition de cette réunion les 21 et 22 octobre dernier à travers l'organisation d'un atelier consacré à la police et à la Gendarmerie nationale et aux formateurs civils de la région d'Afrique du Nord au sein de la force africaine en attente. Les travaux de la 4e réunion de la commission des chefs d'états-majors des pays membres de la capacité de la région d'Afrique du Nord relevant de la force africaine en attente ont été ouverts, hier, à Alger. Les travaux de cette réunion qui s'étaleront jusqu'à jeudi prochain ont vu la participation des chefs d'états-majors d'Algérie, de Libye, d'Egypte, de Mauritanie, de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) et de Tunisie, ainsi que les membres du Secrétariat exécutif de cette instance et des représentants de la commission de l'Union africaine (UA). Le chef des forces terrestres, le général Bendjemil Kadour chef de la délégation algérienne et qui a présidé la réunion en tant que représentant du chef d'état-major de l'Armée nationale populaire (ANP) a indiqué, dans son allocution d'ouverture, que cette rencontre visait «la finalisation des résultats ayant sanctionné la réunion des experts tenue récemment à Tripoli concernant la capacité de déploiement rapide, la formation, les centres d'excellence et le courrier électronique». Pour sa part, le secrétaire général du secrétariat exécutif de la capacité de la région d'Afrique du Nord, le général-major Ahmed Abdallah Aoun a souligné l'importance de cette réunion dont le succès impliquerait, a-t-il dit, «la concrétisation des ambitions des dirigeants des pays concernés à travers la signature d'un mémorandum d'entente d'institution de la capacité qui constituerait sans aucun doute un pilier dans la réalisation de la paix et de la sécurité africaines». Le général Kadouri Mustapha, a indiqué dans ce contexte que la réunion examinera les questions concernant le règlement administratif, le budget consacré à la capacité et le déploiement rapide de cette instance outre des questions organisationnelles. Parallèlement, un atelier de formation est organisé et «concerne les formateurs militaire, civil et policier», a-t-il ajouté. Le chef de la délégation libyenne, le général El Bahar Bachir Radjeb Safsaf a de son côté rappelé les composantes de la capacité qui est constituée du secrétariat exécutif et de l'organe de planification avec leur siège en Libye, du commandement dont le siège est en Egypte et deux bases logistiques. Il a souligné dans ce cadre le vœu de cette instance de voir le siège de la base principale administrative de l'UA être accueilli par la wilaya de Jijel. Les questions soumises à débat lors de cette réunion seront présentées, après adoption par la commission, au conseil des ministres de la Défense des pays membres puis à la conférence des chefs d'Etats. L'Algérie avait abrité la 3e édition de cette réunion les 21 et 22 octobre dernier à travers l'organisation d'un atelier consacré à la police et à la Gendarmerie nationale et aux formateurs civils de la région d'Afrique du Nord au sein de la force africaine en attente.