La rentrée scolaire est prévue pour le 13 septembre, soit une semaine avant d'Aid El Fitr. Certains parents craignant que cette fête religieuse ne perturbe le cours des études ont émis le veux que le ministère de l'Education nationale repousse la rentrée après le mois de ramadhan. Toutefois, les syndicats de l'éducation, contactés hier, ne son pas du même avis et rejettent en bloc une telle suggestion. Pour eux, «le décalage de la rentrée scolaire ne s'avère d'aucune utilité». Puisque, estiment-ils, «l'insuffisance du volume horaire par rapport au programme scolaire surchargé ne permet pas du tout de gaspiller davantage de temps». Bien au contraire, nos interlocuteurs ont unanimement affirmé que cette semaine, source de souci pour les parents d'élèves, peut être bénéfique au déroulement des cours vu que d'habitude la première semaine de la rentrée scolaire est toujours «une semaine perdue». Ceci, dans la mesure où elle est souvent consacrée à «la paperasse administrative et la prise de contact entre le professeur et ses élèves». «Cette dernière semaine du mois de ramadhan sera, si elle est inclue dans le programme, une semaine gagnée car on pourra juste après se lancer dans le programme scolaire il est même utile d'en profiter pour ne pas perdre un temps supplémentaire après », a jugé M Idir Achour porte-parole du Conseil des lycées d'Algérie (CLA). . Aussi, M.Méziane Mériane , SG du syndicat national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (SNAPEST) a estimé que si le décalage est officiellement établi par la ministère de l'Education nationale, ce serait « une décision incorrecte » . «Nous peinons vraiment en tant qu'enseignants à terminer le programme des différentes classes dans les délais prescrits » a-t-il dit. Avant d'ajouter que « de toute manière, nous avons déjà travaillé durant le mois de ramadhan, donc je ne vois pas quel est le problème pour cette année que ce soit pour les élèves que pour les enseignants». Le même avis est partagé par le conseil national autonome de l'enseignement secondaire et technique (CNAPEST). Son chargé de la communication, M. Boudiba a avoué que la question n'est même pas abordée au sein de sa formation syndicale. « À mon avis, il y a des points plus importants à débattre dans le secteur de l'éducation mis à part le décalage de la rentrée scolaire, car le ramadhan n'a jamais entravé réellement le cours des études.», a-t-il estimé. La rentrée scolaire est prévue pour le 13 septembre, soit une semaine avant d'Aid El Fitr. Certains parents craignant que cette fête religieuse ne perturbe le cours des études ont émis le veux que le ministère de l'Education nationale repousse la rentrée après le mois de ramadhan. Toutefois, les syndicats de l'éducation, contactés hier, ne son pas du même avis et rejettent en bloc une telle suggestion. Pour eux, «le décalage de la rentrée scolaire ne s'avère d'aucune utilité». Puisque, estiment-ils, «l'insuffisance du volume horaire par rapport au programme scolaire surchargé ne permet pas du tout de gaspiller davantage de temps». Bien au contraire, nos interlocuteurs ont unanimement affirmé que cette semaine, source de souci pour les parents d'élèves, peut être bénéfique au déroulement des cours vu que d'habitude la première semaine de la rentrée scolaire est toujours «une semaine perdue». Ceci, dans la mesure où elle est souvent consacrée à «la paperasse administrative et la prise de contact entre le professeur et ses élèves». «Cette dernière semaine du mois de ramadhan sera, si elle est inclue dans le programme, une semaine gagnée car on pourra juste après se lancer dans le programme scolaire il est même utile d'en profiter pour ne pas perdre un temps supplémentaire après », a jugé M Idir Achour porte-parole du Conseil des lycées d'Algérie (CLA). . Aussi, M.Méziane Mériane , SG du syndicat national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (SNAPEST) a estimé que si le décalage est officiellement établi par la ministère de l'Education nationale, ce serait « une décision incorrecte » . «Nous peinons vraiment en tant qu'enseignants à terminer le programme des différentes classes dans les délais prescrits » a-t-il dit. Avant d'ajouter que « de toute manière, nous avons déjà travaillé durant le mois de ramadhan, donc je ne vois pas quel est le problème pour cette année que ce soit pour les élèves que pour les enseignants». Le même avis est partagé par le conseil national autonome de l'enseignement secondaire et technique (CNAPEST). Son chargé de la communication, M. Boudiba a avoué que la question n'est même pas abordée au sein de sa formation syndicale. « À mon avis, il y a des points plus importants à débattre dans le secteur de l'éducation mis à part le décalage de la rentrée scolaire, car le ramadhan n'a jamais entravé réellement le cours des études.», a-t-il estimé.