La commune d'El Achour, qui s'étend jusqu'à l'extrémité sud de la wilaya d'Alger à savoir jusqu'à Douera, accueille pas moins de 140.000 résidants. La plupart de ces derniers sont contraints d'enprunter, quotidiennement, les bus desservant Ben Aknoun, station servant de transit pour se rendre ensuite vers les différentes localités de la capitale. Ces bus menant à Ben-Aknoun sont au nombre de plus de cent et sont tous assez récents et surtout bien entretenus. Il faut admettre que l'unique avantages de cette ligne est qu'elle est dotée, pratiquement, des meilleurs bus exerçant dans l'Algérois et même les navettes et rotations sont bien organisées. Toutefois ces avantages et même le nombre, relativement important, de ces bus ne suffisent pas à contrôler le flux impressionnant des voyageurs qui sont ainsi soumis à un stress quotidien pour se rendre sur leur lieu de travail ou vaquer à leurs occupations. Cela serait dû à diverses raisons nous expliquent les citoyens. «Si les bus de l'ETUSA desservaient notre ligne comme c'est le cas pour d'autres destinations, cela pourrait faciliter nos déplacements», argumentent des usagers abordées au niveau de la station de Ben Aknoun. «Nous supportons un véritable calvaire au quotidien», se plaignent d'autres. Cette situation est particulièrement agravée par l'incivisme de certains : les plus forts en effet jouant des coudes pour prendre d'assaut les bus, cela sans nullement prendre en compte les personnes âgées, les femmes ou simplement celles qui n'osent bousculer leur prochain. Pour rappel, cette situation ne date pas d'hier, vu que les conditions ont toujours été déplorables sur cette ligne. Signalons qu'au niveau de la station urbaine de Ben Aknoun, les voyageurs allant vers le sud algérois, sont les derniers à déserter les lieux : à 19 h des usagers sont encore là à espérer le bus qui les ramenera enfin chez eux. Les personnes enpruntant cette ligne ont adressé, à maintes reprises, des appels aux responsables locaux afin de renforcer le transport sur cette ligne. Ils demandent à ce que soient affectés, sur cette ligne, des bus de l'ETUSA afin de prendre en charge une partie du flux important des voyageurs. Des promesses leur ont certes été données, mais jusque là rien n'est concrétisé sur le terrain. Ainsi un énième SOS est lancé avec l'espoir de trouver un écho positif. La commune d'El Achour, qui s'étend jusqu'à l'extrémité sud de la wilaya d'Alger à savoir jusqu'à Douera, accueille pas moins de 140.000 résidants. La plupart de ces derniers sont contraints d'enprunter, quotidiennement, les bus desservant Ben Aknoun, station servant de transit pour se rendre ensuite vers les différentes localités de la capitale. Ces bus menant à Ben-Aknoun sont au nombre de plus de cent et sont tous assez récents et surtout bien entretenus. Il faut admettre que l'unique avantages de cette ligne est qu'elle est dotée, pratiquement, des meilleurs bus exerçant dans l'Algérois et même les navettes et rotations sont bien organisées. Toutefois ces avantages et même le nombre, relativement important, de ces bus ne suffisent pas à contrôler le flux impressionnant des voyageurs qui sont ainsi soumis à un stress quotidien pour se rendre sur leur lieu de travail ou vaquer à leurs occupations. Cela serait dû à diverses raisons nous expliquent les citoyens. «Si les bus de l'ETUSA desservaient notre ligne comme c'est le cas pour d'autres destinations, cela pourrait faciliter nos déplacements», argumentent des usagers abordées au niveau de la station de Ben Aknoun. «Nous supportons un véritable calvaire au quotidien», se plaignent d'autres. Cette situation est particulièrement agravée par l'incivisme de certains : les plus forts en effet jouant des coudes pour prendre d'assaut les bus, cela sans nullement prendre en compte les personnes âgées, les femmes ou simplement celles qui n'osent bousculer leur prochain. Pour rappel, cette situation ne date pas d'hier, vu que les conditions ont toujours été déplorables sur cette ligne. Signalons qu'au niveau de la station urbaine de Ben Aknoun, les voyageurs allant vers le sud algérois, sont les derniers à déserter les lieux : à 19 h des usagers sont encore là à espérer le bus qui les ramenera enfin chez eux. Les personnes enpruntant cette ligne ont adressé, à maintes reprises, des appels aux responsables locaux afin de renforcer le transport sur cette ligne. Ils demandent à ce que soient affectés, sur cette ligne, des bus de l'ETUSA afin de prendre en charge une partie du flux important des voyageurs. Des promesses leur ont certes été données, mais jusque là rien n'est concrétisé sur le terrain. Ainsi un énième SOS est lancé avec l'espoir de trouver un écho positif.