Incivisme, vandalise, délinquance, tous les quaificatifs ne suffisent pas pour dénoncer le phénomène du vol des bacs de collecte des ordures ménagères GTZ. Ce phénomène prend, et en l'absence d'une réaction énergique des autorités communales et de la population, une ampleur inquiétante, comme en témoigne ce spectacle de désolation et de clochardisation dans certains quartiers, devenus de véritables décharges publiques à ciel ouvert. Ont peut citer, à titre d'exemple, la Vieille-Ville (Place d'Armes), la Plaine Ouest, deux cités asphyxiées par les détritus, et ce dans une indifférence générale. La sonnette d'alarme a été tirée par la Direction de l'hygiène de l'APC, dont les efforts déployés pour inculquer une culture civique en matière d'hygiène publique aux citoyens, via surtout le mouvement associatif, sont aujourd'hui devenus inopérants face à la recrudescence des actes de vandalisme et la délinquance. «Près de 100 bacs, acquis auprès de la société allemande GTZ, dans le cadre d'un contrat d'assistance, sur les 700 fournis, pour débarrasser la 4e ville du pays de ses décharges sauvages, source de nuisance et d'insalubrité pour le cadre de vie, ont mystérieusement disparus de la circulation au niveau de plusieurs quartiers», dénonce le responsable du service d'hygiène au sein de l'APC d'Annaba. Ce dernier, impuissant à faire face à ces actes de vandalisme, n'a fait que constater les dégâts. «Certes des plaintes contre «X» ont été déposées mais cela n'a servi à rien». Les bacs GTZ continuent à faire l'objet de vols, «les deux derniers volés, récemment à Oued Forcha, ont été subtilisés il y a à peine une semaine», confirme-t-on. Selon la même source, chaque bac GTZ coûte 40.000 DA. Ce déficit, causé par ces vols, expose la ville de Sidi Brahim au développement et à la multiplication des décharges sauvages intra-muros, avec bien entendu toutes les conséquences néfastes que cela suppose sur la santé publique. Incivisme, vandalise, délinquance, tous les quaificatifs ne suffisent pas pour dénoncer le phénomène du vol des bacs de collecte des ordures ménagères GTZ. Ce phénomène prend, et en l'absence d'une réaction énergique des autorités communales et de la population, une ampleur inquiétante, comme en témoigne ce spectacle de désolation et de clochardisation dans certains quartiers, devenus de véritables décharges publiques à ciel ouvert. Ont peut citer, à titre d'exemple, la Vieille-Ville (Place d'Armes), la Plaine Ouest, deux cités asphyxiées par les détritus, et ce dans une indifférence générale. La sonnette d'alarme a été tirée par la Direction de l'hygiène de l'APC, dont les efforts déployés pour inculquer une culture civique en matière d'hygiène publique aux citoyens, via surtout le mouvement associatif, sont aujourd'hui devenus inopérants face à la recrudescence des actes de vandalisme et la délinquance. «Près de 100 bacs, acquis auprès de la société allemande GTZ, dans le cadre d'un contrat d'assistance, sur les 700 fournis, pour débarrasser la 4e ville du pays de ses décharges sauvages, source de nuisance et d'insalubrité pour le cadre de vie, ont mystérieusement disparus de la circulation au niveau de plusieurs quartiers», dénonce le responsable du service d'hygiène au sein de l'APC d'Annaba. Ce dernier, impuissant à faire face à ces actes de vandalisme, n'a fait que constater les dégâts. «Certes des plaintes contre «X» ont été déposées mais cela n'a servi à rien». Les bacs GTZ continuent à faire l'objet de vols, «les deux derniers volés, récemment à Oued Forcha, ont été subtilisés il y a à peine une semaine», confirme-t-on. Selon la même source, chaque bac GTZ coûte 40.000 DA. Ce déficit, causé par ces vols, expose la ville de Sidi Brahim au développement et à la multiplication des décharges sauvages intra-muros, avec bien entendu toutes les conséquences néfastes que cela suppose sur la santé publique.