Depuis plus d'un an, les habitants du hameau de Loulidja situé entre Ain Kerma et Zitouna chef lieu communal dans la wilaya de Tarf, souffrent le calvaire à cause d'une pénurie d'eau sans précédent. Ce problème n'est pas prés pour trouver une issue positive selon les habitants. Cette denrée ne coule que rarement dans les robinets des ménagères qui ne savent plus à quel saint se vouer pour les soustraire de l'enfer vécu. Elle n'est servie que pendant moins d'une heure nous disent les citoyens. Le calvaire s'amplifie de jour en jour. Les habitants de ce hameau ont même exposé leur préoccupation au wali lors de son passage dans le cadre de la visite sur le terrain. En outre, il est vrai à dire que par ces temps de chaleur l'eau doit être puisée des deux sources que compte la localité. Mais par cette canicule, elles sont presque à sec. Les citoyens sont en outre contraints de faire la queue jusqu'à une heure tardive de la soirée pour soutirer quelques litres. Dans un passé récent le problème ne se posait pas parce que la population était alimentée du barrage de Bounamoussa dans la commune de Cheffia dont le château d'eau se trouve à Damous Bouhadjar mais depuis la mise en service du barrage de Mexa commune de Bougous (El Tarf) la situation s'est complètement dégradée. Les deux rives qui composent cette localité sont durement frappés par cette crise intenable. Il est vrai à dire que les robinets sont à sec même en hiver. Cet état de fait a plongé plus d'une centaine de familles dans le calvaire. Les habitants des villages s'approvisionnent sources de Ain Chefa et Taki qui sont situées souvent loin des citoyens. La population nécessite la mise à leur disposition des citernes à eau pour étancher la soif. Un programme de distribution doit être établie à partir du barrage Mexa par les autorités locales afin de venir à bout de ce supplice. Depuis plus d'un an, les habitants du hameau de Loulidja situé entre Ain Kerma et Zitouna chef lieu communal dans la wilaya de Tarf, souffrent le calvaire à cause d'une pénurie d'eau sans précédent. Ce problème n'est pas prés pour trouver une issue positive selon les habitants. Cette denrée ne coule que rarement dans les robinets des ménagères qui ne savent plus à quel saint se vouer pour les soustraire de l'enfer vécu. Elle n'est servie que pendant moins d'une heure nous disent les citoyens. Le calvaire s'amplifie de jour en jour. Les habitants de ce hameau ont même exposé leur préoccupation au wali lors de son passage dans le cadre de la visite sur le terrain. En outre, il est vrai à dire que par ces temps de chaleur l'eau doit être puisée des deux sources que compte la localité. Mais par cette canicule, elles sont presque à sec. Les citoyens sont en outre contraints de faire la queue jusqu'à une heure tardive de la soirée pour soutirer quelques litres. Dans un passé récent le problème ne se posait pas parce que la population était alimentée du barrage de Bounamoussa dans la commune de Cheffia dont le château d'eau se trouve à Damous Bouhadjar mais depuis la mise en service du barrage de Mexa commune de Bougous (El Tarf) la situation s'est complètement dégradée. Les deux rives qui composent cette localité sont durement frappés par cette crise intenable. Il est vrai à dire que les robinets sont à sec même en hiver. Cet état de fait a plongé plus d'une centaine de familles dans le calvaire. Les habitants des villages s'approvisionnent sources de Ain Chefa et Taki qui sont situées souvent loin des citoyens. La population nécessite la mise à leur disposition des citernes à eau pour étancher la soif. Un programme de distribution doit être établie à partir du barrage Mexa par les autorités locales afin de venir à bout de ce supplice.