La circulation, piétonne et automobile, les commerces informel et légal, les transports privé et public, les dessinateurs et les mendiants sur les trottoirs, tous faisaient partie de la scène pour faire de cette journée de repos, une journée bien animée et mouvementée. La circulation, piétonne et automobile, les commerces informel et légal, les transports privé et public, les dessinateurs et les mendiants sur les trottoirs, tous faisaient partie de la scène pour faire de cette journée de repos, une journée bien animée et mouvementée. Les rues d'Alger et des autres villes n'avaient rien de si particulier hier, par rapport aux samedi précédents. Rien, en effet, ne correspondait à une journée de repos, plutôt connue pour être calme et caractérisée par une inertie des espaces publics. C'est pourtant bien le week-end selon le nouveau calendrier de travail établi par le gouvernement et mis en application ce vendredi (14 août), mais cela n'a pas empêché les gens de d'arpenter les grandes artères qui ont été prises d'assaut par une foule nombreuse foule. La circulation, piétonne et automobile, les commerces informel et légal, les transports privé et public, les dessinateurs et les mendiants sur les trottoir, tous faisaient partie de la scène pour faire de cette journée de repos, une journée bien animée et mouvementée. L'agitation de cette journée n'était pas peu bizarre pour un week-end, surtout si on considère que durant le vendredi, instauré comme journée de repos depuis 1976, la vie était pratiquement inexistante. A part les mouvements en direction des mosquées, vers les quelques magasins ou marchés en activité ou pour les visites familiales, les rues algéroises se noyaient dans un vide hebdomadaire. «Je ne comprend pas que compte faire tout ce monde aujourd'hui, et pourquoi sort-t-il à une si bonne heure alors qu'il n'y a ni travail ni administration en service. N'est ce pas le week-end ?», s'est interrogé un quinquagénaire rencontré hier, tôt le matin, dans un bus de la ligne Tizi-Ouzou-Alger. Ce dernier, gérant d'un restaurant à la gare routière d'Alger, et donc habitué à la circulation inter-wilaya a estimé que durant toutes les années où il a exercé dans les lieux, il n'a jamais vu une pareille éffervescence durant le week-end, à l'exception des journées de fêtes. Notre interlocuteur interrompe soudain son étonnement et se rend à l'évidence de l'habitude : «les gens n'ont pas encore admis que le samedi est la journée de leur repos hebdomadaire. Quelques semaines seulement et nous allons adopter une nouvelle habitude». Dès les premières heures de la journée, les rues étaient déjà en mouvement et les magasins, toutes activités confondues, ont ouverts leurs portes. Des groupes et des individus encombraient les trottoirs de la capitale. Une dame que nous avons rencontré parmi la foule, a expliqué ce mouvement par le week-end prolongé. Selon elle, ce denier a permis aux gens de reprendre leurs forces et d'être prêts à se remettre au boulot. En somme, la nouvelle programmation du week-end, de l'avis des personnes que nous avons approché, semble chambouler le quotidien de l'algérien, habitué depuis plus de 30 ans à un mode de vie bien défini, avant qu'il ne soit admis dans la liste des nouvelles habitudes. Les rues d'Alger et des autres villes n'avaient rien de si particulier hier, par rapport aux samedi précédents. Rien, en effet, ne correspondait à une journée de repos, plutôt connue pour être calme et caractérisée par une inertie des espaces publics. C'est pourtant bien le week-end selon le nouveau calendrier de travail établi par le gouvernement et mis en application ce vendredi (14 août), mais cela n'a pas empêché les gens de d'arpenter les grandes artères qui ont été prises d'assaut par une foule nombreuse foule. La circulation, piétonne et automobile, les commerces informel et légal, les transports privé et public, les dessinateurs et les mendiants sur les trottoir, tous faisaient partie de la scène pour faire de cette journée de repos, une journée bien animée et mouvementée. L'agitation de cette journée n'était pas peu bizarre pour un week-end, surtout si on considère que durant le vendredi, instauré comme journée de repos depuis 1976, la vie était pratiquement inexistante. A part les mouvements en direction des mosquées, vers les quelques magasins ou marchés en activité ou pour les visites familiales, les rues algéroises se noyaient dans un vide hebdomadaire. «Je ne comprend pas que compte faire tout ce monde aujourd'hui, et pourquoi sort-t-il à une si bonne heure alors qu'il n'y a ni travail ni administration en service. N'est ce pas le week-end ?», s'est interrogé un quinquagénaire rencontré hier, tôt le matin, dans un bus de la ligne Tizi-Ouzou-Alger. Ce dernier, gérant d'un restaurant à la gare routière d'Alger, et donc habitué à la circulation inter-wilaya a estimé que durant toutes les années où il a exercé dans les lieux, il n'a jamais vu une pareille éffervescence durant le week-end, à l'exception des journées de fêtes. Notre interlocuteur interrompe soudain son étonnement et se rend à l'évidence de l'habitude : «les gens n'ont pas encore admis que le samedi est la journée de leur repos hebdomadaire. Quelques semaines seulement et nous allons adopter une nouvelle habitude». Dès les premières heures de la journée, les rues étaient déjà en mouvement et les magasins, toutes activités confondues, ont ouverts leurs portes. Des groupes et des individus encombraient les trottoirs de la capitale. Une dame que nous avons rencontré parmi la foule, a expliqué ce mouvement par le week-end prolongé. Selon elle, ce denier a permis aux gens de reprendre leurs forces et d'être prêts à se remettre au boulot. En somme, la nouvelle programmation du week-end, de l'avis des personnes que nous avons approché, semble chambouler le quotidien de l'algérien, habitué depuis plus de 30 ans à un mode de vie bien défini, avant qu'il ne soit admis dans la liste des nouvelles habitudes.