Les journées de vendredi et samedi sont retenues jours de repos hebdomadaire pour le secteur de l'Education nationale. C'est ce qui a été décidé à l'issue de la réunion de coordination tenue hier en présence du ministre de l'Education nationale, M. Boubekeur Benbouzid et des différents syndicats activant dans le secteur. Ces journées de repos ont été retenues pour l'ensemble des élèves et enseignants du secteur en sus de l'après-midi du mardi avec la répartition des quatre heures de cours -dispensées précédemment durant la matinée de jeudi- tout au long des jours ouvrables de la semaine de manière pédagogique. L'accord a été conclu à la suite de trois propositions formulées par le ministère de l'Education aux syndicats activant dans le secteur lors d'une réunion tenue le 17 août pour l'organisation de l'année scolaire, du week-end et la réduction à 45 minutes de l'unité horaire fixée auparavant à 60 minutes. Les syndicats ont donné, en majorité, leur accord à cette proposition qui «répond à leurs préoccupations en la matière", à l'exception du Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE) qui a appelé à maintenir l'ancien système, soit le jeudi après-midi et le vendredi comme jours de repos, ou à retenir le vendredi comme jour de repos et consacrer le samedi à la réception des parents d'élèves pour s'enquérir de leurs préoccupations quant à la scolarisation de leurs enfants. «Ce nouveau régime favorisera une parfaite application du programme dans de bonnes conditions et à un rythme pédagogique mondialement reconnu et permettra aussi bien aux élèves qu'aux enseignants de prendre un temps de repos», affirme le ministre. Il a également été décidé, lors de la réunion, de rejeter la proposition portant réduction à 45 min par cours de l'unité horaire fixée auparavant à 60 min par cours, du moins pour l'année en cours dans l'attente de son examen pour la prochaine rentrée. De leurs côtés, les syndicats ont précisé que la présentation du projet «était hâtive, n'a pas fait l'objet d'examen approfondi et n'a pas pris en compte les préoccupations des enseignants» Les journées de vendredi et samedi sont retenues jours de repos hebdomadaire pour le secteur de l'Education nationale. C'est ce qui a été décidé à l'issue de la réunion de coordination tenue hier en présence du ministre de l'Education nationale, M. Boubekeur Benbouzid et des différents syndicats activant dans le secteur. Ces journées de repos ont été retenues pour l'ensemble des élèves et enseignants du secteur en sus de l'après-midi du mardi avec la répartition des quatre heures de cours -dispensées précédemment durant la matinée de jeudi- tout au long des jours ouvrables de la semaine de manière pédagogique. L'accord a été conclu à la suite de trois propositions formulées par le ministère de l'Education aux syndicats activant dans le secteur lors d'une réunion tenue le 17 août pour l'organisation de l'année scolaire, du week-end et la réduction à 45 minutes de l'unité horaire fixée auparavant à 60 minutes. Les syndicats ont donné, en majorité, leur accord à cette proposition qui «répond à leurs préoccupations en la matière", à l'exception du Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE) qui a appelé à maintenir l'ancien système, soit le jeudi après-midi et le vendredi comme jours de repos, ou à retenir le vendredi comme jour de repos et consacrer le samedi à la réception des parents d'élèves pour s'enquérir de leurs préoccupations quant à la scolarisation de leurs enfants. «Ce nouveau régime favorisera une parfaite application du programme dans de bonnes conditions et à un rythme pédagogique mondialement reconnu et permettra aussi bien aux élèves qu'aux enseignants de prendre un temps de repos», affirme le ministre. Il a également été décidé, lors de la réunion, de rejeter la proposition portant réduction à 45 min par cours de l'unité horaire fixée auparavant à 60 min par cours, du moins pour l'année en cours dans l'attente de son examen pour la prochaine rentrée. De leurs côtés, les syndicats ont précisé que la présentation du projet «était hâtive, n'a pas fait l'objet d'examen approfondi et n'a pas pris en compte les préoccupations des enseignants»