Les habitants de Ain Naâdja, à Alger, ont organisé, dans la soirée de samedi passé, une manifestations de protestation contre les coupures d'eau et d'électricité dont ils souffrent ces derniers mois et surtout celle du premier jour du Ramadan; ce qui a, selon des résidents, complètement paralysé le quartier. Ce n'est pas la seule privation de climatisation qui a incommodé et mis en rogne les citoyens. La réfrigération et la congélation, plus que nécessaires en cette période de canicule, ont en été perturbées, surtout en ce premier jour de Ramadan. «En ce premier jour de Ramadan, on s'est retrouvé sans pain parce que les boulangers n'ont pas travaillé sans parler des bouchers qui se sont, eux aussi, élevé contre ces coupures répétitives qui leur causent des pertes considérables», s'indigne un manifestant. D'ailleurs, l'un des commerçant n'hésite pas à clamer : «Depuis le début du mois de juillet, j'ai enregistré d'énormes pertes à causes de ces coupure d'électricité (…) Samedi, par exemple, une coupures de huit heures a été suffisante pour me décongeler plus d'une vingtaines de kilos de viande congelée que je ne peux ni vendre, ni recongeler». Les habitants du "château neuf" à Ain Naâdja sont sortis dans la rue pour réclamer leurs droits et montrer leur colère. Selon des habitants du quartier, le P/APC se serait déplacé sur les lieux de la manifestation pour «s'adresser aux citoyens et les calmer». Toutes nos tentatives de joindre, hier, l' APC en question sont demeurées vaines. Ces vagues de protestation ne sont, faut-il le rappeler, pas propre à la capitale puisque déjà depuis le début de l'été, plusieurs manifestations du genre ont été signalées à travers le territoire national. A Azzefoun, le village Iachouba a vécu cinq jours sans électricité comme à Khenchela, Tipasa où plusieurs communes subissent ces coupures. La Sonelgaz, avait expliqué que les coupures ne sont pas dues aux délestages, mais à des câbles qui éclatent suite à la forte consommation d'énergie électrique induisant une surcharge sur le réseau de distribution. Les habitants de Ain Naâdja, à Alger, ont organisé, dans la soirée de samedi passé, une manifestations de protestation contre les coupures d'eau et d'électricité dont ils souffrent ces derniers mois et surtout celle du premier jour du Ramadan; ce qui a, selon des résidents, complètement paralysé le quartier. Ce n'est pas la seule privation de climatisation qui a incommodé et mis en rogne les citoyens. La réfrigération et la congélation, plus que nécessaires en cette période de canicule, ont en été perturbées, surtout en ce premier jour de Ramadan. «En ce premier jour de Ramadan, on s'est retrouvé sans pain parce que les boulangers n'ont pas travaillé sans parler des bouchers qui se sont, eux aussi, élevé contre ces coupures répétitives qui leur causent des pertes considérables», s'indigne un manifestant. D'ailleurs, l'un des commerçant n'hésite pas à clamer : «Depuis le début du mois de juillet, j'ai enregistré d'énormes pertes à causes de ces coupure d'électricité (…) Samedi, par exemple, une coupures de huit heures a été suffisante pour me décongeler plus d'une vingtaines de kilos de viande congelée que je ne peux ni vendre, ni recongeler». Les habitants du "château neuf" à Ain Naâdja sont sortis dans la rue pour réclamer leurs droits et montrer leur colère. Selon des habitants du quartier, le P/APC se serait déplacé sur les lieux de la manifestation pour «s'adresser aux citoyens et les calmer». Toutes nos tentatives de joindre, hier, l' APC en question sont demeurées vaines. Ces vagues de protestation ne sont, faut-il le rappeler, pas propre à la capitale puisque déjà depuis le début de l'été, plusieurs manifestations du genre ont été signalées à travers le territoire national. A Azzefoun, le village Iachouba a vécu cinq jours sans électricité comme à Khenchela, Tipasa où plusieurs communes subissent ces coupures. La Sonelgaz, avait expliqué que les coupures ne sont pas dues aux délestages, mais à des câbles qui éclatent suite à la forte consommation d'énergie électrique induisant une surcharge sur le réseau de distribution.