L'utilisation de la dynamite par des patrons pêcheurs est un autre phénomène qui a fortement contribué à la dégradation du milieu marin, faisant disparaître la faune et la flore marine dans de nombreuses zones côtières de la wilaya de Tipasa. L'utilisation de la dynamite par des patrons pêcheurs est un autre phénomène qui a fortement contribué à la dégradation du milieu marin, faisant disparaître la faune et la flore marine dans de nombreuses zones côtières de la wilaya de Tipasa. Après plusieurs journées d'information et de sensibilisation sur la préservation des ressources halieutiques tenues à la wilaya de Tipasa pour organiser la pêche dans la région, et dans le sillage de différentes rencontres, les armateurs de la wilaya de Tipasa avaient proposé la prorogation du délai de l'interdiction de la pêche du poisson blanc jusqu'au 1er octobre. De même, avaient-ils suggéré d'interdire la pêche du poisson bleu, notamment la sardine, à compter du mois de mai jusqu'au mois de Ramadhan et ce, à titre expérimental. Ces propositions devaient être soumises au ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, dans le but de préserver les ressources halieutiques et assurer la pérennité de l'activité de la pêche en Algérie notamment dans la wilaya de Tipasa. Nous, qui, selon des responsables du secteur, sommes aller vers l'importation de la sardine de Tunisie, en dépit des gros investissements engagés par l'Etat dans l'achat de navires de pêche. Un responsable de la chambre de la pêche de la wilaya avait déclaré que "je ne suis pas au courant de la vente de la sardine de Tunisie en Algérie, mais pour ce qui est du merlan, effectivement, ce poisson a pénétré le marché algérien car les Tunisiens ne sont pas consommateurs de merlan". L'utilisation de la dynamite par des patrons pêcheurs est un autre phénomène qui a fortement contribué à la dégradation du milieu marin, faisant disparaître la faune et la flore marine dans de nombreuses zones côtières de la wilaya de Tipasa. La préservation de l'environnement ne fait pas partie des soucis de certains nouveaux «investisseurs» du secteur de la pêche. Etrangement, les parties concernées affichent leur impuissance face à de tels fléaux. En plus de la vente de ces espèces qu'on avait auparavant interdite» telles que la sardine et le poisson blanc, les marchands le font dans des «conditions d'hygiène très dégradées», nous révèle un citoyen. En ce mois sacré et depuis ces derniers mois, un autre phénomène aussi est apparu dans la wilaya de Tipasa et surtout dans la commune de Bouharoune : Des vendeurs, arrivés de nulle part, s'installent et occupent quelques mètres carrés pour vendre leurs kilos de poisson aux automobilistes qui se rendent à Bouharoune ou même les passagers qui vont vers d'autres communes de la wilaya. Toutes sortes de poisson, et surtout le fameux thon, sont exposés en plein air sous un parasol et avec quelques sachets de glaçons toute la journée. Des dizaines d'automobilistes s'arrêtent quand même pour acheter cette marchandise en provoquant un énorme embouteillage. L'insalubrité des lieux est insupportable, alors que certains clients, une fois arrivés chez eux, se rendent compte que le poisson acheté était congelé à l'origine. Les passants et les consommateurs semblent s'accommoder à cet environnement pollué et ne semblent nullement gênés par l'état infect des lieux. Après plusieurs journées d'information et de sensibilisation sur la préservation des ressources halieutiques tenues à la wilaya de Tipasa pour organiser la pêche dans la région, et dans le sillage de différentes rencontres, les armateurs de la wilaya de Tipasa avaient proposé la prorogation du délai de l'interdiction de la pêche du poisson blanc jusqu'au 1er octobre. De même, avaient-ils suggéré d'interdire la pêche du poisson bleu, notamment la sardine, à compter du mois de mai jusqu'au mois de Ramadhan et ce, à titre expérimental. Ces propositions devaient être soumises au ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, dans le but de préserver les ressources halieutiques et assurer la pérennité de l'activité de la pêche en Algérie notamment dans la wilaya de Tipasa. Nous, qui, selon des responsables du secteur, sommes aller vers l'importation de la sardine de Tunisie, en dépit des gros investissements engagés par l'Etat dans l'achat de navires de pêche. Un responsable de la chambre de la pêche de la wilaya avait déclaré que "je ne suis pas au courant de la vente de la sardine de Tunisie en Algérie, mais pour ce qui est du merlan, effectivement, ce poisson a pénétré le marché algérien car les Tunisiens ne sont pas consommateurs de merlan". L'utilisation de la dynamite par des patrons pêcheurs est un autre phénomène qui a fortement contribué à la dégradation du milieu marin, faisant disparaître la faune et la flore marine dans de nombreuses zones côtières de la wilaya de Tipasa. La préservation de l'environnement ne fait pas partie des soucis de certains nouveaux «investisseurs» du secteur de la pêche. Etrangement, les parties concernées affichent leur impuissance face à de tels fléaux. En plus de la vente de ces espèces qu'on avait auparavant interdite» telles que la sardine et le poisson blanc, les marchands le font dans des «conditions d'hygiène très dégradées», nous révèle un citoyen. En ce mois sacré et depuis ces derniers mois, un autre phénomène aussi est apparu dans la wilaya de Tipasa et surtout dans la commune de Bouharoune : Des vendeurs, arrivés de nulle part, s'installent et occupent quelques mètres carrés pour vendre leurs kilos de poisson aux automobilistes qui se rendent à Bouharoune ou même les passagers qui vont vers d'autres communes de la wilaya. Toutes sortes de poisson, et surtout le fameux thon, sont exposés en plein air sous un parasol et avec quelques sachets de glaçons toute la journée. Des dizaines d'automobilistes s'arrêtent quand même pour acheter cette marchandise en provoquant un énorme embouteillage. L'insalubrité des lieux est insupportable, alors que certains clients, une fois arrivés chez eux, se rendent compte que le poisson acheté était congelé à l'origine. Les passants et les consommateurs semblent s'accommoder à cet environnement pollué et ne semblent nullement gênés par l'état infect des lieux.