La commune de Tirmitine située à une vingtaine de kilomètres au sud -ouest de de Tizi-Ouzou et relevant de la daïra de Draâ Ben Khedda, à vécu, jeudi, une journée de violence inédite. En effet, les habitants des quatre villages Megdoul, Zerouda, Afir et Ibehlal pour protester contre le site choisi pour la réalisation du lycée de Tirmitine, ont commis l'irréparable en incendiant le siège de leur mairie. L'affaire du lycée remonte en fait à plusieurs mois. Les habitants du douar d'Afir qui regroupe lesdits villages, se sont opposés au choix du terrain pour la réalisation du lycée car, selon eux, il serait trop éloigné et ne profitera pas donc à leurs enfants. Plusieurs démarches ont été entreprises auprès des autorités locales dont la dernière à été la fermeture du siège de la daïra le 18 août en cours. N'ayant pas obtenu satisfaction pour leur revendication et voyant que les travaux de réalisation de l'établissement scolaire avaient démarré, ils sont passé à l'acte ce jeudi en fermant le chemin de wilaya n° 128 et en saccageant le siège de l'APC détruisant ainsi toutes les archives de la région. Une dizaine de manifestants ont été interpellés par les agents de l'ordre public et ont été présentés devant le parquet de Tizi-Ouzou. Les habitants des villages, ayant initié l'action de jeudi, ont observé un sit-in devant le tribunal pour exiger la libération des mis en cause. La commune de Tirmitine située à une vingtaine de kilomètres au sud -ouest de de Tizi-Ouzou et relevant de la daïra de Draâ Ben Khedda, à vécu, jeudi, une journée de violence inédite. En effet, les habitants des quatre villages Megdoul, Zerouda, Afir et Ibehlal pour protester contre le site choisi pour la réalisation du lycée de Tirmitine, ont commis l'irréparable en incendiant le siège de leur mairie. L'affaire du lycée remonte en fait à plusieurs mois. Les habitants du douar d'Afir qui regroupe lesdits villages, se sont opposés au choix du terrain pour la réalisation du lycée car, selon eux, il serait trop éloigné et ne profitera pas donc à leurs enfants. Plusieurs démarches ont été entreprises auprès des autorités locales dont la dernière à été la fermeture du siège de la daïra le 18 août en cours. N'ayant pas obtenu satisfaction pour leur revendication et voyant que les travaux de réalisation de l'établissement scolaire avaient démarré, ils sont passé à l'acte ce jeudi en fermant le chemin de wilaya n° 128 et en saccageant le siège de l'APC détruisant ainsi toutes les archives de la région. Une dizaine de manifestants ont été interpellés par les agents de l'ordre public et ont été présentés devant le parquet de Tizi-Ouzou. Les habitants des villages, ayant initié l'action de jeudi, ont observé un sit-in devant le tribunal pour exiger la libération des mis en cause.