Le ramadhan est massivement suivi en Turquie, et beaucoup de croyants non pratiquants (qui ne font pas les prières quotidiennes) s'y conforment. 3 Turques sur 4 font le ramadhan parmi ceux qui sont en âge de le faire, à savoir après la puberté. Les autres sont principalement des jeunes, en particulier étudiants, et les adeptes d'autres religions, comme les chrétiens et les juifs. Ils restent discrets, ne fument ni ne mangent dans la rue, mais se réfugient à l'abri des regards chez eux. Les lieux les plus prisés sont les cafés et restaurants ayant une salle à l'étage ou en sous-sol. Certains patrons appliquent aussi un film opaque sur leurs vitres pour plus de discrétion. Ceci dit manger dans la rue n'est pas un crime mais c'est à éviter par respect pour ceux qui jeûnent. Beaucoup de restaurant sont fermés pendant le ramadhan ou ne sont ouverts que le soir. Peu avant le coucher du soleil les salles se remplissent et les croyants attendent fidèlement l'«adhan», l'appel à la prière du soir annonçant la rupture du jeûne. Ils boivent alors un peu d'eau avant de passer à table. Il est aussi fréquent de voir des commerçants installer de grands étals devant leurs échoppes pour manger tous ensemble. La soirée se poursuit en grillant des cigarettes et sirotant du thé. Le ramadhan est aussi accompagné de petites traditions, comme de commencer les repas par une olive ou une datte, cela était la pratique du prophète Mohamed. Certains aliments ne sont fabriqués et consommés que pendant le mois sacré, par exemple le pain rond et plat. Les horaires de bus interurbains peuvent être modifiés pour permettre aux voyageurs et au personnel de rentrer manger avant l'«adhan». Si ce n'est pas le cas, il y a toujours quelqu'un dans le bus pour sortir un pain et le partager avec les autres occupants. Le ramadhan est massivement suivi en Turquie, et beaucoup de croyants non pratiquants (qui ne font pas les prières quotidiennes) s'y conforment. 3 Turques sur 4 font le ramadhan parmi ceux qui sont en âge de le faire, à savoir après la puberté. Les autres sont principalement des jeunes, en particulier étudiants, et les adeptes d'autres religions, comme les chrétiens et les juifs. Ils restent discrets, ne fument ni ne mangent dans la rue, mais se réfugient à l'abri des regards chez eux. Les lieux les plus prisés sont les cafés et restaurants ayant une salle à l'étage ou en sous-sol. Certains patrons appliquent aussi un film opaque sur leurs vitres pour plus de discrétion. Ceci dit manger dans la rue n'est pas un crime mais c'est à éviter par respect pour ceux qui jeûnent. Beaucoup de restaurant sont fermés pendant le ramadhan ou ne sont ouverts que le soir. Peu avant le coucher du soleil les salles se remplissent et les croyants attendent fidèlement l'«adhan», l'appel à la prière du soir annonçant la rupture du jeûne. Ils boivent alors un peu d'eau avant de passer à table. Il est aussi fréquent de voir des commerçants installer de grands étals devant leurs échoppes pour manger tous ensemble. La soirée se poursuit en grillant des cigarettes et sirotant du thé. Le ramadhan est aussi accompagné de petites traditions, comme de commencer les repas par une olive ou une datte, cela était la pratique du prophète Mohamed. Certains aliments ne sont fabriqués et consommés que pendant le mois sacré, par exemple le pain rond et plat. Les horaires de bus interurbains peuvent être modifiés pour permettre aux voyageurs et au personnel de rentrer manger avant l'«adhan». Si ce n'est pas le cas, il y a toujours quelqu'un dans le bus pour sortir un pain et le partager avec les autres occupants.