Cette formule, avantageuse à plus d'un titre, avait été accueillie avec soulagement par les milliers de travailleurs qui ne nourrissaient plus d'espoir pour les logements sociaux à caractère locatif dont les écueils et les déboires sont nombreux. Cette formule, avantageuse à plus d'un titre, avait été accueillie avec soulagement par les milliers de travailleurs qui ne nourrissaient plus d'espoir pour les logements sociaux à caractère locatif dont les écueils et les déboires sont nombreux. Initiée par le ministère du Travail et de la Sécurité sociale à travers plusieurs régions du territoire national, l'opération attribution de logements FNPOS, (Fonds national de péréquation des œuvres sociales, avait enregistré un indéniable engouement au sein des travailleurs, tous secteurs confondus. Lancée début juin 2004, elle avait connu un succès retentissant puisqu'une foule compacte assiégeait quotidiennement l'antenne de l ' OPGI, sise place du 19 Mars à Guelma, car le nombre d'imprimés spécifiques était limité pour le dépot des dossiers réglementaires. Cette formule, avantageuse à plus d'un titre, avait été accueillie avec soulagement par les milliers de travailleurs qui ne nourrissaient plus d'espoir pour les logements sociaux à caractère locatif dont les écueils et les déboires sont nombreux. Elle permettait aux postulants de bénéficier d'une aide financière du FNPOS ou de prétendre à un prêt social, ce qui leur garantissait un toit décent. Au début du mois de novembre 2004, chaque prétendant au logement avait été convoqué aux fins de fournir, sous huitaine, un dossier complémentaire qui a nécessité un véritable parcours du combattant. En effet, outre l'extrait de naissance N°12, les douze dernières fiches de salaire,,les fiches d'état civil, les certificats de fonction et de résidence, etc., il fallait impérativement fournir quatre documents cruciaux délivrés par l'APC, l'agence foncière, l'OPGI et la conservation foncière qui devaient respectivement certifier que l'intéressé(e) n'avait bénéficié d'aucun logement rural, lot de terrain, logement social et ne possédait aucun bien immobilier. Ces quatre institutions étaient chaque jour assaillies par des centaines de personnes des deux sexes qui ont enduré un véritable calvaire pour retirer ces attestations.Toutefois, il est utile de souligner le sacrifice du personnel de ces administrations et notamment celui de l'OPGI qui a travaillé pendant les journées de repos hebdomadaire pour permettre aux retardataires de remettre leurs dossiers complets. Depuis l'achèvement de cette frénétique opération qui avait suscité moult espoirs au sein des candidats à un logement, c'est le silence total. De nombreux citoyens ont exprimer leur inquiétude et affiché leur ras-le-bol sachant que leurs conditions actuelles d'hébergement sont déplorables. D'autre part, le ministre du Travail et de la Sécurité sociale aurait gelé les listes des bénéficiaires suite à des irrégularités et passe-droit. Cette situation perdure au grand dam des candidats à un toit décent. Un appel pressant est lancé aux pouvoirs publics pour dénouer cette crise. Initiée par le ministère du Travail et de la Sécurité sociale à travers plusieurs régions du territoire national, l'opération attribution de logements FNPOS, (Fonds national de péréquation des œuvres sociales, avait enregistré un indéniable engouement au sein des travailleurs, tous secteurs confondus. Lancée début juin 2004, elle avait connu un succès retentissant puisqu'une foule compacte assiégeait quotidiennement l'antenne de l ' OPGI, sise place du 19 Mars à Guelma, car le nombre d'imprimés spécifiques était limité pour le dépot des dossiers réglementaires. Cette formule, avantageuse à plus d'un titre, avait été accueillie avec soulagement par les milliers de travailleurs qui ne nourrissaient plus d'espoir pour les logements sociaux à caractère locatif dont les écueils et les déboires sont nombreux. Elle permettait aux postulants de bénéficier d'une aide financière du FNPOS ou de prétendre à un prêt social, ce qui leur garantissait un toit décent. Au début du mois de novembre 2004, chaque prétendant au logement avait été convoqué aux fins de fournir, sous huitaine, un dossier complémentaire qui a nécessité un véritable parcours du combattant. En effet, outre l'extrait de naissance N°12, les douze dernières fiches de salaire,,les fiches d'état civil, les certificats de fonction et de résidence, etc., il fallait impérativement fournir quatre documents cruciaux délivrés par l'APC, l'agence foncière, l'OPGI et la conservation foncière qui devaient respectivement certifier que l'intéressé(e) n'avait bénéficié d'aucun logement rural, lot de terrain, logement social et ne possédait aucun bien immobilier. Ces quatre institutions étaient chaque jour assaillies par des centaines de personnes des deux sexes qui ont enduré un véritable calvaire pour retirer ces attestations.Toutefois, il est utile de souligner le sacrifice du personnel de ces administrations et notamment celui de l'OPGI qui a travaillé pendant les journées de repos hebdomadaire pour permettre aux retardataires de remettre leurs dossiers complets. Depuis l'achèvement de cette frénétique opération qui avait suscité moult espoirs au sein des candidats à un logement, c'est le silence total. De nombreux citoyens ont exprimer leur inquiétude et affiché leur ras-le-bol sachant que leurs conditions actuelles d'hébergement sont déplorables. D'autre part, le ministre du Travail et de la Sécurité sociale aurait gelé les listes des bénéficiaires suite à des irrégularités et passe-droit. Cette situation perdure au grand dam des candidats à un toit décent. Un appel pressant est lancé aux pouvoirs publics pour dénouer cette crise.