Les candidats à un logement social à caractère locatif ont vite fait de déchanter après des années d'attente, car les quotas octroyés sont minimes et ne peuvent répondre aux milliers de demandes déposées au niveau de la daïra. Les candidats à un logement social à caractère locatif ont vite fait de déchanter après des années d'attente, car les quotas octroyés sont minimes et ne peuvent répondre aux milliers de demandes déposées au niveau de la daïra. Les pouvoirs publics avaient accordé une publicité tapageuse, ces derniers mois à une mesure salutaire destinée aux salariés qui voulaient acquérir un logement neuf. Cette décision avait été accueillie avec soulagement par des pères de famille, des jeunes couples et des jeunes qui s'apprêtent à convoler en justes noces et qui étaient désespérément à la recherche d'un toit décent. Les candidats à un logement social à caractère locatif ont déchanté, après des années d'attente, car les quotas octroyés sont minimes et ne peuvent répondre aux milliers de demandes déposées au niveau de la daira. D'autre part, les critères imposés par le ministère de l'Habitat sont dissuassifs et les pré-bénéficiaires ont l'épée de Damoclès suspendue sur leurs têtes, car les recours déposés auprès de la commission de wilaya sont légion. D'aucuns avaient estimé que cette mesure inédite allait mettre fin à leur calvaire, car ils avaient l'opportunité de prétendre à un prêt bancaire de quelque centaines de millions de centimes à un taux bonifié de 1 % . Le remboursement est étalé sur des dizaines d'années et l' Etat accorde, dans le cadre du CNL, une aide non remboursable d'un montant de soixante-dix millions de centimes aux salariés qui perçoivent moins de six fois le SMIG. Cette formule allait mettre un terme aux mal-logés, à ceux qui sont hébergés dans des conditions lamentables, à ceux qui s'apprêtent à fonder un foyer, à ceux qui sont co-locataires de logements auprès du privé pour un montant mensuel oscillant entre un à deux millions de centimes. Cependant, cette décision se heurte à un tas d'obstacles insurmontables, car pour prétendre à un prêt bancaire, il faut impérativement produire un document délivré par le promoteur qui atteste le lancement du projet et l'inscription du concerné à un logement social participatif ou promotionnel. Hélas, les autorités locales n'ont toujours pas dégagé des terrains susceptibles d'abriter ces milliers de logements dévolus à la wilaya de Guelma. Cette opération, à l'instar des wilayas du territoire national, n'a pas encore démarré et cette situation engendre le retard de ce projet d'envergure. Le découragement, et la lassitude se sont emparés de milliers de Guelmis des deux sexes qui ne savent plus à quel saint se vouer pour décrocher enfin le prêt et le logement dont ils rêvent. Un silence obsédant est observé par les pouvoirs publics qui initient des mesures salutaires qui restent lettre morte, faute de suivi et de décisions courageuses. Ce projet monumental qui honore le gouvernement devra étre concrétisé au profit de salariés modestes qui ont droit à un logement décent, comme le stipule notre Constitution. Les ministères des Finances, de l'Habitat, de l'Intérieur et des Collectivités devront s'impliquer conjointement pour mettre sur rails cette opération d'envergure nationale. Les pouvoirs publics avaient accordé une publicité tapageuse, ces derniers mois à une mesure salutaire destinée aux salariés qui voulaient acquérir un logement neuf. Cette décision avait été accueillie avec soulagement par des pères de famille, des jeunes couples et des jeunes qui s'apprêtent à convoler en justes noces et qui étaient désespérément à la recherche d'un toit décent. Les candidats à un logement social à caractère locatif ont déchanté, après des années d'attente, car les quotas octroyés sont minimes et ne peuvent répondre aux milliers de demandes déposées au niveau de la daira. D'autre part, les critères imposés par le ministère de l'Habitat sont dissuassifs et les pré-bénéficiaires ont l'épée de Damoclès suspendue sur leurs têtes, car les recours déposés auprès de la commission de wilaya sont légion. D'aucuns avaient estimé que cette mesure inédite allait mettre fin à leur calvaire, car ils avaient l'opportunité de prétendre à un prêt bancaire de quelque centaines de millions de centimes à un taux bonifié de 1 % . Le remboursement est étalé sur des dizaines d'années et l' Etat accorde, dans le cadre du CNL, une aide non remboursable d'un montant de soixante-dix millions de centimes aux salariés qui perçoivent moins de six fois le SMIG. Cette formule allait mettre un terme aux mal-logés, à ceux qui sont hébergés dans des conditions lamentables, à ceux qui s'apprêtent à fonder un foyer, à ceux qui sont co-locataires de logements auprès du privé pour un montant mensuel oscillant entre un à deux millions de centimes. Cependant, cette décision se heurte à un tas d'obstacles insurmontables, car pour prétendre à un prêt bancaire, il faut impérativement produire un document délivré par le promoteur qui atteste le lancement du projet et l'inscription du concerné à un logement social participatif ou promotionnel. Hélas, les autorités locales n'ont toujours pas dégagé des terrains susceptibles d'abriter ces milliers de logements dévolus à la wilaya de Guelma. Cette opération, à l'instar des wilayas du territoire national, n'a pas encore démarré et cette situation engendre le retard de ce projet d'envergure. Le découragement, et la lassitude se sont emparés de milliers de Guelmis des deux sexes qui ne savent plus à quel saint se vouer pour décrocher enfin le prêt et le logement dont ils rêvent. Un silence obsédant est observé par les pouvoirs publics qui initient des mesures salutaires qui restent lettre morte, faute de suivi et de décisions courageuses. Ce projet monumental qui honore le gouvernement devra étre concrétisé au profit de salariés modestes qui ont droit à un logement décent, comme le stipule notre Constitution. Les ministères des Finances, de l'Habitat, de l'Intérieur et des Collectivités devront s'impliquer conjointement pour mettre sur rails cette opération d'envergure nationale.