Entre travaux routiers et embouteillages, la capitale est asphyxiée, à nouveau, depuis hier, avec la rentrée sociale. Suffoqués par ce phénomène, les automobilistes sont soumis au même régime habituel, en étant bloqués pendant un bon moment sur les axes routiers après une brève période d'allégement des bouchons durant les grandes vacances. Ce n'est évidemment pas le cas de milliers de gens, particulièrement les fonctionnaires qui auraient espérer prolonger leurs congés et qui commencent à subir le fait. Habitant la banlieue algéroise, beaucoup parmi eux se lèvent à l'aube pour prendre la route soit par bus soit par voiture, pour arriver à l'heure. C'est ce qui nous a été rapporté par Ali, un employé à Alger, résidant à Tipasa."C'est infernal. Il est encore plus difficile de subir les bouchons au mois de Ramadhan que dans les autres jours. Les journées sont courtes et nous seront incapables de respecter les horaires de travail tracés, particulièrement pour le mois sacré. Personnellement, je serai forcé d'accuser du retard, la matinée, en allant travailler. J'habite Tipasa et je peux vous dire que durant les vacances d'été, je fais un temps de 1h30 à 2h de route pour arriver à Alger alors qu'actuellement il est de 3 h à cause des bouchons dans les axes routiers à Mazafran et Bou-Ismaïl. Il faut signaler aussi que d'importantes files de véhicules attendent pendant des heures, à partir de 7h40", a-t-il témoigné. Visiblement, la même atmosphère règne dans les autoroutes de la ville de la capitale et ses alentours. Des bouchons sont signalés par ailleurs depuis précisément une journée dans les différents tronçons routiers, à partir d'El Hamiz jusqu'au Caroubier, selon un employé qui se rend quotidiennement à Alger-centre."Il y avait jusqu'à hier une fluidité dans la circulation routière. Nous endurons à partir d'aujourd'hui un changement brutal. Je suis venu ce matin en famille de Rouïba. J'étais obligé de garer ma voiture aux Pins-Maritimes à El Harrach pour que chacun de nous prenne le bus afin d'arriver à l'heure, au travail. L'autoroute est encombrée", a-t-il dit dépité.Toutefois cette situation demeure tout de même peu accentuée par rapport aux années précédentes, selon d'autres avis. «La rentrée sociale s'annonce moins contraignante cette année par rapport aux années précédentes, en termes de circulation routière, puisqu'elle coïncide avec le mois du Ramadhan. Les gens sortent peu le matin. Les écoliers ainsi que les étudiants sont toujours en vacances. Je pense qu'il y a moins de soucis en termes d'embouteillage, mis à part le soir», a estimé Kahina, une jeune femme, habitant El Biar. Entre travaux routiers et embouteillages, la capitale est asphyxiée, à nouveau, depuis hier, avec la rentrée sociale. Suffoqués par ce phénomène, les automobilistes sont soumis au même régime habituel, en étant bloqués pendant un bon moment sur les axes routiers après une brève période d'allégement des bouchons durant les grandes vacances. Ce n'est évidemment pas le cas de milliers de gens, particulièrement les fonctionnaires qui auraient espérer prolonger leurs congés et qui commencent à subir le fait. Habitant la banlieue algéroise, beaucoup parmi eux se lèvent à l'aube pour prendre la route soit par bus soit par voiture, pour arriver à l'heure. C'est ce qui nous a été rapporté par Ali, un employé à Alger, résidant à Tipasa."C'est infernal. Il est encore plus difficile de subir les bouchons au mois de Ramadhan que dans les autres jours. Les journées sont courtes et nous seront incapables de respecter les horaires de travail tracés, particulièrement pour le mois sacré. Personnellement, je serai forcé d'accuser du retard, la matinée, en allant travailler. J'habite Tipasa et je peux vous dire que durant les vacances d'été, je fais un temps de 1h30 à 2h de route pour arriver à Alger alors qu'actuellement il est de 3 h à cause des bouchons dans les axes routiers à Mazafran et Bou-Ismaïl. Il faut signaler aussi que d'importantes files de véhicules attendent pendant des heures, à partir de 7h40", a-t-il témoigné. Visiblement, la même atmosphère règne dans les autoroutes de la ville de la capitale et ses alentours. Des bouchons sont signalés par ailleurs depuis précisément une journée dans les différents tronçons routiers, à partir d'El Hamiz jusqu'au Caroubier, selon un employé qui se rend quotidiennement à Alger-centre."Il y avait jusqu'à hier une fluidité dans la circulation routière. Nous endurons à partir d'aujourd'hui un changement brutal. Je suis venu ce matin en famille de Rouïba. J'étais obligé de garer ma voiture aux Pins-Maritimes à El Harrach pour que chacun de nous prenne le bus afin d'arriver à l'heure, au travail. L'autoroute est encombrée", a-t-il dit dépité.Toutefois cette situation demeure tout de même peu accentuée par rapport aux années précédentes, selon d'autres avis. «La rentrée sociale s'annonce moins contraignante cette année par rapport aux années précédentes, en termes de circulation routière, puisqu'elle coïncide avec le mois du Ramadhan. Les gens sortent peu le matin. Les écoliers ainsi que les étudiants sont toujours en vacances. Je pense qu'il y a moins de soucis en termes d'embouteillage, mis à part le soir», a estimé Kahina, une jeune femme, habitant El Biar.