Les entreprises algériennes spécialisées dans la production, la commercialisation et l'exportation de produits chimiques sont désormais tenues de suivre les nouvelles mesures édictées par l'organisme européen ‘'Registration, Evaluation, and Authorization of Chemicals Products'' (REACH) relatives au contrôle des substances chimiques. En effet, l'Agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex) vient de lancer un appel aux entreprises nationales, exportatrices ou importatrices de ces produits concernés par cette directive du REACH en leur précisant qu'elles doivent impérativement préenregistrer leurs substances avant l'échéance du 1er décembre 2009 au siège de l'Agence européenne des produits chimiques (ECHA) située dans la capitale finlandaise, Helsinki. L'agence dirigée par Mohamed Bennini insiste sur le respect scrupuleux des délais et des échéances en soulignant que «les entreprises enregistrant préalablement leurs substances sont en droit de bénéficier d'une extension du délai d'enregistrement. Le délai, précise t-elle, est dépendant de la quantité et des propriétés dangereuses de la substance chimique». Entrée en vigueur le 1er juin 2007, la directive européenne REACH a pour objectif essentiel, selon l'Algex, d'assurer une meilleure gestion des risques environnementaux et sanitaires susceptibles de résulter de la production et de l'utilisation des substances chimiques par l'enregistrement impératif de toutes les substances ou préparations chimiques produites ou importées en Europe à plus d'une tonne annuellement. Elle concerne pas moins de 30.000 substances dont 1.500 devront être soumises à des autorisations et certaines pourront être complètement interdites du marché européen. Dans un souci de préserver l'environnement et le milieu écologique et de se mettre aux normes internationales régissant les substances chimiques dangereuses dans l'espace européen, les entreprises algériennes doivent, donc, se mettre au diapason des standards internationaux en matière de protection de la nature et de l'environnement. En ce sens, l'Agence de promotion du commerce extérieur affirme qu'il incombe, désormais, aux industriels de la chimie de faire la preuve de l'innocuité, sur la santé et l'environnement, des substances produites, ou de déterminer les risques engendrés. Ainsi, afin d'éviter tout désastre écologique ou drame lié à l'utilisation incontrôlée des produits chimiques hautement toxiques, la directive du REACH exclut les déchets, les substances radioactives ou les intermédiaires non isolés. Certaines dispositions du règlement ne s'appliquent pas pour les substances utilisées dans les médicaments à usage humain ou à usage vétérinaire, ni aux substances contenues dans l'alimentation humaine ou animale, qui font l'objet d'une réglementation spécifique. Les entreprises algériennes spécialisées dans la production, la commercialisation et l'exportation de produits chimiques sont désormais tenues de suivre les nouvelles mesures édictées par l'organisme européen ‘'Registration, Evaluation, and Authorization of Chemicals Products'' (REACH) relatives au contrôle des substances chimiques. En effet, l'Agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex) vient de lancer un appel aux entreprises nationales, exportatrices ou importatrices de ces produits concernés par cette directive du REACH en leur précisant qu'elles doivent impérativement préenregistrer leurs substances avant l'échéance du 1er décembre 2009 au siège de l'Agence européenne des produits chimiques (ECHA) située dans la capitale finlandaise, Helsinki. L'agence dirigée par Mohamed Bennini insiste sur le respect scrupuleux des délais et des échéances en soulignant que «les entreprises enregistrant préalablement leurs substances sont en droit de bénéficier d'une extension du délai d'enregistrement. Le délai, précise t-elle, est dépendant de la quantité et des propriétés dangereuses de la substance chimique». Entrée en vigueur le 1er juin 2007, la directive européenne REACH a pour objectif essentiel, selon l'Algex, d'assurer une meilleure gestion des risques environnementaux et sanitaires susceptibles de résulter de la production et de l'utilisation des substances chimiques par l'enregistrement impératif de toutes les substances ou préparations chimiques produites ou importées en Europe à plus d'une tonne annuellement. Elle concerne pas moins de 30.000 substances dont 1.500 devront être soumises à des autorisations et certaines pourront être complètement interdites du marché européen. Dans un souci de préserver l'environnement et le milieu écologique et de se mettre aux normes internationales régissant les substances chimiques dangereuses dans l'espace européen, les entreprises algériennes doivent, donc, se mettre au diapason des standards internationaux en matière de protection de la nature et de l'environnement. En ce sens, l'Agence de promotion du commerce extérieur affirme qu'il incombe, désormais, aux industriels de la chimie de faire la preuve de l'innocuité, sur la santé et l'environnement, des substances produites, ou de déterminer les risques engendrés. Ainsi, afin d'éviter tout désastre écologique ou drame lié à l'utilisation incontrôlée des produits chimiques hautement toxiques, la directive du REACH exclut les déchets, les substances radioactives ou les intermédiaires non isolés. Certaines dispositions du règlement ne s'appliquent pas pour les substances utilisées dans les médicaments à usage humain ou à usage vétérinaire, ni aux substances contenues dans l'alimentation humaine ou animale, qui font l'objet d'une réglementation spécifique.