Les dépouilles de deux immigrants clandestins algériens, originaires de la wilaya de Tiaret, morts noyés au large de la mer Egée en Turquie, ont été rapatriées, dernièrement, en Algérie, ont indiqué des agences de presse. Ces deux malheureux candidats à l'immigration clandestine auraient péri en mer, vers la fin janvier, en compagnie de 21 autres malheureux candidats, après qu'ils eurent tenté sans succès de gagner les côtes helléniques à partir de la station balnéaire d'Izmir, précise-t-on de même source. Notons que l'ambassade d'Algérie en Turquie a pris attache avec les services du ministère des Affaires étrangères l'informant que les autorités turques ont enterré ces deux jeunes sur le sol turc. Par ailleurs, il est utile de signaler que des dizaines d'immigrants clandestins algériens, plus de 130, croupissent actuellement dans les prisons turques après que les gardes-côtes de ce pays les eurent interceptés. Ces malheureux candidats sont au centre d'un grand trafic humain dont les auteurs sont, entre autres, des syriens. Ces derniers moyenant des sommes importantes d'argent (1.200 dollars US), se chargent de leur assurer «une voie maritime» vers les côtes grecques qui leur sert de rempart pour atteindre l'Eldorado européen. Les dépouilles de deux immigrants clandestins algériens, originaires de la wilaya de Tiaret, morts noyés au large de la mer Egée en Turquie, ont été rapatriées, dernièrement, en Algérie, ont indiqué des agences de presse. Ces deux malheureux candidats à l'immigration clandestine auraient péri en mer, vers la fin janvier, en compagnie de 21 autres malheureux candidats, après qu'ils eurent tenté sans succès de gagner les côtes helléniques à partir de la station balnéaire d'Izmir, précise-t-on de même source. Notons que l'ambassade d'Algérie en Turquie a pris attache avec les services du ministère des Affaires étrangères l'informant que les autorités turques ont enterré ces deux jeunes sur le sol turc. Par ailleurs, il est utile de signaler que des dizaines d'immigrants clandestins algériens, plus de 130, croupissent actuellement dans les prisons turques après que les gardes-côtes de ce pays les eurent interceptés. Ces malheureux candidats sont au centre d'un grand trafic humain dont les auteurs sont, entre autres, des syriens. Ces derniers moyenant des sommes importantes d'argent (1.200 dollars US), se chargent de leur assurer «une voie maritime» vers les côtes grecques qui leur sert de rempart pour atteindre l'Eldorado européen.