Suite à l'affaire du détenu du pénitencier de Blida qui aurait été agressé par un responsable des gardiens de la prison, dont une plainte a été déposée par l'épouse de la victime, le directeur général de l'administration pénitentiaire et de la réinsertion sociale des détenus, M. Mokhtar Felioune, a affirmé hier que des mesures disciplinaires et juridiques seront prises à l'encontre de l'agresseur, quel que soit sa position, en cas de confirmation de cette agression. «Nous ne tolérons aucun dépassement ou atteinte contre l'intégrité physique et l'indignité des détenus», a indiqué M. Felioune, tout en précisant que ces actes sont formellement « interdits » conformément aux instructions du ministre de la Justice, garde des sceaux. En effet, le parquet général a reçu la plainte, le 1er septembre courant, déposée par l'épouse du détenu en question, faisant état de coups assenés à son mari par un agent pénitentiaire. Selon M. Felioune, une enquête a été ouverte sur cette affaire après avoir auditionné le détenu. Il faut dire que les maltraitances et autres agressions physiques à l'encontre détenus ont caractérisés certains établissements pénitentiaires du pays, ajoutant a cela, les conditions de détention misérables que subissent des milliers de prisonniers. Le premier responsable de l'administration pénitentiaire a affirmé à ce propos que, dans tous les cas, des poursuites sont engagées conformément aux dispositions disciplinaires et pénales stipulées par la législation nationale. «L'Algérie a déjà informé les instances internationales des sanctions prises contre des fonctionnaires de prisons pour agression contre des détenus», a-t-il souligné. Par ailleurs, il est à signaler que le nombre de détenus au niveau national esst actuellement de près de 54.000 incarcérés et celui des établissements pénitentiaires est de 127, sachant que 81 autres seront réceptionnés dans le cadre de la réforme pénitentiaire. Le directeur général de l'administration pénitentiaire avait annoncé la réception, avant la fin de l'année en cours, de 13 nouveaux établissements, d'une capacité de 19.000 places. Suite à l'affaire du détenu du pénitencier de Blida qui aurait été agressé par un responsable des gardiens de la prison, dont une plainte a été déposée par l'épouse de la victime, le directeur général de l'administration pénitentiaire et de la réinsertion sociale des détenus, M. Mokhtar Felioune, a affirmé hier que des mesures disciplinaires et juridiques seront prises à l'encontre de l'agresseur, quel que soit sa position, en cas de confirmation de cette agression. «Nous ne tolérons aucun dépassement ou atteinte contre l'intégrité physique et l'indignité des détenus», a indiqué M. Felioune, tout en précisant que ces actes sont formellement « interdits » conformément aux instructions du ministre de la Justice, garde des sceaux. En effet, le parquet général a reçu la plainte, le 1er septembre courant, déposée par l'épouse du détenu en question, faisant état de coups assenés à son mari par un agent pénitentiaire. Selon M. Felioune, une enquête a été ouverte sur cette affaire après avoir auditionné le détenu. Il faut dire que les maltraitances et autres agressions physiques à l'encontre détenus ont caractérisés certains établissements pénitentiaires du pays, ajoutant a cela, les conditions de détention misérables que subissent des milliers de prisonniers. Le premier responsable de l'administration pénitentiaire a affirmé à ce propos que, dans tous les cas, des poursuites sont engagées conformément aux dispositions disciplinaires et pénales stipulées par la législation nationale. «L'Algérie a déjà informé les instances internationales des sanctions prises contre des fonctionnaires de prisons pour agression contre des détenus», a-t-il souligné. Par ailleurs, il est à signaler que le nombre de détenus au niveau national esst actuellement de près de 54.000 incarcérés et celui des établissements pénitentiaires est de 127, sachant que 81 autres seront réceptionnés dans le cadre de la réforme pénitentiaire. Le directeur général de l'administration pénitentiaire avait annoncé la réception, avant la fin de l'année en cours, de 13 nouveaux établissements, d'une capacité de 19.000 places.