Tac-tac, le bruit sec et monotone, se répétant à l'infini des pièces de dominos, est l'unique son brisant le calme des soirées de ramadhan, parfois jusqu'au petit matin. Pas un seul quartier à Alger, cité populaire, place publique, café maure... qui n'a pas ses mordus de ce jeu populaire, ces derniers qui représentent toutes les catégories d'âges, des adolescents aux vieux retraités, peuvent jouer durant des heures oubliant tout autour d'eux, hormis l'adversaire. Les longues veillées du ramadhan sont particulièrement propices pour ces parties très disputées du «double six…». Ainsi jeunes ou vieux s'installent dans des coins ombragés, un thé à la menthe à portée de main, du kalb ellouz pour se requinquer et la partie peut commencer tout de suite après le «f'tour» ou les «tarawih», pour ceux qui se rendent à la mosquée. Au petit matin les joueurs se sépareront en attendant la prochaine soirée qui les regroupera de nouveau. Tac-tac, le bruit sec et monotone, se répétant à l'infini des pièces de dominos, est l'unique son brisant le calme des soirées de ramadhan, parfois jusqu'au petit matin. Pas un seul quartier à Alger, cité populaire, place publique, café maure... qui n'a pas ses mordus de ce jeu populaire, ces derniers qui représentent toutes les catégories d'âges, des adolescents aux vieux retraités, peuvent jouer durant des heures oubliant tout autour d'eux, hormis l'adversaire. Les longues veillées du ramadhan sont particulièrement propices pour ces parties très disputées du «double six…». Ainsi jeunes ou vieux s'installent dans des coins ombragés, un thé à la menthe à portée de main, du kalb ellouz pour se requinquer et la partie peut commencer tout de suite après le «f'tour» ou les «tarawih», pour ceux qui se rendent à la mosquée. Au petit matin les joueurs se sépareront en attendant la prochaine soirée qui les regroupera de nouveau.