Les représentants des résidants de la cité Diar El Kef dénoncent le climat d'insécurité et de terreur instauré par un groupe de voyous dont l'occupation principale et d'agresser et dépouiller les personnes contraintes de passer par cette cité devenue ainsi tristement célèbre. Les représentants des résidants de la cité Diar El Kef dénoncent le climat d'insécurité et de terreur instauré par un groupe de voyous dont l'occupation principale et d'agresser et dépouiller les personnes contraintes de passer par cette cité devenue ainsi tristement célèbre. Depuis le début du mois de ramadhan les agressions ont augmenté de façon inquiétante au niveau du quartier Diar El Kef dans la commune de Oued Koriche. Les résidants de cette cité populeuse dénoncent cette situation qu'ils qualifient «d'effrayante, atroce…». Un gang composé de jeunes voyous a vu le jour dans cette cité et s'amuse à semer la terreur aux alentours. Ces petits malfrats, entre autres, dressent des barricades pour couper la route aux véhicules et dépouiller leurs occupants de tout objet de valeur. Plusieurs personnes, en tentant de leur résister, ont été blessées à l'arme blanche, des femmes ont été terrorisées et traumatisées en se retrouvant face à ces voyous utilisant des propos menaçants et orduriers. Cette situation est vivement dénoncée par les représentants des résidants de cette cité, qui se sont présentés au siège de journal afin de parler de la peur des habitants et de leur souffrance et dénoncer l'insécurité qui régne dans leur cité. Nos interlocuteurs nous expliqueront que les agressions s'intensifient en fin d'après-midi et que ces énergumènes s'en prennent plus particulièrement aux étrangers à la cité : sachant que Diar El Kef est un passage obligé pour les personnes se rendant à Notre Dame d'Afrique, Zeghara ou Silaste. Le problème que soulèvent, également, nos interlocuteurs, est l'absence de réaction des éléments de l'ordre public, ce en dépit de maintes et maintes plaintes. D'un autre côté la direction de la sûreté de la circonscription administrative de Bab El Oued, d'où relève ledit cartier, affirme que la situation dans cette localité «est très bien maîtrisée» et qu'aucune plainte n'a été déposée… la situation sécuritaire dans cette localité serait, selon toujours la direction de la sûreté «très satisfaisante, par rapport au ramadhan de l'année passé…tout va bien… », nous affirmera le chargé de la communication au sein du commissariat de Bab El Oued. Les représentants du quartier nous affirment, eux, que ce gang est ccomposé d'une vingtaine de personnes, qu'ils connaissent d'ailleurs parfaitement et qu'ils auraient même proposé leur coopération aux forces de l'ordre afin de mettre fin à ce climat de terreur. «Les membres de cette bande se baladent en toute liberté armés de couteaux, canifs et même sabres. Nous déclarons que nous sommes prêts à contribuer avec la police en dénonçant ces criminels et en leur signalant les endroits où ils pourraiant les trouver… », affirment nos interlocuteurs. Une liste de signataires des habitants de Diar el Kef a été préparée afin d'être présentée aux autorités concernées et pour demander l' intervention des responsables, à tous les niveaux, ceci afin d'éviter que le pire n'arrive et tenter surtout d'y réinstaurer la sécurité. Depuis le début du mois de ramadhan les agressions ont augmenté de façon inquiétante au niveau du quartier Diar El Kef dans la commune de Oued Koriche. Les résidants de cette cité populeuse dénoncent cette situation qu'ils qualifient «d'effrayante, atroce…». Un gang composé de jeunes voyous a vu le jour dans cette cité et s'amuse à semer la terreur aux alentours. Ces petits malfrats, entre autres, dressent des barricades pour couper la route aux véhicules et dépouiller leurs occupants de tout objet de valeur. Plusieurs personnes, en tentant de leur résister, ont été blessées à l'arme blanche, des femmes ont été terrorisées et traumatisées en se retrouvant face à ces voyous utilisant des propos menaçants et orduriers. Cette situation est vivement dénoncée par les représentants des résidants de cette cité, qui se sont présentés au siège de journal afin de parler de la peur des habitants et de leur souffrance et dénoncer l'insécurité qui régne dans leur cité. Nos interlocuteurs nous expliqueront que les agressions s'intensifient en fin d'après-midi et que ces énergumènes s'en prennent plus particulièrement aux étrangers à la cité : sachant que Diar El Kef est un passage obligé pour les personnes se rendant à Notre Dame d'Afrique, Zeghara ou Silaste. Le problème que soulèvent, également, nos interlocuteurs, est l'absence de réaction des éléments de l'ordre public, ce en dépit de maintes et maintes plaintes. D'un autre côté la direction de la sûreté de la circonscription administrative de Bab El Oued, d'où relève ledit cartier, affirme que la situation dans cette localité «est très bien maîtrisée» et qu'aucune plainte n'a été déposée… la situation sécuritaire dans cette localité serait, selon toujours la direction de la sûreté «très satisfaisante, par rapport au ramadhan de l'année passé…tout va bien… », nous affirmera le chargé de la communication au sein du commissariat de Bab El Oued. Les représentants du quartier nous affirment, eux, que ce gang est ccomposé d'une vingtaine de personnes, qu'ils connaissent d'ailleurs parfaitement et qu'ils auraient même proposé leur coopération aux forces de l'ordre afin de mettre fin à ce climat de terreur. «Les membres de cette bande se baladent en toute liberté armés de couteaux, canifs et même sabres. Nous déclarons que nous sommes prêts à contribuer avec la police en dénonçant ces criminels et en leur signalant les endroits où ils pourraiant les trouver… », affirment nos interlocuteurs. Une liste de signataires des habitants de Diar el Kef a été préparée afin d'être présentée aux autorités concernées et pour demander l' intervention des responsables, à tous les niveaux, ceci afin d'éviter que le pire n'arrive et tenter surtout d'y réinstaurer la sécurité.