Redéfinir l'importance de commencer précocement le traitement de la sclérose en plaques ( SEP), est le thème de la conférence de presse internationale qui sera organisée le 10 septembre courant à Düsseldorf en Allemagne par le laboratoire Bayer Schering Pharma. Cette manifestation scientifique ,qui regroupera plus de 300 journalistes venus de plusieurs pays dont l'Algérie, et des sommités mondiales dans le domaine permettra de faire le point sur les l'impacts visibles et cachés de cette maladie neurologique chronique. Cette manifestation coïncidera avec l organisation du 25e congres du Comité européen pour le traitement et la recherche sur la sclérose en plaques ECTRIMS qui s'étalera jusqu'au 12 septembre. L'ECTRIMS est la plus grande rencontre médicale sur la SEP dans le monde. Les chercheurs sont unanimes pour reconnaître que c'est une maladie causée par un ensemble de facteurs génétiques et environnementaux. Chaque année, près de 10.000 cas de sclérose en plaques sont enregistrés en Algérie, selon le professeur Arezki, président de la Fédération maghrébine de neurologie et de la Société algérienne de neurologie et neurophysiologie clinique (Sannc). La sclérose en plaques, qui est une maladie inflammatoire du système nerveux central, affecte près de 2,5 millions de personnes dans le monde et survient chez les sujets jeunes. Elle a été décrite, pour la première fois en 1868, par le neurologue français, Jean-Martin Charcot. La cause de la sclérose en plaques demeure inexpliquée. Les deux tiers des personnes atteintes de la SEP sont des femmes. Selon le professeur Arezki, le Maghreb est considéré comme une zone de prévalence moyenne. L'Algérie, le Maroc et la Tunisie enregistrent 15.000 malades atteints de la sclérose en plaques, qui est une affection relativement fréquente dans la région. Cette pathologie constitue un problème majeur de santé publique puisqu'elle touche le plus souvent des jeunes adultes. Redéfinir l'importance de commencer précocement le traitement de la sclérose en plaques ( SEP), est le thème de la conférence de presse internationale qui sera organisée le 10 septembre courant à Düsseldorf en Allemagne par le laboratoire Bayer Schering Pharma. Cette manifestation scientifique ,qui regroupera plus de 300 journalistes venus de plusieurs pays dont l'Algérie, et des sommités mondiales dans le domaine permettra de faire le point sur les l'impacts visibles et cachés de cette maladie neurologique chronique. Cette manifestation coïncidera avec l organisation du 25e congres du Comité européen pour le traitement et la recherche sur la sclérose en plaques ECTRIMS qui s'étalera jusqu'au 12 septembre. L'ECTRIMS est la plus grande rencontre médicale sur la SEP dans le monde. Les chercheurs sont unanimes pour reconnaître que c'est une maladie causée par un ensemble de facteurs génétiques et environnementaux. Chaque année, près de 10.000 cas de sclérose en plaques sont enregistrés en Algérie, selon le professeur Arezki, président de la Fédération maghrébine de neurologie et de la Société algérienne de neurologie et neurophysiologie clinique (Sannc). La sclérose en plaques, qui est une maladie inflammatoire du système nerveux central, affecte près de 2,5 millions de personnes dans le monde et survient chez les sujets jeunes. Elle a été décrite, pour la première fois en 1868, par le neurologue français, Jean-Martin Charcot. La cause de la sclérose en plaques demeure inexpliquée. Les deux tiers des personnes atteintes de la SEP sont des femmes. Selon le professeur Arezki, le Maghreb est considéré comme une zone de prévalence moyenne. L'Algérie, le Maroc et la Tunisie enregistrent 15.000 malades atteints de la sclérose en plaques, qui est une affection relativement fréquente dans la région. Cette pathologie constitue un problème majeur de santé publique puisqu'elle touche le plus souvent des jeunes adultes.