A quelques jours de la rentrée scolaire, prévue pour le 13 du mois en cours, la grogne des syndicats de l'Education nationale est montée d'un cran. Les syndicalistes reviennent à la charge et menacent d'ores et déjà d'enclencher un mouvement de grève dès le début de la reprise des classes. Ainsi, après les menaces au boycott de ce premier jour de cours, brandie par différents syndicats, notamment, le Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire (Cnapest), de l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (Unpef) et récemment du Conseil des lycées d'Alger (Cla), c'est autour de la Coordination nationale des adjoints de l'éducation d'enfoncer un peu plus le couteau dans la plaie. Ceci dit, le département de Benbouzid s'attend à une perturbation de la rentrée scolaire, eu égard l'insatisfaction des syndicats autonomes quant aux conditions de déroulement de cette rentrée de même que la détérioration de leurs conditions de vie. Autrement dit, un pouvoir d'achat qu'ils qualifient de «dérisoire». En effet, les enseignants adjoints s'apprêtent, de leur côté, à observer quatre jours de grève successifs à partir de dimanche prochain, selon le secrétaire général de la Coordination nationale des adjoints de l'éducation, Mourad Fertaki. Il est à rappelé que leurs revendications portent essentiellement sur la mise en place du statut des adjoints des éducateurs qui est actuellement à l'échelon 7. Ces derniers veulent être alignés sur l'échelon des autres fonctionnaires de l'éducation qui est entre 8 et 10. Il est question notamment du droit à la formation pour les moins de quarante ans à l'instar des autres catégories conformément au décret 104 de la Fonction publique et de trouver également une solution pour les plus âgés qui représentent plus de 60%. Les adjoints de l'éducation exigent également la diminution des heures de travail à 28 heures par semaine au lieu des 36 actuels. La nécessité de modifier l'article 11 de la loi n° 80-315-08, contenant la définition des fonctions de l'assistant d'éducation et de la suppression de l'article 18, exigeant la libération de enseignants pendant les vacances scolaires. Il faut dire que le ministre de l'Education nationale a du pain sur la planche vu que les protestataires s'annoncent très motivés. A quelques jours de la rentrée scolaire, prévue pour le 13 du mois en cours, la grogne des syndicats de l'Education nationale est montée d'un cran. Les syndicalistes reviennent à la charge et menacent d'ores et déjà d'enclencher un mouvement de grève dès le début de la reprise des classes. Ainsi, après les menaces au boycott de ce premier jour de cours, brandie par différents syndicats, notamment, le Conseil national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire (Cnapest), de l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (Unpef) et récemment du Conseil des lycées d'Alger (Cla), c'est autour de la Coordination nationale des adjoints de l'éducation d'enfoncer un peu plus le couteau dans la plaie. Ceci dit, le département de Benbouzid s'attend à une perturbation de la rentrée scolaire, eu égard l'insatisfaction des syndicats autonomes quant aux conditions de déroulement de cette rentrée de même que la détérioration de leurs conditions de vie. Autrement dit, un pouvoir d'achat qu'ils qualifient de «dérisoire». En effet, les enseignants adjoints s'apprêtent, de leur côté, à observer quatre jours de grève successifs à partir de dimanche prochain, selon le secrétaire général de la Coordination nationale des adjoints de l'éducation, Mourad Fertaki. Il est à rappelé que leurs revendications portent essentiellement sur la mise en place du statut des adjoints des éducateurs qui est actuellement à l'échelon 7. Ces derniers veulent être alignés sur l'échelon des autres fonctionnaires de l'éducation qui est entre 8 et 10. Il est question notamment du droit à la formation pour les moins de quarante ans à l'instar des autres catégories conformément au décret 104 de la Fonction publique et de trouver également une solution pour les plus âgés qui représentent plus de 60%. Les adjoints de l'éducation exigent également la diminution des heures de travail à 28 heures par semaine au lieu des 36 actuels. La nécessité de modifier l'article 11 de la loi n° 80-315-08, contenant la définition des fonctions de l'assistant d'éducation et de la suppression de l'article 18, exigeant la libération de enseignants pendant les vacances scolaires. Il faut dire que le ministre de l'Education nationale a du pain sur la planche vu que les protestataires s'annoncent très motivés.