A moins d'une semaine de la fête de l'Aïd el-fitr, les chefs de famille se ruent sur les magasins de vêtements particulièrement ceux des enfants. Cependant, si dans les communes de la wilaya le commerce de vêtements n'attire pas beaucoup de monde, le chef- lieu de wilaya est envahi, de jour comme de nuit, par des familles venues des quatre coins de la wilaya. Ceci s'explique par le fait que les prix affichés à Chlef sont abordables et par la bonne qualité des produits. Les magasins les plus fréquentés demeurent bien entendu ceux qui se trouvent au centre-ville. Un propriétaire de l'un de ces grands magasins nous confiera que c'est la semaine qui précède la fête de l'Aïd qu'il réalise un chiffre d'affaires conséquent. C'est une véritable aubaine pour les commerçants. Cependant si les commerçants trouvent leur compte, ce n'est pas le cas des chefs de famille qui doivent débourser jusqu' à 5.000 Da pour une tenue de l'Aïd. Que dire d'un smicard qui a à sa charge quatre ou cinq enfants ? Hadj Abdelkader, un ancien salarié des "Galeries algériennes"est l'un des ces retraités ayant à charge trois enfants en sus d'une fille handicapée. Pour lui, après la saignée du mois de Ramadhan, celle de la rentrée scolaire et enfin les dépenses pour les gâteaux, il ne lui reste presque rien pour acheter des vêtements neufs, à moins de se rabattre sur la friperie. Plus de 50% de déperdition d'eau La nécessité d'une prise en charge sérieuse en matière de fuites d'eau constatées à travers certains quartiers du chef-lieu de wilaya tels que Chorfa, Hai Meddahi, Hai Bensouna ou carrément le centre-ville, a été très souvent évoquée dans le but de limiter le gaspillage d'eau estimé à plus de 50 %. En effet, pour ne citer que ces quartiers, il faut savoir que le réseau d'AEP réalisé dans l'urgence date des années 80. 29 ans après, ce réseau doit être impérativement changé car devenu trop vétuste, ne pouvant supporter le débit important auquel il est soumis, particulièrement à la suite de l'exploitation et de l'alimentation en eau potable des habitants à partir du barrage de Sidi Yacoub et prochainement à partir de la station de dessalement d'eau de mer de Mainis (Ténès) qui devait produire théoriquement 200.000 mètres cubes par jour. Toutefois, les responsables demeurent optimistes quant à l'octroi par le ministère de l'Hydraulique d'un milliard de dinars pour entamer les travaux de rénovation des conduites d'eau. Cette opération, si elle venait à être réalisée, permettra également de mener à terme les projets d'aménagement des sites tel que le bitumage des rues. A moins d'une semaine de la fête de l'Aïd el-fitr, les chefs de famille se ruent sur les magasins de vêtements particulièrement ceux des enfants. Cependant, si dans les communes de la wilaya le commerce de vêtements n'attire pas beaucoup de monde, le chef- lieu de wilaya est envahi, de jour comme de nuit, par des familles venues des quatre coins de la wilaya. Ceci s'explique par le fait que les prix affichés à Chlef sont abordables et par la bonne qualité des produits. Les magasins les plus fréquentés demeurent bien entendu ceux qui se trouvent au centre-ville. Un propriétaire de l'un de ces grands magasins nous confiera que c'est la semaine qui précède la fête de l'Aïd qu'il réalise un chiffre d'affaires conséquent. C'est une véritable aubaine pour les commerçants. Cependant si les commerçants trouvent leur compte, ce n'est pas le cas des chefs de famille qui doivent débourser jusqu' à 5.000 Da pour une tenue de l'Aïd. Que dire d'un smicard qui a à sa charge quatre ou cinq enfants ? Hadj Abdelkader, un ancien salarié des "Galeries algériennes"est l'un des ces retraités ayant à charge trois enfants en sus d'une fille handicapée. Pour lui, après la saignée du mois de Ramadhan, celle de la rentrée scolaire et enfin les dépenses pour les gâteaux, il ne lui reste presque rien pour acheter des vêtements neufs, à moins de se rabattre sur la friperie. Plus de 50% de déperdition d'eau La nécessité d'une prise en charge sérieuse en matière de fuites d'eau constatées à travers certains quartiers du chef-lieu de wilaya tels que Chorfa, Hai Meddahi, Hai Bensouna ou carrément le centre-ville, a été très souvent évoquée dans le but de limiter le gaspillage d'eau estimé à plus de 50 %. En effet, pour ne citer que ces quartiers, il faut savoir que le réseau d'AEP réalisé dans l'urgence date des années 80. 29 ans après, ce réseau doit être impérativement changé car devenu trop vétuste, ne pouvant supporter le débit important auquel il est soumis, particulièrement à la suite de l'exploitation et de l'alimentation en eau potable des habitants à partir du barrage de Sidi Yacoub et prochainement à partir de la station de dessalement d'eau de mer de Mainis (Ténès) qui devait produire théoriquement 200.000 mètres cubes par jour. Toutefois, les responsables demeurent optimistes quant à l'octroi par le ministère de l'Hydraulique d'un milliard de dinars pour entamer les travaux de rénovation des conduites d'eau. Cette opération, si elle venait à être réalisée, permettra également de mener à terme les projets d'aménagement des sites tel que le bitumage des rues.