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La crise du développement dans le monde musulman ‘'L'homme est créé versatile. Dès que le mal le touche, il perd patience. Quand le bien le touche, il devient avare.''
A l'origine, quand le processus d'insertion de la société musulmane dans l'histoire a commencé, son monde des personnes a été fait sur un prototype représenté par la communauté d'Ançar et de Mouhadjirine, fraternisée à Médine. Ce prototype incarnera l'idée islamique, il sera le modèle qu'on imite, dont on s'inspire et on recueille les mémoires qu'inspirent les premiers écrits du monde musulman, comme les «Tabaqat» d'Ibn Saâd. A l'origine, quand le processus d'insertion de la société musulmane dans l'histoire a commencé, son monde des personnes a été fait sur un prototype représenté par la communauté d'Ançar et de Mouhadjirine, fraternisée à Médine. Ce prototype incarnera l'idée islamique, il sera le modèle qu'on imite, dont on s'inspire et on recueille les mémoires qu'inspirent les premiers écrits du monde musulman, comme les «Tabaqat» d'Ibn Saâd. Les biologistes considèrent que l'embryologie du fœtus reproduit les étapes morphologiques de l'espèce. Il n'y a aucune raison doctrinale, du point de vue islamique, de confirmer ou de révoquer cette thèse sur laquelle, comme sur d'autres, la pensée coranique a voulu rester allégorique, comme toute pensée religieuse. Sur le plan historique par contre, il est permis de signaler des similitudes entre certains traits du développement mental de l'individu, et le développement psychosociologique de la société. Celle-ci semble passer aussi par les trois âges : celui des choses, celui de la personne et de l'idées. Les transitions ne sont pas néanmoins parquées ici, comme chez l'individu. Toute société, quel que soit son niveau de développement, possède un univers culturel complexe. Dans son action concertée, il y a interférence de l'univers des choses avec celui des personnes et celui des idées. Il va sans dire que le schéma de cette action, aussi rudimentaire fut-il, inclut nécessairement des motivations et des modalités opératoires, des mobiles d'ordre moral et des idées techniques. Mais il y a toujours prépondérance de l'un des trois facteurs. C'est par cette prépondérance dans sa façon d'agir et de penser qu'une société se distingue d'une autre. Une société sous-développée n'est pas fatalement marquée par une pénurie de moyens matériel, mais par une carence d'idées. Celles-ci se manifestent notamment dans sa façon d'utiliser plus ou moins efficacement les moyens dont elle dispose déjà, dans son incapacité à en créer de nouveaux, et surtout dans sa façon de poser ses problèmes ou de ne pas les poser du tout, quand elle abondonne toute velléité de les aborder. Ainsi la terre est le moyen le plus sûr pour assurer le décollage, comme disent aujourd'hui les économistes, qui étudient les problèmes du sous- développement d'une société au stade primaire qui veut passer au secondaire. Il y a une véritable carence d'idées qui se traduit sur le plan politique et économique sous forme d'inhibitions frénatrices qui correspondent, du point de vue sociologique, aux caractères psychologiques distinctifs du monde musulman actuel. Ce tableau pourrait être expliqué par les historiens, par les économistes, par les sociologues. De différentes manières. On peut en donner une explication psychosociologique en nous référant à la théorie des trois âges qu'on essayera de justifier par les antécédents des sociétés contemporaines. En généra, sur un axe représentant toutes les phases de l'évolution, une société historique contemporaine ou révolue, occupera une position déterminée. L'histoire en accuse trois : celle de la société pré civilisée, celle de la société civilisée et celle de la société post-civilisée. Les historiens distinguent bien d'habitude la première et la seconde position, mais entre celle-ci et la troisième position, aucune distinction n'est faite. Pour eux, une société post-civilisée c'est simplement une société qui continue sa marche sur la voie de la civilisation. Le processus comme pour l'individu, se poursuivra jusqu'au point d'inversion, de régression. L'idée se figera, la marche deviendra une marche en arrière et la société musulmane rebroussera chemin, repassera, mais en sens inverse, c'est-à-dire par ses âges précédents. Mais son monde des personnes n'est plus l'image du prototype originel, il devient celui des mystiques puis des mystificateurs et des charlatans de toutes espèces notamment l'espèce « Zaim ». Son mode des choses n'étant plus modeste et nécessaire, comme au temps de la djahiya, la chose reprend son empire sur les esprits et sur les consciences, mais c'est une chose parfois superflue, qui peut coûter très cher, surtout quand on doit l'acheter de l'étranger. Le processus est ainsi bouclé, la société musulmane rebroussant chemin, se retrouve finalement dans l'ère post-civilisée depuis quelques siècles, et se retrouve dans une situation de stagnation, où elle ne peut ni avancer, ni reculer. Connaissez-vous votre religion ? J'ai toujours voulu savoir ce que c'est que la franc-maçonnerie. Certains disent que c'est une religion, d'autres par contre affirment que c'est une secte. Qu'en pensez-vous ? T. Salah (Oran) Le terme franc-maçonnerie est apparu selon les historiens, au début du 18e siècle. Quand les premières loges sont nées, leurs membres sont nommés ''free-masons'' (maçons libres). D'autres chercheurs anglo-saxons, sont remontés encore plus loin dans le temps, pour souligner que l'origine du mot remonte en fait au XIIIe siècle avec les free stone maçon (tailleurs de pierre franche). Mais ce n'est qu'au XIVe siècle que l'abréviation du terme a donné ''free-mason''. Au XVIIe siècle, on adopta le terme qui fut accepté par ses adeptes. James Anderson, dans son livre sur l'histoire des religions affirme, quant à lui, que ce n'est qu'au XVIIIe siècle que le terme franc-maçon est définitivement adopté. La première constitution pour lancer les bases de cette nouvelle doctrine, affirment d'autres sources, fut rédigée le 29 septembre 1771, lors d'une réunion qui s'est tenue à Londres par un révérend, un pasteur et un docteur en théologie. Le livre doctrinal de la nouvelle religion, une fois terminé, on élabora une charte pour réglementer le métier et une rigueur de fer fut appliquée pour toutes les nouvelles recrues, qui sont soumis à des conditions d'adhésion draconiennes. le 27 décembre 1721, quatorze disciples, appelés les érudits, ont été chargés d'étudier toutes les conclusions recommandations, textes et autres manuscrits et la charte finale fut adoptée le 25 mars 1722, sous le titre : ''Les Constitutions d'Anderson''. On lit notamment dans cette constitution : ''Ayons le courage de nous affirmer apôtres d'une religion plus sainte que les autres, propageons la religion de la république qui formera le cœur des citoyens et cultivera les vertus républicaines'' (Oswaid Wirh. Le livre du Maître. P 122) Depuis, on érigea des Temples, pour accueillir les adeptes de cette nouvelle ''Religion'' et le premier pays africain pénétré par la franc-maçonnerie demeure le Sénégal où cette doctrine est rentrée à Saint Louis en 1880. Les Templiers sont devenus, plus tard, d'après plusieurs sources, les premiers mercenaires dans le monde. Ils formaient l'avant-garde des armées chrétiennes durant leurs expéditions en Orient. Ils reçurent de nombreuses donations qui firent d'eux de grands propriétaires terriens. Ils devinrent aussi de véritables banquiers offrant leurs services aux particuliers, au Pape. Leurs Templiers, par le passé, étaient de véritables forteresses. L'opinion a fini par comprendre que les Templiers, proclamaient des principes ; auxquels ils n'y croyaient point. Ils n'y croient même pas, à la croix qu'ils portaient comme symbole. Les biologistes considèrent que l'embryologie du fœtus reproduit les étapes morphologiques de l'espèce. Il n'y a aucune raison doctrinale, du point de vue islamique, de confirmer ou de révoquer cette thèse sur laquelle, comme sur d'autres, la pensée coranique a voulu rester allégorique, comme toute pensée religieuse. Sur le plan historique par contre, il est permis de signaler des similitudes entre certains traits du développement mental de l'individu, et le développement psychosociologique de la société. Celle-ci semble passer aussi par les trois âges : celui des choses, celui de la personne et de l'idées. Les transitions ne sont pas néanmoins parquées ici, comme chez l'individu. Toute société, quel que soit son niveau de développement, possède un univers culturel complexe. Dans son action concertée, il y a interférence de l'univers des choses avec celui des personnes et celui des idées. Il va sans dire que le schéma de cette action, aussi rudimentaire fut-il, inclut nécessairement des motivations et des modalités opératoires, des mobiles d'ordre moral et des idées techniques. Mais il y a toujours prépondérance de l'un des trois facteurs. C'est par cette prépondérance dans sa façon d'agir et de penser qu'une société se distingue d'une autre. Une société sous-développée n'est pas fatalement marquée par une pénurie de moyens matériel, mais par une carence d'idées. Celles-ci se manifestent notamment dans sa façon d'utiliser plus ou moins efficacement les moyens dont elle dispose déjà, dans son incapacité à en créer de nouveaux, et surtout dans sa façon de poser ses problèmes ou de ne pas les poser du tout, quand elle abondonne toute velléité de les aborder. Ainsi la terre est le moyen le plus sûr pour assurer le décollage, comme disent aujourd'hui les économistes, qui étudient les problèmes du sous- développement d'une société au stade primaire qui veut passer au secondaire. Il y a une véritable carence d'idées qui se traduit sur le plan politique et économique sous forme d'inhibitions frénatrices qui correspondent, du point de vue sociologique, aux caractères psychologiques distinctifs du monde musulman actuel. Ce tableau pourrait être expliqué par les historiens, par les économistes, par les sociologues. De différentes manières. On peut en donner une explication psychosociologique en nous référant à la théorie des trois âges qu'on essayera de justifier par les antécédents des sociétés contemporaines. En généra, sur un axe représentant toutes les phases de l'évolution, une société historique contemporaine ou révolue, occupera une position déterminée. L'histoire en accuse trois : celle de la société pré civilisée, celle de la société civilisée et celle de la société post-civilisée. Les historiens distinguent bien d'habitude la première et la seconde position, mais entre celle-ci et la troisième position, aucune distinction n'est faite. Pour eux, une société post-civilisée c'est simplement une société qui continue sa marche sur la voie de la civilisation. Le processus comme pour l'individu, se poursuivra jusqu'au point d'inversion, de régression. L'idée se figera, la marche deviendra une marche en arrière et la société musulmane rebroussera chemin, repassera, mais en sens inverse, c'est-à-dire par ses âges précédents. Mais son monde des personnes n'est plus l'image du prototype originel, il devient celui des mystiques puis des mystificateurs et des charlatans de toutes espèces notamment l'espèce « Zaim ». Son mode des choses n'étant plus modeste et nécessaire, comme au temps de la djahiya, la chose reprend son empire sur les esprits et sur les consciences, mais c'est une chose parfois superflue, qui peut coûter très cher, surtout quand on doit l'acheter de l'étranger. Le processus est ainsi bouclé, la société musulmane rebroussant chemin, se retrouve finalement dans l'ère post-civilisée depuis quelques siècles, et se retrouve dans une situation de stagnation, où elle ne peut ni avancer, ni reculer. Connaissez-vous votre religion ? J'ai toujours voulu savoir ce que c'est que la franc-maçonnerie. Certains disent que c'est une religion, d'autres par contre affirment que c'est une secte. Qu'en pensez-vous ? T. Salah (Oran) Le terme franc-maçonnerie est apparu selon les historiens, au début du 18e siècle. Quand les premières loges sont nées, leurs membres sont nommés ''free-masons'' (maçons libres). D'autres chercheurs anglo-saxons, sont remontés encore plus loin dans le temps, pour souligner que l'origine du mot remonte en fait au XIIIe siècle avec les free stone maçon (tailleurs de pierre franche). Mais ce n'est qu'au XIVe siècle que l'abréviation du terme a donné ''free-mason''. Au XVIIe siècle, on adopta le terme qui fut accepté par ses adeptes. James Anderson, dans son livre sur l'histoire des religions affirme, quant à lui, que ce n'est qu'au XVIIIe siècle que le terme franc-maçon est définitivement adopté. La première constitution pour lancer les bases de cette nouvelle doctrine, affirment d'autres sources, fut rédigée le 29 septembre 1771, lors d'une réunion qui s'est tenue à Londres par un révérend, un pasteur et un docteur en théologie. Le livre doctrinal de la nouvelle religion, une fois terminé, on élabora une charte pour réglementer le métier et une rigueur de fer fut appliquée pour toutes les nouvelles recrues, qui sont soumis à des conditions d'adhésion draconiennes. le 27 décembre 1721, quatorze disciples, appelés les érudits, ont été chargés d'étudier toutes les conclusions recommandations, textes et autres manuscrits et la charte finale fut adoptée le 25 mars 1722, sous le titre : ''Les Constitutions d'Anderson''. On lit notamment dans cette constitution : ''Ayons le courage de nous affirmer apôtres d'une religion plus sainte que les autres, propageons la religion de la république qui formera le cœur des citoyens et cultivera les vertus républicaines'' (Oswaid Wirh. Le livre du Maître. P 122) Depuis, on érigea des Temples, pour accueillir les adeptes de cette nouvelle ''Religion'' et le premier pays africain pénétré par la franc-maçonnerie demeure le Sénégal où cette doctrine est rentrée à Saint Louis en 1880. Les Templiers sont devenus, plus tard, d'après plusieurs sources, les premiers mercenaires dans le monde. Ils formaient l'avant-garde des armées chrétiennes durant leurs expéditions en Orient. Ils reçurent de nombreuses donations qui firent d'eux de grands propriétaires terriens. Ils devinrent aussi de véritables banquiers offrant leurs services aux particuliers, au Pape. Leurs Templiers, par le passé, étaient de véritables forteresses. L'opinion a fini par comprendre que les Templiers, proclamaient des principes ; auxquels ils n'y croyaient point. Ils n'y croient même pas, à la croix qu'ils portaient comme symbole.