«La cabale est orchestrée par un journalise qui vise à manipuler les ultras du club parmi les supporters et quelques dirigeants. Le journaliste lui-même est manipulé par d'anciens collaborateurs dont le CSC s'est séparé parce qu'ils lui nuisaient plus qu'ils ne lui étaient d'une quelconque utilité». Ce sont les déclarations essentielles de la conférence de presse animée par Yacine Ounis, le président du CSC au lendemain de la défaite de son équipe face à l'USMBA et au cours de laquelle, selon les allusions qu'il fera, seuls quatre éléments de l'équipe auront joué franc jeu. Les autres ayant «levé le pied». Il affirme que les «mutins » en question vont être remerciés et remplacés par des joueurs puisés dans les jeunes catégories. «Sinon nous nous efforcerons d'attendre la trêve d'hiver (mercato) pour enrôler de nouvelles recrues » soulignera-t-il. Les Sanafir seraient vraisemblablement dans le rouge en matière de finances et c'est à cet effet que le boss déclare mettre de sa poche encore une fois plus de 15 millions de dinars en l'attente des aides des pouvoirs publics. Il évoquera ensuite la question de la concession temporaire du stade du 17 juin pour la saison qui court, soulignant «Logiquement, avec les responsables de l'OPOW nous devons arrêter lundi prochain (aujourd'hui) les modalités pratiques de la convention. Nous restons persuadés que c'est la meilleure solution pour le CSC lequel compte tenu de la dimension de sa galerie y trouvera matière à gain conséquent». Coté sponsoring et mécénat, Ounis annonce la mise en place des dotations financières institutionnelles (SH, Sonelgaz, ERCE) tout en misant sur des apports d'opérateurs économiques privés grâce au concours du wali qui devrait réunir un aréopage d'investisseurs en cours de semaine pour en inciter les membres à faire un effort financier pour aider le club. Le différend avec Mazar sera vite survolé, le président «légitime » considérant qu'il n'existe «aucune raison pour que la justice se prononce autrement que par la disqualification de Mazar. Tous les éléments matériels existants plaident contre lui». Enfin s'agissant des relations avec le voisin immédiat du CSC, en l'occurrence le MOC, Ounis dira «…qu'elles n'ont jamais été aussi sereines et il n'y a pas de raison à ce qu'il en soit autrement ». «La cabale est orchestrée par un journalise qui vise à manipuler les ultras du club parmi les supporters et quelques dirigeants. Le journaliste lui-même est manipulé par d'anciens collaborateurs dont le CSC s'est séparé parce qu'ils lui nuisaient plus qu'ils ne lui étaient d'une quelconque utilité». Ce sont les déclarations essentielles de la conférence de presse animée par Yacine Ounis, le président du CSC au lendemain de la défaite de son équipe face à l'USMBA et au cours de laquelle, selon les allusions qu'il fera, seuls quatre éléments de l'équipe auront joué franc jeu. Les autres ayant «levé le pied». Il affirme que les «mutins » en question vont être remerciés et remplacés par des joueurs puisés dans les jeunes catégories. «Sinon nous nous efforcerons d'attendre la trêve d'hiver (mercato) pour enrôler de nouvelles recrues » soulignera-t-il. Les Sanafir seraient vraisemblablement dans le rouge en matière de finances et c'est à cet effet que le boss déclare mettre de sa poche encore une fois plus de 15 millions de dinars en l'attente des aides des pouvoirs publics. Il évoquera ensuite la question de la concession temporaire du stade du 17 juin pour la saison qui court, soulignant «Logiquement, avec les responsables de l'OPOW nous devons arrêter lundi prochain (aujourd'hui) les modalités pratiques de la convention. Nous restons persuadés que c'est la meilleure solution pour le CSC lequel compte tenu de la dimension de sa galerie y trouvera matière à gain conséquent». Coté sponsoring et mécénat, Ounis annonce la mise en place des dotations financières institutionnelles (SH, Sonelgaz, ERCE) tout en misant sur des apports d'opérateurs économiques privés grâce au concours du wali qui devrait réunir un aréopage d'investisseurs en cours de semaine pour en inciter les membres à faire un effort financier pour aider le club. Le différend avec Mazar sera vite survolé, le président «légitime » considérant qu'il n'existe «aucune raison pour que la justice se prononce autrement que par la disqualification de Mazar. Tous les éléments matériels existants plaident contre lui». Enfin s'agissant des relations avec le voisin immédiat du CSC, en l'occurrence le MOC, Ounis dira «…qu'elles n'ont jamais été aussi sereines et il n'y a pas de raison à ce qu'il en soit autrement ».