Les cours du pétrole progressaient d'un dollar, hier matin, portés par la faiblesse du dollar, au lendemain d'une sévère baisse; un mouvement qui a déclenché des achats des matières premières. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre gagnait 1 dollar par rapport à la clôture de vendredi, à 69,69 dollars, sur l'Inter Continental Exchange (ICE). Le brut léger texan (WTI) pour livraison en octobre (dernier jour de cotation de ce contrat) grimpait de 1,08 dollar à 70,79 dollars sur le New York Mercantile Exchange. Utilisé comme un produit financier, le pétrole est très prisé par les fonds d'investissements, qui y voient un moyen de se couvrir contre la faiblesse du dollar et les risques d'inflation. De manière symptomatique, l'or, dont la valeur est inversement corrélée à la valeur de la devise américaine, s'est à nouveau rapproché de son record historique, en grimpant jusqu'à 1.017,97 dollars l'once. Le pétrole, qui avait fortement chuté lundi, profitait lui aussi de ce mouvement pour repasser la barre de 70 dollars à New York. La veille, les cours du brut avaient fortement reculé, victimes, au contraire, d'un rebond du dollar, mais aussi d'un nouvel accès de doutes sur le redressement de la demande d'or noir. Le WTI avait lâché 2,33 dollars à New York, le Brent 2,63 dollars sur le marché londonien. Les prix devraient se maintenir dans des marges étroites avant les statistiques hebdomadaires sur les stocks pétroliers américains, attendues aujourd'hui. Hier, les acteurs du marché guettaient les annonces du Comité de politique monétaire de la banque centrale américaine (Fed), qui publiera un communiqué à l'issue de deux jours de réunion. Celles-ci pourraient avoir un impact sur le dollar, un facteur déterminant pour le marché du brut. Les cours du pétrole progressaient d'un dollar, hier matin, portés par la faiblesse du dollar, au lendemain d'une sévère baisse; un mouvement qui a déclenché des achats des matières premières. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre gagnait 1 dollar par rapport à la clôture de vendredi, à 69,69 dollars, sur l'Inter Continental Exchange (ICE). Le brut léger texan (WTI) pour livraison en octobre (dernier jour de cotation de ce contrat) grimpait de 1,08 dollar à 70,79 dollars sur le New York Mercantile Exchange. Utilisé comme un produit financier, le pétrole est très prisé par les fonds d'investissements, qui y voient un moyen de se couvrir contre la faiblesse du dollar et les risques d'inflation. De manière symptomatique, l'or, dont la valeur est inversement corrélée à la valeur de la devise américaine, s'est à nouveau rapproché de son record historique, en grimpant jusqu'à 1.017,97 dollars l'once. Le pétrole, qui avait fortement chuté lundi, profitait lui aussi de ce mouvement pour repasser la barre de 70 dollars à New York. La veille, les cours du brut avaient fortement reculé, victimes, au contraire, d'un rebond du dollar, mais aussi d'un nouvel accès de doutes sur le redressement de la demande d'or noir. Le WTI avait lâché 2,33 dollars à New York, le Brent 2,63 dollars sur le marché londonien. Les prix devraient se maintenir dans des marges étroites avant les statistiques hebdomadaires sur les stocks pétroliers américains, attendues aujourd'hui. Hier, les acteurs du marché guettaient les annonces du Comité de politique monétaire de la banque centrale américaine (Fed), qui publiera un communiqué à l'issue de deux jours de réunion. Celles-ci pourraient avoir un impact sur le dollar, un facteur déterminant pour le marché du brut.