A l'orée de la rentrée scolaire 2009-2010, de nombreux parents d'élèves se retrouvent confrontés à un phénomène récurrent qui pénalise le cadre de vie de leurs enfants, et par voie de conséquence, le leur. En effet, des bandes de délinquants investissent quotidiennement les abords des établissements scolaires et imposent leur diktat aux élèves des trois cycles qui sont souvent insultés malmenés, voire agressés physiquement. Sous la menace d'arme blanche, de chaînes et gourdins, ces malfrats détroussent impunément leurs victimes qui n'osent pas se plaindre craignant de violentes représailles. De jeunes enfants, devenus otages de ces voyous sans foi ni loi, sont régulièrement rançonnés et parfois délestés de leurs portables, des objets de valeur et effets vestimentaires. Des collégiennes et des lycéennes n'échappent pas aux railleries, provocations et aux ardeurs malsaines de ces sinistres individus qui s'autoproclament Casanova ! Même le corps enseignant, notamment la gent féminine, est ciblé par cete horde sauvage qui agit sans état d'âme. Craignant des conséquences fâcheuses, des pères et des mères de famille conduisent régulièrement leurs enfants, à leur lycée avant de retourner les récupérer. Les établissements scolaires implantés dans les quartiers périphériques de Bourouaich, Ouled Maiz, Aïn Zelfa, M'rabet, Messaoud et Emir Abdelkader sont particulièrement visés par des voyous encouragés par le silence de leurs proies et l'impunité. Des parents angoissés lancent un pressant appel aux autorités locales aux fins de sécuriser ces lieux du savoir car les enfants sont traumatisés et appréhendent les trajets quotidiennement. A l'orée de la rentrée scolaire 2009-2010, de nombreux parents d'élèves se retrouvent confrontés à un phénomène récurrent qui pénalise le cadre de vie de leurs enfants, et par voie de conséquence, le leur. En effet, des bandes de délinquants investissent quotidiennement les abords des établissements scolaires et imposent leur diktat aux élèves des trois cycles qui sont souvent insultés malmenés, voire agressés physiquement. Sous la menace d'arme blanche, de chaînes et gourdins, ces malfrats détroussent impunément leurs victimes qui n'osent pas se plaindre craignant de violentes représailles. De jeunes enfants, devenus otages de ces voyous sans foi ni loi, sont régulièrement rançonnés et parfois délestés de leurs portables, des objets de valeur et effets vestimentaires. Des collégiennes et des lycéennes n'échappent pas aux railleries, provocations et aux ardeurs malsaines de ces sinistres individus qui s'autoproclament Casanova ! Même le corps enseignant, notamment la gent féminine, est ciblé par cete horde sauvage qui agit sans état d'âme. Craignant des conséquences fâcheuses, des pères et des mères de famille conduisent régulièrement leurs enfants, à leur lycée avant de retourner les récupérer. Les établissements scolaires implantés dans les quartiers périphériques de Bourouaich, Ouled Maiz, Aïn Zelfa, M'rabet, Messaoud et Emir Abdelkader sont particulièrement visés par des voyous encouragés par le silence de leurs proies et l'impunité. Des parents angoissés lancent un pressant appel aux autorités locales aux fins de sécuriser ces lieux du savoir car les enfants sont traumatisés et appréhendent les trajets quotidiennement.