Cinq membres du conseil national du Rassemblement national démocratique (RND) sur les six de la wilaya de Blida montent au créneau et exigent, dans une lettre adressée à Ahmed Ouyahia secrétaire général du parti, le départ de l'actuel coordinateur de la wilaya. Le despotisme, le non-respect de la réglementation et la démobilisation des militants et adhérants de la wilaya de Blida sont les griefs retenus contre le responsable local. Les contestataires ont aussi, dans cette lettre, demandé une entrevue au secrétaire général de leur formation politique pour expliquer de vive voix la situation qui prévaut à la veille des sénatoriales. L'opération est prévue pour fin décembre prochain. Elle consiste en le renouvellement de la moitié des membres élus, à savoir quarante-huit sénateurs, soit un par wilaya. Les élections sénatoriales en question ont lieu en vertu des dispositions constitutionnelles et de la loi portant code électoral au niveau de chaque wilaya du pays. C'est une sorte de «grands électeurs» en ce sens que ne sont concernés par l'élection que les élus porteurs d'un mandat au sein des APC et des APW. La perspective de se hisser au statut de sénateur fait naître des ambitions et une compétition féroce, légitime au demeurant, à l'intérieur des partis politiques, notamment ceux constituant l'Alliance présidentielle. Le FLN, le RND et le MSP, qui détiennent l'écrasante majorité des assemblées locales, ont donc, chacun de son côté, préparé des listes de candidatures. Le Front des forces socialistes, pour sa part, ne prendra pas part aux élections sénatoriales et «ne cautionnera aucune candidature même si des bruits font état de tentatives d'amadouer nos élus par certaines formations politiques», a déclaré, Djamel Bahloul, secrétaire national du FFS devant les élus locaux de Béjaïa. Cinq membres du conseil national du Rassemblement national démocratique (RND) sur les six de la wilaya de Blida montent au créneau et exigent, dans une lettre adressée à Ahmed Ouyahia secrétaire général du parti, le départ de l'actuel coordinateur de la wilaya. Le despotisme, le non-respect de la réglementation et la démobilisation des militants et adhérants de la wilaya de Blida sont les griefs retenus contre le responsable local. Les contestataires ont aussi, dans cette lettre, demandé une entrevue au secrétaire général de leur formation politique pour expliquer de vive voix la situation qui prévaut à la veille des sénatoriales. L'opération est prévue pour fin décembre prochain. Elle consiste en le renouvellement de la moitié des membres élus, à savoir quarante-huit sénateurs, soit un par wilaya. Les élections sénatoriales en question ont lieu en vertu des dispositions constitutionnelles et de la loi portant code électoral au niveau de chaque wilaya du pays. C'est une sorte de «grands électeurs» en ce sens que ne sont concernés par l'élection que les élus porteurs d'un mandat au sein des APC et des APW. La perspective de se hisser au statut de sénateur fait naître des ambitions et une compétition féroce, légitime au demeurant, à l'intérieur des partis politiques, notamment ceux constituant l'Alliance présidentielle. Le FLN, le RND et le MSP, qui détiennent l'écrasante majorité des assemblées locales, ont donc, chacun de son côté, préparé des listes de candidatures. Le Front des forces socialistes, pour sa part, ne prendra pas part aux élections sénatoriales et «ne cautionnera aucune candidature même si des bruits font état de tentatives d'amadouer nos élus par certaines formations politiques», a déclaré, Djamel Bahloul, secrétaire national du FFS devant les élus locaux de Béjaïa.