Des autorités financières européennes ont soutenu, à Bruxelles, la tendance à la reprise de l'économie de la zone euro, mais ont, toutefois, reconnu la persistance de la crise financière qui a impliqué les systèmes bancaires, les marchés boursiers et le flux du crédit. Cette tendance est ainsi affirmée cette semaine par le Président de la Banque centrale européenne (BCE) Jean-Claude Trichet, et le Président de l'Eurogroupe, Jean-Claude Junker, qui ont insisté devant les eurodéputés que "l'arrêt des mesures de soutien financier n'est pas opportun". "L'économie de la zone euro montre des signes de stabilisation, mais la crise n'est pas encore passée", a déclaré à la commission économique M. Trichet, questionné sur la mise en œuvre du Comité de risque systémique et la mise à disposition de crédits aux entreprises. "Le moment n'est pas encore venu de changer de stratégie", a déclaré M. Trichet, à propos des mesures non-conventionnelles mises en place par la BCE pour soutenir le système financier. "Il ne sera toutefois pas possible de maintenir cette forte intervention sur le marché monétaire de la zone euro pour longtemps", a-t-il prévenu. Des autorités financières européennes ont soutenu, à Bruxelles, la tendance à la reprise de l'économie de la zone euro, mais ont, toutefois, reconnu la persistance de la crise financière qui a impliqué les systèmes bancaires, les marchés boursiers et le flux du crédit. Cette tendance est ainsi affirmée cette semaine par le Président de la Banque centrale européenne (BCE) Jean-Claude Trichet, et le Président de l'Eurogroupe, Jean-Claude Junker, qui ont insisté devant les eurodéputés que "l'arrêt des mesures de soutien financier n'est pas opportun". "L'économie de la zone euro montre des signes de stabilisation, mais la crise n'est pas encore passée", a déclaré à la commission économique M. Trichet, questionné sur la mise en œuvre du Comité de risque systémique et la mise à disposition de crédits aux entreprises. "Le moment n'est pas encore venu de changer de stratégie", a déclaré M. Trichet, à propos des mesures non-conventionnelles mises en place par la BCE pour soutenir le système financier. "Il ne sera toutefois pas possible de maintenir cette forte intervention sur le marché monétaire de la zone euro pour longtemps", a-t-il prévenu.