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Le prototype 908 HDi FAP de Peugeot présent au SIA d'Alger
Vainqueur des 24 heures du Mans
Publié dans Le Midi Libre le 04 - 10 - 2009

Il y avait foule, hier, au stand de Peugeot, au 13e Salon International de l'automobile d'Alger, pour un évènement unique en Algérie. La marque du lion présentait la Peugeot 908 HDi FAP. Un bolide qui a participé aux 24 heures du Mans et qu'il a remporté haut la main. Une bonne opération de marketing de l'équipe de chez Peugeot pour faire la promotion des véhicules de la marque et prouver leur endurance légendaire. C'est le pilote du bolide lui-même, Nicolas Minassian, un Marseillais de 33 ans qui était chargé de vanter les qualités du prototype diesel 908 HDi FAP et par là même louer les qualités que doit avoir un pilote pour être aux commandes de ce type de véhicule de haute de compétition. «C'est une voiture fiable qui va hyper-vite, la plus efficace au monde et qui peut atteindre les 360km/h sur un circuit comme celui du Mans», assure le pilote du bolide qui souligne que « après deux années de passage à côté, l'équipage de Peugeot a réussi cette année son coup». Présent depuis deux ans sur les circuits du Mans, le Team Peugeot a cette année monopolisé les deux premières places. Des soucis quand même au pilote lors des 24 Mans quand le système d'embrayage a failli donner des siennes qui estime qu'il est « privilégié » de faire ce métier qui demande à l'instar d'autres sports de haute performance «beaucoup de préparation physique» et un mental très fort pour résister à la montée d'adrénaline qui rend le sommeil très difficile atténué grâce, dit-il à «un suivi médical». Toujours est-il que Nicolas Minassian, lors d'une course automobile un sentiment «fantastique» et se sent «frustré» en cas d'échec. Sur les qualités de la 908 HDi FAP, le pilote de l'écurie Peugeot souligne qu' «elle très aérodynamique», châssis entièrement en carbone et pèse 900 kg et assure que «plus elle va vite, plus l'adhérence au sol augmente». Il estime et pourquoi pas, s'adressant aux jeunes qui suivaient attentivement ses explications que «ce serait bien d'avoir un pilote algérien aux 24 heures du Mans. Il suffit de savoir saisir l'opportunité si elle se présente», dit-il, avouant qu' «il est difficile de convaincre les grosses entreprise d'investir dans le sport automobile», en raison des coûts élevés. La crise économique a tari un peu les sources de financement du sport automobile, avance-t-il, citant un chiffre, 600 millions d'euros pour la Formule1 et à peu près de 1% de cette somme pour faire l'endurance à l'exemple des 24 heures du Mans.
Il y avait foule, hier, au stand de Peugeot, au 13e Salon International de l'automobile d'Alger, pour un évènement unique en Algérie. La marque du lion présentait la Peugeot 908 HDi FAP. Un bolide qui a participé aux 24 heures du Mans et qu'il a remporté haut la main. Une bonne opération de marketing de l'équipe de chez Peugeot pour faire la promotion des véhicules de la marque et prouver leur endurance légendaire. C'est le pilote du bolide lui-même, Nicolas Minassian, un Marseillais de 33 ans qui était chargé de vanter les qualités du prototype diesel 908 HDi FAP et par là même louer les qualités que doit avoir un pilote pour être aux commandes de ce type de véhicule de haute de compétition. «C'est une voiture fiable qui va hyper-vite, la plus efficace au monde et qui peut atteindre les 360km/h sur un circuit comme celui du Mans», assure le pilote du bolide qui souligne que « après deux années de passage à côté, l'équipage de Peugeot a réussi cette année son coup». Présent depuis deux ans sur les circuits du Mans, le Team Peugeot a cette année monopolisé les deux premières places. Des soucis quand même au pilote lors des 24 Mans quand le système d'embrayage a failli donner des siennes qui estime qu'il est « privilégié » de faire ce métier qui demande à l'instar d'autres sports de haute performance «beaucoup de préparation physique» et un mental très fort pour résister à la montée d'adrénaline qui rend le sommeil très difficile atténué grâce, dit-il à «un suivi médical». Toujours est-il que Nicolas Minassian, lors d'une course automobile un sentiment «fantastique» et se sent «frustré» en cas d'échec. Sur les qualités de la 908 HDi FAP, le pilote de l'écurie Peugeot souligne qu' «elle très aérodynamique», châssis entièrement en carbone et pèse 900 kg et assure que «plus elle va vite, plus l'adhérence au sol augmente». Il estime et pourquoi pas, s'adressant aux jeunes qui suivaient attentivement ses explications que «ce serait bien d'avoir un pilote algérien aux 24 heures du Mans. Il suffit de savoir saisir l'opportunité si elle se présente», dit-il, avouant qu' «il est difficile de convaincre les grosses entreprise d'investir dans le sport automobile», en raison des coûts élevés. La crise économique a tari un peu les sources de financement du sport automobile, avance-t-il, citant un chiffre, 600 millions d'euros pour la Formule1 et à peu près de 1% de cette somme pour faire l'endurance à l'exemple des 24 heures du Mans.

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