A en juger par les nouveaux indicateurs fournis par le FMI, il apparaît que le ralentissement dans la croissance du PIB en 2009 en Algérie suivra la tendance observée par tous les pays exportateurs de pétrole pour lesquels il est prévu un taux de 2,2% en 2009 en chute libre par rapport au 6 % de 2008. A en juger par les nouveaux indicateurs fournis par le FMI, il apparaît que le ralentissement dans la croissance du PIB en 2009 en Algérie suivra la tendance observée par tous les pays exportateurs de pétrole pour lesquels il est prévu un taux de 2,2% en 2009 en chute libre par rapport au 6 % de 2008. L'Algérie devrait connaitre un ralentissement de sa croissance économique au cours de cette année à l'image de l'ensemble des pays du Maghreb et du continent africain. Une tendance qui sera accompagnée d'une hausse de l'inflation. Toutefois, la situation devrait, cependant, repartir dans le bons sens dès l'année prochaine avec une augmentation de la croissance du PIB et un recul de l'inflation attendu pour 2010. Ce sont là les grandes lignes réservées à la position de l'Algérie dans le nouveau rapport sur les perspectives économiques mondiales élaboré par le Fond monétaire international (FMI) et récemment publié. Les nouvelles estimations du FMI concernant la croissance en Algérie contenues dans ce document ne diffèrent pas vraiment des dernières prévisions rendues publiques aussi bien par le fonds que par l'autre institution de Bretton Woods qu'est la Banque mondiale. En revanche, elles sont loin de celles établies par le gouvernement dans la loi de finances complémentaires 2009 (LFC) qui prévoit une croissance de l'ordre de 3,9% en 2009. Le nouveau rapport du FMI indique donc que la croissance du PIB devrait baisser de 3 % en 2008 à 2,1 en 2009 avant de remonter à 3,7% l'année prochaine. Une précédente estimation faite au début de cette année prévoyait une croissance globale de 2,1% en 2009 et de 3,9% et hors hydrocarbures de 5,7% en 2009 et de 5,1 en 2010. Le FMI avait alors expliqué le ralentissement de la croissance dans les pays producteurs de pétrole, comme l'Algérie par la contraction des exportations d'hydrocarbures. Par ailleurs, la Banque mondiale avait à la même époque tablé sur une croissance du PIB proche de celle prévue par le FMI soit 2,2% en 2009 et 3,5% en 2010. A en juger par les nouveaux indicateurs fournis par le FMI, il apparaît que le ralentissement dans la croissance du PIB en 2009 en Algérie suivra la tendance observée par tous les pays exportateurs de pétrole pour lesquels il est prévu un taux de 2,2% en 2009 en chute libre par rapport au 6 % de 2008. Il apparaît cependant que la reprise de l'économie attendue en 2010 sera plus rapide dans ces pays qu'il ne sera en Algérie avec un taux de croissance prévu de 5,1% contre 3,7% en Algérie. La reprise sera plus rapide en Algérie Par rapport à la moyenne des pays du Maghreb, les chiffres communiqués par le FMI démontrent que la croissance en Algérie ralentira plus vite que dans l'ensemble de cette région qui devrait connaître un taux de 3,2% en 2009. En revanche, en 2010, il est attendu que la croissance du pays soit légèrement plus importante que la moyenne de la région qui devrait se situer à hauteur de 3,6%. Avec un taux de 5% en 2009, le Maroc est le pays du Maghreb qui tirera le mieux son épingle du jeu cette année devant l'Algérie et la Tunisie (3%). Par contre, son économie est celle qui repartira le moins vite par rapport à ses deux voisins en 2010 avec un taux prévu de 3,2% contre 4% en Tunisie, tandis que c'est l'Algérie qui devrait connaitre le rythme de reprise le plus rapide de cette région avec un taux de 3,7%. Pour expliquer ces performances, le FMI a expliqué que «par rapport à leur performance sur la période 2004–08, les exportateurs de pétrole devraient accuser les ralentissements de croissance les plus prononcés en 2009 car les recettes pétrolières ont fortement chuté». Cela s'est déjà vérifié pour l'Algérie dont les exportations d'hydrocarbures ont chuté de plus de 50 % durant le premier semestre de cette année. L'institution internationale remarque «l'effet de la récession mondiale s'est d'abord fait fortement sentir dans les pays les plus intégrés aux marchés financiers mondiaux, dont l'Afrique du Sud. Par la suite, l'impact de la diminution des flux financiers s'est propagé aux producteurs de pétrole (dont l'Algérie, l'Angola, la Libye et le Nigeria), de produits manufacturés (Maroc et Tunisie) et d'autres matières premières (Botswana) avec l'effondrement des échanges internationaux». Toutefois, souligne le rapport, «la récente embellie des conditions financières et des cours des matières premières aidera cependant ces pays à se redresser». L'Algérie devrait connaitre un ralentissement de sa croissance économique au cours de cette année à l'image de l'ensemble des pays du Maghreb et du continent africain. Une tendance qui sera accompagnée d'une hausse de l'inflation. Toutefois, la situation devrait, cependant, repartir dans le bons sens dès l'année prochaine avec une augmentation de la croissance du PIB et un recul de l'inflation attendu pour 2010. Ce sont là les grandes lignes réservées à la position de l'Algérie dans le nouveau rapport sur les perspectives économiques mondiales élaboré par le Fond monétaire international (FMI) et récemment publié. Les nouvelles estimations du FMI concernant la croissance en Algérie contenues dans ce document ne diffèrent pas vraiment des dernières prévisions rendues publiques aussi bien par le fonds que par l'autre institution de Bretton Woods qu'est la Banque mondiale. En revanche, elles sont loin de celles établies par le gouvernement dans la loi de finances complémentaires 2009 (LFC) qui prévoit une croissance de l'ordre de 3,9% en 2009. Le nouveau rapport du FMI indique donc que la croissance du PIB devrait baisser de 3 % en 2008 à 2,1 en 2009 avant de remonter à 3,7% l'année prochaine. Une précédente estimation faite au début de cette année prévoyait une croissance globale de 2,1% en 2009 et de 3,9% et hors hydrocarbures de 5,7% en 2009 et de 5,1 en 2010. Le FMI avait alors expliqué le ralentissement de la croissance dans les pays producteurs de pétrole, comme l'Algérie par la contraction des exportations d'hydrocarbures. Par ailleurs, la Banque mondiale avait à la même époque tablé sur une croissance du PIB proche de celle prévue par le FMI soit 2,2% en 2009 et 3,5% en 2010. A en juger par les nouveaux indicateurs fournis par le FMI, il apparaît que le ralentissement dans la croissance du PIB en 2009 en Algérie suivra la tendance observée par tous les pays exportateurs de pétrole pour lesquels il est prévu un taux de 2,2% en 2009 en chute libre par rapport au 6 % de 2008. Il apparaît cependant que la reprise de l'économie attendue en 2010 sera plus rapide dans ces pays qu'il ne sera en Algérie avec un taux de croissance prévu de 5,1% contre 3,7% en Algérie. La reprise sera plus rapide en Algérie Par rapport à la moyenne des pays du Maghreb, les chiffres communiqués par le FMI démontrent que la croissance en Algérie ralentira plus vite que dans l'ensemble de cette région qui devrait connaître un taux de 3,2% en 2009. En revanche, en 2010, il est attendu que la croissance du pays soit légèrement plus importante que la moyenne de la région qui devrait se situer à hauteur de 3,6%. Avec un taux de 5% en 2009, le Maroc est le pays du Maghreb qui tirera le mieux son épingle du jeu cette année devant l'Algérie et la Tunisie (3%). Par contre, son économie est celle qui repartira le moins vite par rapport à ses deux voisins en 2010 avec un taux prévu de 3,2% contre 4% en Tunisie, tandis que c'est l'Algérie qui devrait connaitre le rythme de reprise le plus rapide de cette région avec un taux de 3,7%. Pour expliquer ces performances, le FMI a expliqué que «par rapport à leur performance sur la période 2004–08, les exportateurs de pétrole devraient accuser les ralentissements de croissance les plus prononcés en 2009 car les recettes pétrolières ont fortement chuté». Cela s'est déjà vérifié pour l'Algérie dont les exportations d'hydrocarbures ont chuté de plus de 50 % durant le premier semestre de cette année. L'institution internationale remarque «l'effet de la récession mondiale s'est d'abord fait fortement sentir dans les pays les plus intégrés aux marchés financiers mondiaux, dont l'Afrique du Sud. Par la suite, l'impact de la diminution des flux financiers s'est propagé aux producteurs de pétrole (dont l'Algérie, l'Angola, la Libye et le Nigeria), de produits manufacturés (Maroc et Tunisie) et d'autres matières premières (Botswana) avec l'effondrement des échanges internationaux». Toutefois, souligne le rapport, «la récente embellie des conditions financières et des cours des matières premières aidera cependant ces pays à se redresser».