Le rideau est tombé, mercredi soir, sur la troisième édition du festival international du malouf, Zadjel et El Mouaschah, après six soirées, 2 au 7 octobre, ponctuées de musique raffinée et de récitals variant les différentes gammes du répertoire andalou. La dernière soirée a été animée par le maître incontesté, El Hadj Mohammed Tahar Fergani, à qui on a rendu hommage, accompagné de l'orchestre constantinois, de Abderrachid Segueni et de Hammoudi Mehmoud. Les Cheikhs du malouf, comme à l'accoutumée, ont entonné des morceaux andalous avec des voix inégalables et une particularité dans l'interprétation et ce, au grand bonheur des mélomanes, venus assister aux ultimes instants du festival. Il y a eu en outre la production de la chanteuse constantinoise Soraya Sbiri et la troupe libyenne. Le clou de la soirée était, sans nul doute, la distinction réservée à l'une des pionnières du malouf, en l'occurrence la chanteuse algérienne Toureya. Cette dame dont le parcours est pour le mois atypique, a embrassé une carrière de chanteuse de variétés à Tunis avant de succomber aux charmes du malouf, sous l'égide des maîtres de l'époque. Ce mercredi, une étoile filante est passée par le ciel de Constantine. Cette grande dame a eu un aperçu, même symbolique, de l'affection et de la reconnaissance que lui voue son public. Le troisième festival du malouf, Zadjel et El Mouashah qui a coûté près de 14 millions de dinars dont la moitié a été allouée par le ministère de la Culture, a rassemblé des artistes et des troupes musicales de plusieurs pays du bassin méditerranéen, dont le Maroc, la Tunisie, la Libye, le Liban, la Syrie et la Turquie. Ainsi, l'espace de six soirées, le public constantinois a eu à savourer des voix féminines multiples qui se sont relayées sur scène, nous édifiant, par ailleurs, sur la richesse de l'art lyrique andalou dans le bassin méditerranéen, tels les Ghada Shbeir (Liban), Oya Isboga (Turquie), Sonia M'barek (Tunisie) et Zeineb Afilal (Maroc). Le rideau est tombé, mercredi soir, sur la troisième édition du festival international du malouf, Zadjel et El Mouaschah, après six soirées, 2 au 7 octobre, ponctuées de musique raffinée et de récitals variant les différentes gammes du répertoire andalou. La dernière soirée a été animée par le maître incontesté, El Hadj Mohammed Tahar Fergani, à qui on a rendu hommage, accompagné de l'orchestre constantinois, de Abderrachid Segueni et de Hammoudi Mehmoud. Les Cheikhs du malouf, comme à l'accoutumée, ont entonné des morceaux andalous avec des voix inégalables et une particularité dans l'interprétation et ce, au grand bonheur des mélomanes, venus assister aux ultimes instants du festival. Il y a eu en outre la production de la chanteuse constantinoise Soraya Sbiri et la troupe libyenne. Le clou de la soirée était, sans nul doute, la distinction réservée à l'une des pionnières du malouf, en l'occurrence la chanteuse algérienne Toureya. Cette dame dont le parcours est pour le mois atypique, a embrassé une carrière de chanteuse de variétés à Tunis avant de succomber aux charmes du malouf, sous l'égide des maîtres de l'époque. Ce mercredi, une étoile filante est passée par le ciel de Constantine. Cette grande dame a eu un aperçu, même symbolique, de l'affection et de la reconnaissance que lui voue son public. Le troisième festival du malouf, Zadjel et El Mouashah qui a coûté près de 14 millions de dinars dont la moitié a été allouée par le ministère de la Culture, a rassemblé des artistes et des troupes musicales de plusieurs pays du bassin méditerranéen, dont le Maroc, la Tunisie, la Libye, le Liban, la Syrie et la Turquie. Ainsi, l'espace de six soirées, le public constantinois a eu à savourer des voix féminines multiples qui se sont relayées sur scène, nous édifiant, par ailleurs, sur la richesse de l'art lyrique andalou dans le bassin méditerranéen, tels les Ghada Shbeir (Liban), Oya Isboga (Turquie), Sonia M'barek (Tunisie) et Zeineb Afilal (Maroc).